Je récapitule les informations parut dans l'autre sujet :

Les fictions seront ouverte pendant 6 jours, les quatre premiers jours seront consacré uniquement à la lecture aucun vote ne va pouvoir avoir lieu. Par la suite, je vais ouvrir le vote et vous allez avoir 2 jours pour voter soit le 12 et le 13 février, si vous êtes dans l'incapacité de voter pendant une de ces deux journées, mais souhaitez le faire veuillez écrire à moi ou Mélusine, votre vote sera tenu en compte. Pour les votes, il va tout simplement s'agir des sondages que l'on peut posté avec le forum. Vous pouvez aussi mettre vos commentaires à partir du 12 sur les fictions.

Petite informations supplémentaire : Les fictions resteront lisible après le 13 sauf si vous souhaitez la retirer.

Trucs pour décider quelle fiction mérite le vote:
1. Elle te plait vraiment
2. Elle doit respecter le thème de l'hiver

Et maintenant bonne lecture à tous !

Attention: Cette fiction contient des SPOILERS!

Le changement

Le temps passe vite…..en effet 12 ans etaient passé depuis que Edward, Renesme et moi ayons laissé Forks pour venir habiter a Morinds, une jolie petite ville dans le canada du nord…la famille Cullen s’était transferèe pas loin de chez nous…Emmet et Rosalie étaient a l’université de Volty ,ils s’etaient inscrits a la faculté de medecine ,tandis qu’ Alice était a la fac d’architecture de Derk, mais elle venait nous voir au moins deux fois par semaine….et on en était vraiment tous tres contents.
Renesme qui aurait normalement eu 13 ans avait l’air d’une jeune femme….une très jolie jeune femme….ses cheveux chatains longs et ondulés, ses yeux foncés de biche, grande et mince mais forte en meme temps….et les jeunes garçon du coin avaient l’air de s’en etre bien aperçus !
Elle était vraiment surprenante,pas seulement pour sa beauté, mais aussi pour sono extrème intelligence…pensive et un peu solitaire comme Edward au temps de l’ecole….quand on s’était connu….on était vraiment fiers d’elle.
Moi depuis sa naissance et grace a l’aide des Cullens et de mon père (ma mere etant repartie suivre ,son copain dans le monde entier pour ses match et je la voyait vraiment tres peu…juste pour les festivités) j’avais pu m’inscrire avec Edward a la fac d’histoire et on avait vite terminés nos etudes….bon je devais admettre que l’intelligence et l’intuition nouvelles de vampires que j’avais acquis m’avait beaucoup aidé a passer si vite mes examens….et maintenant j’etais prof au lycée Vrimau de Morinds et je me trouvais vraiment pas mal.
Edward avait décidé de s’inscrire a la fac de veterinaire….je ne lui avait pas demandé pourquoi meme si cela me rendait curieuse….dans le fond les connaitre dans leur physiologie et anatomie ne devait avoir aucune importance pour lui….pout nous tous….
Decembre….le mois de la neige…le mois de Noel…le mois des vacances….toute la ville était resplendissante…le contraste entre le blanc qui recouvrait tout et les couleurs des vitrines…des guirlandes des sapins dehor….des lumieres rejouissantes qui illuminaient les rues…. a Noel tout avait un air de beauté et de chaleur differents…plus puissant….
Vers 10 h 30 j’entends sonner a la porte….j’ouvre et je retrouve devant moi kachiri et zafrina…je les reconnait tout de suite…elle sont bien differentes des autres filles pas seulement canadienne…mais du monde entier je pense…..pourquoi etaient-elles venues ?c’était juste une visite de plaisir ou quelque chose s’était passé….depuis notre derniere rencontre elles n’avaient plus donné aucune nouvelle d’elle ni signe de vie…que voulaient-elles ?dans mon cœur je doutais,javais peur du pire…mais je fit mine de rien et avec un grand sourire je les priais de rentrer et je demandais de leurs nouvelles….
Zafrina avait l’air un peu pressé de quelque chose…tandis que kachiri, belle et fiere dans l’aspect et dans l’ame, semblait beaucoup plus tranquille…
-quelle surprise !!!Je suis vraiment contente de vous revoir…depuis toutes ses années…vous etiez disparues….avec Edward on se demandait bien ou vous etiez finies
-Ma chere Bella…tu as raison –Zafrina prenait la parole- mais on a eu vraiment pleins de choses a faire….en effet le temps ne nous manque pas –elle riait de sa phrase-mais il y a des questions qu’on a pas pu retarder….je pense que la rumeur de ce qui s’est passé en Italie vous sera arrivé surement.
-Rumeur ?Italie ?Ma tete commencait a tourner maintenant que la parole Italie me faisait tout de suite penser aux Volturi…auraient-ils organisés une autre expedition punitive pour quelqu’un….pour nous ??non non ce n’était pas possible…non…
-et bien mes tres cheres amies non…on est au courant de rien…-Edward venait juste de rentrer par la fenetre laterale de la maison…pas besoin de tout lui expliquer puisque il avait bien entendu les pensees des deux valkiries qui était arrivé….mais il me regardait de façon étrange…comme si il était désolé de quelque chose que je ne connaissais pas…
-Bon jour, Edward, on savait que tu serait tout de suite venu pour en discuter….Bella il faut que tu sache que il y a 10 jour Aro a été tué
…en effet la nouvelle n’était pas si mauvaise….dans le fond Aro avait bien etè bien la cause de tous nos problemes….celui qui était venu pour tous nous supprimer,,,,j’en était dans le fond,,,,rassurée….
-Non Bella…tu te trompes….-je permettais de plus en plus a Edward de rentrer dans mes penses….maintenat qu’on savait comment faire-si Aro était un probleme….et bien marus Caius l’est encore plus…..il a herité son pouvoir et tu sais ce de quoi il est capable, tu l’as connu…peu mais assez pour comprendre comment il est.
-mais pourquoi nous dites vous cela….qu’es-ce qui se passe exactement..Kachiri parles s’il te plait…
-on vient pour toi Bella, tu dois nous mettre en contact avec jacob
-Pardon ??j…jacob ???pouquoi lui ?qu’est-ce que tu veux dire avec cela ?qu’est-ce qu’il veut de lui ??
-penses-tu qu’ils nous l’ai dit ?nous non plus on sais rien….l’expression de kachiri me faisait comprendre qu’elle en savait plus de ce qu’elle disait….Edward continuait a me fixer sans parler..a examiner mes reactions…qui n’atait pas des meilleurs…j’avais fermé les yeux pour reflechir un peu sur tout cela mais aucune idée puvait expliquer ce qui se passait….et un autre doute tournait dans ma tete….-attendez….c’est Caius qui vous envoie ici…lui ?comment est-il possible….ou l’avez-vous rencontré ?pourquoi vous ?il a des milliers de personnes avec lui et il vous a choisi….vous qui etes ses ennemies jurés…. ???
-Bella le temps a passé plus vite de ce que tu penses…apres tout pourquoi aurions nous du rester toujours isolées….on a choisi il y a longtemps…il nous a promis une eternité sereine…plaisante,on ne voulait plus etre seules..devoir craindre tous les autres de notre espece…devoir nous cacher…
-Vous etes avec lui ??Comment vous avez pu nous faire ça ?on a risqué ensemble d’etre anneantis..on a combattu ensemble…et meme si 12 ans nous separe e ce moment rien ne peut me justifier votre changement…et autant qu’ennemies vous venez a ma porte et vous me demandé d’appeler mon meilleurs ami….je ne le ferais jamais sortez de chez moi vous n’etes plus les bienvenues ici…pendant qu’elle s’eloignaient sous la neige tombante
-Bella essaye de raisonner….intervenait Edward…si elle sont la cela signifie que la motivation est importante….laisse que se soit jacob a decider…elles ne sont pas ici pour toi…mais pour lui.
-Qu’importe ?il fait partie de notre famille ?
-on a dit jacob ??vous parliez de moi ?tres bien mesdames…meme si je vous rappelle que mon cœur….mhmh moi j’en ai un en faite (il souriat de sa betise) est occupé et il sera tres difficile que je puisse m’en separer…..Bella ça va ???tu as l’aire d’avoir tres faim….ou bien d’etre tres fachè----la chaleur du corp de jacob faisait fondre la neige sous ses pied et les flocons qui tombaient arrivaient juste a s’pprocher de son corp et disparaissaient avant meme de le toucher..
-jacob on voulait juste toi…
-jacob vas t’en je t’en prie je disait sans que personne ne m’ecoute…j’avait envie d’attaquer les 2 valkieries avec una puissance epouventable….
-Jacob non….on viens de la part de Caius…tu te rappelle de lui ?
-comment l’oublier ?la derniere fois que je l’ai vu….ah si….quand il était venue pour la fete du dernier de l’an ah ah ah
-jacob Il n’y a rien a rire…je l’informait.-Ok Bells excuses-moi je plaisantais je sais bien qui c’est, tres bien..-zafrina avec une voie tres calme cotinuait son discours :et bien il demande de te rencontrer en Italie le plus vite possible.
-non merci, c’est tres gentil de sa part mais je prefere rester chez moi..j’aime pas les voyages longs…
-jacob ce n’est pas une demande a laquelle tu peux dire non….zafrina d’une façon tres dure…Caius a dit toi ou Renesme..on a pensé que le choix plus raisonnable serait tombé sur toi.
-ne touchait pas Renesme ….autour de lui de la neige il ne restait qu’un petit ruisseau d’eau…
-ce n’ai pas en Italie qu’il te rencontrera…il est arrivé ce matin et il attends l’un de vous 2 a Cortix Frolp.
-pourquoi voudrait-il nous voir la bas…c’est le sentier qui emmene au sommet de la montagne Resnik,la grande montagne du pouvoir des Quileutes canadiens.
Tout a coup dans ma tete je comprenais ce qui se passait….voilà….tout était clair maintenant…
Caius voulait bloquer le pouvoir des loups…jacob en était bien le chef apres Sam….a travers son pouvoir il voulait s’en debarasser….il savait bien qu’il suffisait de lui injecter un peu de son poison dans l’hippocampe pour que les loup disparaissent….et sa soif de pouvoir arrivait au point de le vouloir.....d’un coup la silhouette de Renesme apparaissait devant nous…..elle n’avait plus son sac a main…elle devait avoir ressenti qu’il se passait quelque chose et avait tout abandoné sur place pour vite venr nous rejoindre….tellement blanche de peau qu’on arrivait pas bien a la distinguer de la neige qui lui recouvrait les cheveux et le corp en complete antithese par rapport a jacob.
Elle courait si vite que les gens ne la voyait meme pas….arrivant vers nous elle s’approchait de Jacob et en lui prenant la main :
-je sais…j’avais eu une vision il y a une semaine…je savais qu’il allait venir….l’homme aux yeux de flamme….jacob il va t’enlever ton pouvoir, il va te rendre humain….il ne te tuera pas parce ce qu’il veut que tu souffres de ta perte et que nous tous on voie ta souffrance et ce de quoi il est capable…Alice aussi a eu la meme vision…..
-continue Cenesme –disait Edward voyant qu’elle esitait a continuer. –mais tu n’iras nulle parst puisque c’est moi qu’il veut…a ce moment un fort tonnerre dechirait le ciel et les nuages se faisait encore plus bas comme voulant toucher la neige qu’ils nous avaient envoyè.
Il craint les enfants mixtes parce que pour la grande lex des Volturi ce sont les Mixtus homina qui doivent regir nos communautés…Aro l’ignorait mail lui non….il l’a toujours su…
Si j’était encore mortelle je serais morte a l’instant…pourquoi ma fille m’avait tout caché..pourquoi rien me dire….ses paroles etaient comme des aiguilles dans ma tete.
-Renesme comment connais-tu cela ?-disait Kachiri…-je l’ai toujours su, il y a des connaissances en moi qui font partie de moi depuis toujours et je mentirais si je te disais que qualqu’un me les a apprises…
Edward fixait notre fille….j’aurais bien voulu savoir a quoi pensait-il….peut-etre il pensait s’il y avait quelques possibilités de faire quelque chose d’autre contre Caius, mais cette fois si on ne pouvait rien…il avait gagné….il aurait reussi a nous enlever l’etre plus precieux de notre existence….a nous laisser vraiment survivre…et il était prêt a tout pour accomplir sa mission….j’avais envie de pleurer et de crier mais je ne voulais pas montrer mon extreme faiblesse et impuissance devant tout cela…je restais en silence petrifié des evenement qui m’emportait encore plus que je n’aurait pu m’imaginer….non non….ma vie eternelle serait devenue une damnation eternelle…tout le mieux de mon existence serait mort avec Renesme…
-Il me donnera le choix…..rester a son coté ou me sacrifier…..-
Personne n’osait parler ou s’exprimer…..les deux possibilités etaient presque equivalentes….
-Jacob tu sais bien que je ne pourrais jamais choisir de passer mon eternité avec lui…je serai morte quand-même…et si j’en avais eu la possibilité c’est toi que j’aurais choisi…toi et personne d’autre….j’ai le pouvoir de ressentir tes sentiments et sache que se sont les memes de ma part meme si je n’aurais pas le temps physique de te le montrer.
Et puis, se tournant vers nous…
-maman, papa. Excusez-moi de vous avoir tout caché….j’ai preferé rien vous dire pour qu’on puisse profiter de ces belles annés passés ensemble…pour que rien ne puisse gacher tout l’amour que vous avez pour moi et que j’ai pour vous…et j’aurais toujours meme si je ne serais pas a votre cotè.
Ne soyez pas trop tristes ni cherchez la vengeance….c’était mon destin on le savait bien….le temps des mixtes n’est pas encore arrivé…j’ai déjà eu l’enorme chance d’exister….et d’exister pour vous connaitre, pour vous aimer…je n’ai pas besoin d’une vie eternelle pour connaitre mes sentiments vers vous….
Le tonnaire et le brouillard se faisaient de plus en plus fort….j’etais paralisé par les paroles de ma fille qui était consciente de tout ce qui passait, qui avait le courage de disparaitre, un courage que je n’avais jamais eu. Elle choisissait la fin….ce que j’avais tant eloigné de moi….et ce qui me dechirait c’était que je comprenais dans le plus profond de mon âme qu’elle avait raison…qu’a nul sert une vie éternelle si on a pas la possibilité de rester avec ceux qu’on aime,et de les aimer jusqu'à la fin de nos jours.

Une victoire amoureuse

« De la neige! Il ne manquait plus que ça! » se dit Bella en ouvrant les rideaux à sa fenêtre. Forks étaient une petite ville où il ne faisait presque jamais soleil, mais il était quand même rare de voir qu’elle était recouverte de blanc. Bella enfila un gros pull et un jean puis fila à la salle de bain pour se préparer. Son cœur battait de plus en plus vite, car elle savait qu’elle aurait un bel invité. Elle prit plusieurs minutes avant d’abandonner pour se coiffer. Elle trouvait sa coiffure affreuse, rien ne pourrait l’améliorer à son avis. Elle dévala l’escalier et se précipita au réfrigérateur pour y ramasser le pot de yaourt. Elle prit une grosse cuillère et avala à grosse bouchée son yaourt. Ce qu’elle goûtait? Elle ne le savait pas trop, elle était trop emballée pour pouvoir se calmer, elle savait que Edward serait là bientôt. Elle prenait bouchée après bouchée sans savoir vraiment si ça lui plaisait, peu lui importait maintenant. Bien entendu, alors qu’elle ne s’y attendait pas, Edward surgit de nulle part.

- Bonjour! Dit-il de sa voix mielleuse.

Bella sursauta et échappa sur son pull vert du yaourt.

- Edward!!! Tu m’as fait peur, s’exclama-t-elle en mettant sa main sur sa poitrine.

- Je suis désolé. Tu veux que j’aille te chercher un autre chandail pour me faire pardonner?

- Non, ça va! Je reviens dans une seconde.

Edward vit donc partir Bella. Il était heureux de la revoir. Maintenant il avait trouvé sa perle rare et elle lui était des plus précieuses. Sa raison de vivre avait maintenant un sens : Bella. Il savait pourtant que cette histoire prendrait un ton plus tragique, mais il ne voulait surtout pas y penser, car sa plus grande peur était de la perdre. Edward sortit de ses pensées quand Bella se montra de nouveau avec un pull bleu marin.

- Tu es très jolie, dit-il timidement.

Bella baissa la tête en signe de gêne et le remercia.

- Que faisons-nous aujourd’hui? Demanda-t-elle en l’observant attentivement.

Elle ne pouvait détourner les yeux, tellement elle le trouvait beau, c’était un être très sensuel et très charismatique.

- Ça te dirait un petit avant-midi avec la famille?

- Nous ferions quoi?

- Je te conseille de prendre ton habit de neige, tu en auras besoin, déclara Edward en souriant.

Bella fondit aussitôt, rien de plus beau que le sourire d’Edward pouvait la rendre plus heureuse. Tel un zombie, elle accepta sans broncher sans savoir ce que la famille Cullen préparait vraiment.

****

Lorsque Bella et Edward arrivèrent à la résidence des Cullen, elle vit toute la famille à l’extérieur en habits de neige, leur pelle à la main. Ils attendaient patiemment leur arrivée. Bella était gênée de se présenter avec son habit de neige, elle trouvait qu’elle ressemblait à une grosse patate, disons qu’elle trouvait que ça ne l’avantageait pas.

- Bonjour Bella, salua Esmée, je suis contente de te voir, tu as l’air en pleine forme.

- Merci! Répondit-elle timidement. Quelqu’un peut me dire ce qu’on va faire?

- Quoi? Ed ne t’a rien dit? Hahaha… rit Emmett.

- Nous allons faire la guerre! Nous installerons nos forts à une bonne distances et tu verras Bella la plus belle bagarre de boules de neige jamais vue! Annonça Carlisle enthousiaste à l’idée de commencer.

- Voici les équipes, déclara Alice. Emmett, Rosalie, Carlisle et Esmée contre Edward, Bella, Jasper et moi.

- Parfait! Cria Emmett, on vous mettra toute une raclée!

Chacun prirent la direction pour bâtir leur fort. Bella ronchonna intérieurement. Jamais elle n’avait fait de fort et encore moins avec des vampires. Elle détestait l’hiver, elle n’aimait pas avoir froid et maintenant elle allait devoir construire un abri et se faire bombarder par des boules de neige. Elle savait qu’elle allait y goûter, surtout que Rosalie se trouvait dans l’autre équipe.

- Ça va Bella? Demanda Edward, tu es prête à jouer?

Il lui caressa le dos affectueusement. Bella eu des frissons instantanément, pourtant le manteau ainsi que le pull et le t-shirt qu’elle portait faisait une bonne couche. Elle était folle de lui et était prête à jouer, même si elle n’était pas très douée pour ce genre de jeu et si elle devait affronter Rosalie, il fallait bien qu’elle le fasse un jour.

Ils creusèrent donc pendant 15 minutes, il faut dire que les vampires et la neige font bon ménage. Rien n’est à leur épreuve. Bella ne savait pas trop comment s’y prendre devant Jasper, Alice et Edward qui firent à la vitesse éclair le plus grand fort qu’elle n’ait jamais vu. Il ressemblait beaucoup à un château. Alice eut même le temps de faire une sculpture de neige représentant les initiales des gens de l’équipe dans un gros losange.

- Voilà, c’est terminé! Mettons nous au travail pour faire des boules de neige, annonça Jasper excité à l’idée de commencer bientôt la bagarre. Nous les mettrons dans ses sacs pour pouvoir les transporter.

Bella eut le temps de faire 6 boules de neige dans le temps que ses amis eurent le temps d’en faire une centaine. Elle se sentait un peu inutile. Carlisle se pointa alors au fort de ses ennemis et déposa un drapeau de couleur bleu.

- Vous êtes prêt à perdre? Demanda-t-il les yeux brillants.

- Dans tes rêves mon vieux! Lança Jasper en souriant.

- Voici les règles, le but du jeu est d’aller reprendre le drapeau sans se faire toucher par l’équipe adverse. Si tu te fais toucher par une boule de neige, tu dois revenir dans ta base. Est-ce bien compris?

Alice, Edward, Bella et Jasper acquiescèrent. Carlisle disparu rapidement.

- Bon au coup de sifflet tout va commencer. Alice, tu iras à gauche, Jasper à droite, moi j’irai au centre. Bella n’aura qu’à garder le fort.

Bella avala de travers sa salive. Elle savait qu’elle n’avait pas les moyens de défendre correctement son équipe, encore moins protéger un drapeau contre des vampires qui vont à la vitesse lumière. Avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit, le coup de sifflet retentit. Edward, Alice et Jasper prirent leur sac et quittèrent le fort aussitôt. Bella écarquilla les yeux, elle avait peur. Elle décida d’aller jeter un coup d’œil par-dessus le fort. Elle ne vit personne et n’entendit encore moins personne s’approcher pendant au moins 3 minutes. Elle prit dans sa mitaine droite une boule de neige et prit également un sac pour se préparer. Elle savait qu’elle allait tout gâcher très rapidement. Sans qu’elle s’en rende compte, elle se prit en pleine figure une boule de neige. Elle tomba dans le fort. Cela ne lui avait pas été très agréable. Elle releva la tête, mais en faisant plus attention cette fois. Elle vit au loin, un point jaune qui s’approchait doucement, c’était Rosalie!

« Et bien… Quand il le faut, il le faut! » se dit-elle à elle-même. Elle se leva debout cette fois-ci et lança de toute ses forces vers la silhouette qui s’était rapprocher deux ou trois boules de neige. Malheureusement pour elle, elle venait de vouloir attaquer son propre coéquipier : Jasper.

- J’ai été touché Bella, pas obligé de me toucher encore, rit-il.

- Pardon!!! Je suis désolée, je ne suis vraiment pas douée pour ce jeu-là. J’ai vu Rosalie et je croyais que c’était elle qui s’approchait.

- Je crois que je vais rester ici un peu, tu as lancé trois balles de neige et tu ne m’as pas touché une fois, continua-t-il de rire.

Bella ronchonna de nouveau intérieurement. Elle décida de quitter le fort et de leur montrer qu’elle n’était pas si inutile que ça. Elle s’aventura dans la neige, mais cela la fatigua rapidement. Elle se laissa tomber dans la neige sur le dos pour reprendre son souffle. Quand elle décida enfin de se relever, elle reçut de nouveau une boule de neige qui l’atteignit au ventre. Elle se replia sur elle-même tellement elle avait le souffle coupée.

- OUF! Bella ça va? Demanda Emmett un peu paniqué à l’idée de l’avoir blessée.

Bella avait les larmes aux yeux. Rosalie et Esmée accoururent rapidement pour savoir si tout allait bien. Elle était toujours repliée sur elle-même et semblait avoir mal. Un coup de sifflet retentit. La famille Cullen se réunit autour de Bella. Elle avait à présent lâché son ventre, mais on pouvait toujours voir des petites larmes sur son visage. Bella vit alors Edward avec le drapeau entre les mains.

- Bravo Edward, dit-elle tant bien que mal. Tu as réussi… Avoue que ma diversion t’a aidé.

- Tu es un vraie championne Bella!

Bella réussit à émettre un sourire. L’équipe adverse sembla prendre la chose en riant.

- La prochaine fois Bella, je te laisse là même si tu te tords de douleur, déclara Emmett, tu verras que c’est nous qui aurions dû l’emporter.

La famille Cullen excepté Rosalie, bien sûr, félicitèrent Bella et rentrèrent dans leur grande maison. Edward alla retrouver Bella et lui enleva ses petites larmes encore traînante sur ses joues.

- Tu es géniale toi! Tu es tout pour moi, déclara-t-il tendrement.

- Heureusement que tu es mon sauveur, que ferais-je sans toi?

Edward rapprocha son visage de celui de Bella et la regarda droit dans les yeux.

- Je continuerais à te chercher dans ce cas.

Ils s’embrassèrent tendrement sous les flocons de neige et le froid. Plus rien n’avais d’importance maintenant, ils étaient ensemble et cela pour toujours.

Attention: cette fiction contient des SPOILERS!




Dehors, le paysage avait changé au cours de la nuit. Alors que la veille, d’épais nuages grisonnant encadraient encore le ciel, comme à son habitude, lorsque j’ouvris les yeux ce matin là, l’horizon était recouvert d’un manteau de neige. L’hiver n’avait pas tardé à montrer le bout de son nez… Le vent souffla à l’extérieur et j’admirais à travers la vitre froide de ma chambre, les flocons s’envoler et virevolter en un tourbillon, puis se reposer lentement sur cet immense tapis blanc. Alors que cette vue aurait du me rendre enthousiaste et me faire bondir hors de mon lit, je peinais à me lever. J’étais trop bien au chaud sous ma couette et rien au monde n’aurait pu m’y arracher. J’enfouis ma tête sous mes oreillers, ferma les paupières et me força tant bien que mal à me rendormir. C’était peine perdue. Arrivée à dix moutons je commençais déjà à baisser les bras. Peut être, les pumas, seraient-ils plus facile à compter. Mon ventre se contracta à cette pensée et des gargouillis se firent entendre. Non, me dis-je en soupirant, les pumas ne m’aideraient certainement pas à m’endormir. De toute façon cela ne servait à rien, une fois réveillée je ne parvenais jamais à retrouver le sommeil. Pivotant sur moi-même, je me retrouvais sur le dos et me concentrais à être à l’écoute. Derrière ma fenêtre, j’entendais une bourrasque jouer dans les branches des arbres. Au-delà, bien plus loin, je percevais des cris de joie d’enfants, ils devaient sans doute être en train de jouer dans la neige. A l’opposé, je discernais le mécontentement d’un vieil homme dont la voiture était ensevelie. Mais au-delà de tout ça, le son que je distinguais le mieux provenais de la pièce d’à côté. Deux voix, douces et mélodieuses, s’élevaient dans un murmure à peine audible, la voix de mes parents. Pourquoi diable parlaient-ils si bas, me demandais-je. Serais-ce pour que je n’entende pas ? Avaient-ils remarqué que j’étais déjà réveillée ? Je tendis l’oreille et essayais de comprendre de quoi ils discutaient. Si mamy Esmée me voyait je suis sûre qu’elle me dirait : « Renesmée, voyons, arrête d’écouter « aux portes » ! » Mais étant seule j’avais tout le loisir d’écouter justement. Pourtant, après quelques minutes de concentration et malgré le silence qui régnait dans la maison, je n’avais décrypté que quelques bribes de leur conversation. Mais c’était plus que suffisant. Un large sourire s’étira sur mes lèvres lorsque je crus comprendre les mots « Noël » et « Fête ». Je me mis déjà à imaginer ce que cela comprenait : belle soirée en famille, cadeaux, longue parties de chasse… Aussi vite ces images m’apparurent en tête, aussi vite je devais les en faire disparaitre, j’avais trop peur que papa sache que j’étais au courant et je ne voulais vraiment pas leur gâcher le plaisir de me faire la surprise. Je pris donc mon portable, pour m’occuper l’esprit. Je l’observais un instant, nostalgique, en repensant au jour où on me l’avait offert. C’était pour mes un ans mais en paraissant quatorze, mes parents me l’avaient donné, prétextant que toutes les jeunes filles de mon « âge » en possédaient un… Je fus étonnée de voir que j’avais reçu un message, je l’ouvris : «Coucou Nessie, j’espère que je ne te réveille pas… Je voulais juste savoir si ça te tenterais de venir faire une bataille de boules de neige avec les garçons et moi ? Si oui, rejoins-nous vers 13h00 à la réserve. Bisous, Jacob». Je ne pris même pas la peine de relire le message et referma le clapet de l’appareil aussi vite que je l’avais ouvert. A la vue de ces quelques phrases, les évènements que j’avais vécus hier me revinrent en mémoire, je reposais l’objet là où il avait été quelque secondes avant et replongea sous ma couette aussi vite que je pouvais, mais des images et des paroles se projetaient et se répétaient dans ma tête, j’avais beau essayer de les cacher au fond de moi, c’était trop tard. « Jacob » soupirais-je.

Flash back : la veille au soir.

Mon envie avait été trop forte, j’escaladais le mur de sa maison jusqu’à la fenêtre de sa chambre. Il était là, allongé dans le noir. «Jake, soufflais-je.» Il fit un bon et se retourna vivement. « NESSIE ?!! » « Chut, moins fort, lui dis-je, tu risque de réveiller Billy » « Ca, il n’y aucun risque… Mais qu’est ce que tu fais ici à une heure pareille ?» «Je dois te parler.» «Tu ne pouvais pas attendre demain? Tu sais que je risque d’avoir des problèmes et je ne veux pas avoir Edward sur le dos et encore moins Bella. » « Ne t’inquiète pas, à l’heure qu’il est, ils doivent certainement être tout les deux au courant que je suis ici et s’ils ne m’ont pas empêché de venir, c’est qu’ils n’ont rien contre le fait que je vienne te faire une petite visite nocturne.» « C’est si urgent que ça ? Ce dont tu veux me parler ? » Je le regardais de haut en bas. Ses cheveux étaient en batailles, ses yeux se posèrent sur moi et me fixèrent intensément, il n’avait pas changé, il restait le même Jacob que je connaissais depuis un an, mais je ne sais pas pourquoi à cet instant précis j’avais l’impression qu’il n’était pas celui que j’avais l’habitude de côtoyer. Normalement, il aurait du être content de ma présence, du moins c’est ce que j’avais imaginé mais là, je n’étais pas la bienvenue. Je sentis une boule se former au fond de ma gorge et tout à coup je ne savais plus quoi lui dire. «Rénesmée ?» Je sursautais en entendant mon prénom, lui qui avait l’habitude de me surnommer, venait de le prononcer en entier, c’était mauvais signe… « Oui, à mes yeux c’est urgent lui répondis-je, j’ai… besoins de savoir…» Encore une fois les mots ne parvenaient pas à sortir. « De savoir ? » Je relevai la tête vers lui, il s’était rapproché de moi, je distinguais mieux son visage à présent. Il avait l’air curieux mais aussi très nerveux. « Jake, j’ai besoins de savoir ce qu’il t’arrive, pourquoi agis-tu avec moi comme tu le fais, est ce que j’ai fais quelque chose qui t’as déplut ?» Je me giflais mentalement, moi qui avais prévu d’aborder le sujet en douceur, venais de tout déballer d’une traite. Il ne bougea pas et ne paru pas surpris pour autant mais je sentis l’atmosphère de la pièce changer, il était de plus en plus nerveux. « Je n’ai pas changé, je suis toujours Jacob, je n’agis pas différemment avec toi et tu n’as rien fais qui puisse me déplaire.» « Alors pourquoi me fuis-tu ?» Il se raidit et passa une main maladroite dans ses cheveux. Je connaissais trop bien ce geste, il était mal à l’aise. « Ecoute, Nessie, je ne te fuis pas, du moins pas volontairement, enfin… c’est compliqué, je ne sais pas comment t’expliquer.» « Et bien, commence par le début.» Il soupira. «Et si tu le prenais mal ?» « Jake, lui dis-je en me rapprochant de lui, tu es mon ami, rien de ce que tu pourras me dire ne me feras du mal. » Je voulu tendre ma main vers son visage pour le rassurer mais il la repoussa plus violement qu’il ne l’aurait voulu. « C’est bien ça le problème, je ne suis qu’un simple ami !!» J’étais déboussolée, par son geste, comme par ses paroles, je ne comprenais plus rien à ce qui se passait. « Bon sang, explique-toi, rétorquais-je.» «Ce que j’essaye de te dire c’est que je t’aime !» Ces derniers mots percutèrent mon cœur de plein fouet, j’avais peur à présent de comprendre. «Tu…m’aimes ?» « Oui, depuis ta naissance, me répondit-il calmement.» «Tu veux dire… comme un grand frère ?» «Non, enfin au début c’étais le cas… mais plus maintenant.» Il voulu s’approcher de moi, tendant à son tour la paume de sa main mais je me reculais contre le mur de sa chambre. Je voyais dans son regard que ma réaction le blaisait mais je ne savais plus quoi faire. Il n’insista pas et ramena son bras le long de sa hanche. «Bella ne t’as donc jamais parlé de l’imprégnation ?» Imprégnation ? Je fouillais ma mémoire à la recherche d’un vieux souvenir dans lequel ma mère l’aurait mentionné mais ne trouva rien. Je lui fis non de la tête et il poursuivit. « C’est en quelque sorte un truc de loup, dit il en ayant un sourire triste qui me fendit le cœur, c’est bien plus qu’un coup de foudre, lorsque l’on croise le regard de notre âme sœur, on ne peut plus luter et alors plus rien d’autre ne compte sauf elle. Nous ferions tout pour la rendre heureuse, nous nous transformerions en ce qu’elle souhaite : ami, frère, protecteur ou amant. C’est à la foi une sensation magnifique et horrible, c’est comme si nous n’avions plus de conscience, comme si nous ne dépendions plus de l’attraction terrestre mais de ce qu’elle exerce sur nous. Et tu ne te rends justement pas compte de ce que tu exerces sur moi, Rénesmée. Depuis que tu es née, depuis que j’ai croisé ton regard pour la première fois, je ne peux plus me passer de toi. Je t’ai dans ma tête continuellement et même quand j’essaye de me concentrer sur autre chose, je n’y parviens pas, mes pensées reviennent toujours vers toi. C’est pour cela que j’ai préféré t’éviter ces derniers jours, je pensais quand réduisant nos rencontres, j’arriverai à gérer tout cela, à faire le tri mais j’ai été bête, jamais je n’avais pensé que, au contraire, ça renforcerait les choses et que ça serait pire encore. Je n’arrivais plus à réfléchir plus de dix secondes sans que ton visage s’impose à moi.» Il reprit sont souffle en m’observant, je n’avais pas bougé d’un centimètre, toujours coller au mur de sa chambre, sans savoir quoi faire et abasourdie face à cette déclaration. Je le vis repasser sa main dans ses cheveux. Attendait-il une réponse ? Je cherchai dans mon esprit vide quelque chose à lui dire mais il me devança. «Je crois, dit-il, que si tu n’étais pas venue me voir ce soir, c’est moi qui serait allé chez toi, quitte à me faire égorger vif par Bella et Edward, je n’aurais plus su garder ça sur le cœur.» Je me souvins alors de la raison de ma venue ici, Jacob me devait des explications… on peut dire qu’il m’en avait fournies. Il était toujours là, prostré devant moi, comme si il attendant que je parle sans doute. Si c’était le cas il risquait d’attendre encore longtemps, aucun sons n’étaient près à sortir de ma bouche. Ce n’était pas que je ne veuille pas lui répondre, seulement j’avais l’impression que mon corps ne fonctionnait plus. Mes bras, mes jambes et ma tête, surtout, semblaient peser une tonne. Il n’y avait que mon cœur qui avait l’air toujours en état de marche. Il cognait dans ma poitrine, tellement fort que j’avais le sentiment qu’il allait exploser. Je n’avais pas remarqué alors, que lorsque que je débâtais mentalement, Jacob c’était rapproché de moi, si près que son souffle contre mon front me fit revenir à la réalité. J’aurais voulu le repousser gentiment, j’avais besoin de réfléchir mais mes membres ankylosés ne répondaient toujours pas. Je sentis ses deux mains chaudes remonter le long de mes bras, sa joue caressait la mienne et son souffle dans mon oreille m’aurait fait perdre pied s’il ne m’avait pas retenue. Soudain, ses doigts emprisonnèrent mon visage, il pivota pour se retrouver face à moi et alors que j’essayais de décrypter son regard, ses lèvres se plaquèrent sur les miennes. Son baiser n’avait rien de violant ou de brusque mais j’avais la sensation qu’il essayait de me transmettre toutes ses peurs, ses douleurs mais aussi son amour, qui surpassait tout ça. Elles étaient douces et humides et ça n’avait rien de désagréable mais alors qu’il voulut approfondir notre échange en passant son bras autour de ma taille, je réagis enfin. Deux mains puissantes qui semblaient être les miennes, le repoussèrent à quelques centimètres de moi. J’eus le temps de l’observer, une dernière fois, avec effroi avant de sauter par la fenêtre restée ouverte et de partir en courant sans me retourner. L’ironie du sort, c’est moi qui fuyais à présent

Imprégnation (suite...)

Je sortis de mes songes et la réalités des évènements qui s’étaient déroulés hier soir me frappèrent soudain. J’avais essayer de les enfouir tellement loin au fond de moi que la vérité s’afficha brutalement à mon esprit et je réalisa enfin que Jacob m’aimait. Seulement, qu’étais-je censée ressentir à son égard à présent. Je rougis et me mordis la lèvre. Pourquoi avait-il fallu que j’aille le voir la veille ?! C’est vrai que Jake avait changé. Au cours de la dernière semaine, je ne l’avais même pas croisé une seule fois. Ma réaction avait donc été normale, seulement, dans ma tête, j’avais imaginé que ça se passerait autrement. En arrivant chez lui, il aurait du être ravi de me voir, m’aurait donné une explication et tous seraient redevenu comme avant. «Mais maintenant plus rien ne sera comme avant, dis-je à voix haute.» Mon cœur bondis dans ma poitrine: je venais de réaliser quelque chose. Je sortis de mon lit et m’habilla si rapidement que la trotteuse de mon réveil n’eu même pas le temps d’accomplir un tour entier. Je pris mon portable, toujours posé sur ma table de nuit, ainsi que deux poches de sang que j’avais caché dans cette dernière, plaça le tout dans mon sac à dos et ouvrit lentement la fenêtre de ma chambre. C’était idiot de vouloir faire le moins de bruits possible, vu que mon père devait certainement déjà être au courant de ce qui passait mais au cas ou je préférais être prévoyante. Lorsque que je fus enfin dehors je me m’éloigna de la maison pour pouvoir réfléchir librement. Je devais le voir, lui parler, savoir ce qu’il arriverait de nous. Je me mis à courir et m’enfonça dans la forêt. Le trajet ne dura pas longtemps, il me paru même plus court que d’habitude. Je m’arrêta avant de traverser la frontière. Malgré le fait que les loups s’entendaient mieux avec ma famille, à l’exception de moi, les miens n’étaient toujours pas autorisés à pénétré dans la réserve Quileute. Je sortis une des poche de sang de mon sac à dos, déchira à l’ouverture et bus le sachet d’une traite. C’était répugnant, le sang était froid et je dus me forcer à boire jusqu’à la dernière goutte. Je ne voulais pas prendre le risque de mordre quelqu’un d’autre que Jacob, qui était le seul à me laisser ce droit… . Je repris ma course et ne tarda pas à arriver chez lui. Je m’arrêta derrière un arbre et observa les alentours. Je ne mis pas longtemps à le trouver, il était seul, dos à moi, assis sur un tronc dont la majeur partie était recouverte de neige. Il ne s’était pas encore rendu compte de ma présence. Je sortis de ma cachette et m’avança. Mes pas le firent sursauter et en une fraction de seconde il se retrouva debout face à moi. «Nessie, tu es venue !» « Oui, comme tu peux le voir.» ma voix était beaucoup trop faible et je changea de sujet pour ne pas qu’il remarque ma gène « Les garçons ne sont pas là ? Je pensais que vous aviez prévu une bataille de boulle de neige.» Il me regarda l’air embêté et me souri. «Hum…j’ai dis aux autres que je n’irais pas. Je ne suis pas d’humeur à m’amuser aujourd‘hui.» «Comme ça on sera deux.» « Pourquoi es-tu venue alors ?» Je me rapprocha encore plus jusqu’à ce que ma peau touche la sienne. J’avais l’impression que se contact me brûlait et j’aurais aimé ne pas posséder à cet instant, ma condition d’humaine pour ne pas rougir en le regardant. «J’ai réalisé quelque chose Jake.» «Et… qu’as-tu réalisé?» «Que je ne voulais pas te perdre.» Il me souri de plus belle et serra mes mains dans les siennes. « Et moi dont, j’ai bien cru que je t’avais déjà perdu.» « J’ai aussi beaucoup réfléchi à notre discussion d’hier et j’aurais aimé te poser une question » « Je t’écoute. » « Quand tu m’as parler de l’Imprégnation, tu m’as dit que c’étais une sorte de coup de foudre pour toi et les autres de la meute. » Il acquiesça. « Et moi ? Suis-je censée réagir aussi à ce phénomène ?» « L’aimée a le choix d’accepter ou non cet amour, mais cela ne se produit jamais car l’imprégné est alors « sa moitié », comme s’il n’avait été créé que pour elle. » «Mais je suis légèrement différente, je ne suis que partiellement humaine… et si ça agissait différemment dans ce cas? » « Ness, tu te pose trop de questions. Laisse tes sentiments parler pour toi. Ne réfléchie pas avec ta tête pour une fois, mais avec ton cœur. Moi je sais au fond, que si je n’avais jamais muté en loup et que nous nous serions quand même rencontré, je t’aurais aimé malgré tout. Imprégnation ou pas… tu es celle qui me convient. » Je ferma les yeux et sentis sa main caresser mon visage pour me rassurer. Il avait entièrement raison. Que je sois à demi vampire et humaine et lui loup et humain, cela ne changeait rien. Nous resterions nous même éternellement et resterions ensemble éternellement. « Mais tu sais, nous possédons une espérance de vie bien plus longue que la norme… et… si tu te lassais, enfin je veux dire … » Son doigt vint se placer sur ma bouche et m’imposa le silence. « Jamais je ne pourrais me lasser de toi, Rénesmée.» Il me prit dans ses bras et s‘empara de mes lèvres. Son baiser était aussi doux que la première fois, sauf qu’il ne transmettais que du bonheur et que j’y répondais enfin avec ferveur.

Oui, c’est sûr, plus rien ne sera comme avant…

Attention: cette fiction contient des SPOILERS!

Ennemis mortels:je t'aime,je te hais

Dernier jour pour Kate dans la ville où elle avait grandi.La jeune fille alla ce matin-là au lycée comme d'habitude,sachant très bien qu'elle voyait ses amis pour la ultime fois,espérant passer le plus de temps possible avec eux.
La journée passa à toute vitesse,comme si,pour une fois dans l'année-par hasard aujourd'hui-la pendule des salles de cours avaient accélérées leur cadence.
Des promesses furent scellées,consistant toutes à garder le contact avec les membres de la joyeuse et inséparable bande,dont il manquerait désormais la jolie et unique blonde du lot.Rentrant,les larmes présentes sur ses joues,Kate essaya de se remémorer chaque instant passé à Athis Mons.Elle revit tout les bons moments que l'adolescente avait pu passer en déambulant avec les autres.
Arrivée à destination,la jeune fille comtenpla la voiture-qui était déjà chargée depuis le début de l'après midi-sans la voir réellement.Ça y est,se dit-elle,nous partons nous installer à Paris,jamais je ne reverrais la voisine me demandant de promener ses deux Shiba Inu.Un flot recoula sur ses pomettes,elle traversa la maison jusqu'à sa chambre,se jeta sur le lit ,ses pleurs redoublérent.L'adolescente s'endormit un quart d'heure plus tard,épuisée.
Kate se réveilla,désorientée,ne reconnaissant rien de ce qui l'entourait.La lumière de l'aurore éclaira la chambre de ses rayons rougeoyant,dévoilant un grand espace.Ses yeux firent le tour de la salle,essayant de mémoriser les emplacements des différents objets.Sa mère l'appela d'en bas en lui annonçant le petit déjeuner,elle s'empressa de se lever en disant:
-J'arrive dans deux minutes,le temps de faire mon lit et je descend.
L'adolescente descentit comme prévu,deux minutes après,légèrement perdu dans la nouvelle maison,elle héla:
-Maman,ou es-tu?
-Ici,lui répondit sa mère.
Au moment où la jeune fille entra dans la cuisine,Vanessa Uley,lui demanda:
-Comment trouve-tu ta chambre?Elle est plus grande que l'ancienne déjà et nous avons essayé de repositionné les meubles comme ils étaient dans l'ancienne.
Kate ragarda sa mère,elle était son portrait craché mis à part deux détail,ses yeux brillaient d'un vert luisant et la jeune fille possédait le caractère de son père,Ulrich,qu'elle n'avait pas vu depuis six ans,le savant trop loin,aux Etats-Unis,donc trop loin pour aller le voir.Le regard inquisiteur de sa mère interrompis sa rêverie et Kate s'empressa de dire:
-Oui,j'ai remarqué,elle est super,mais il faudra que je me fasse au nouvel espace disponible.C'est bien qu'on ais gardé l'ammeublement,comme ça,il n'y a rien à racheter.
Son déjeuner avalé,sa mère l'amena au lycée en voiture.En descendant,tout les regards étaient fixés sur elle,les ignorant,Kate passa sans faire attention à tout les visages tournés vers elle,en direction du secrétariat.La dame de l'accueil lui donna son emploi du temps,sa carte de self et celle de la bibliothèque,l'adolescente la remercia puis fila à son premier cours,qui d'après le papier,était anglais.Poussant un long soupir,elle frappa à la porte,celle-ci s'ouvrit quelques secondes plus tard,sur Mr Durand,celui-ci lui dit:
-Tu dois être Kate Uley,la nouvelle.Je t'en prie entre,ne sois pas timide,présente toi puis tu t'asseoir à côté de .....(il parcouru la salle du regard)Peter.
En le voyant devenir livide,le professeur ajouta:
-Ne fais pas cette tête,ça te changera un peu,toi qui repousse la compagnie de tout le monde.Allez,enlève ton sac de cette chaise pour laisser la place à Kate.
Le jeune homme s'executa en soupirant,mécontent,tandis que l'adolescente s'avançait pour se présenter:
-Bonjour,je m'appelle Kate Uley,je viens de déménager d'Athis Mons,j'ai 15 ans.Mes parents sont séparés,du coup,je vis avec ma mère.J'espère qu'ici je me ferais autant d'amis que dans mon ancien lycée.
Après cette brève présentation,elle alla s'asseoir,les yeux fixés sur son voisin,tandis que Mr Durand lui disait:
-Merci de t'être présenté,tu peux sortir tes affaires et suivre le cours avec ton camarade.
Après le cours d'anglais,vint celui d'espagnol,français et les maths,avec toujours la même routine que celle du premier cours de la matinée,avec toujours le même voisin,avec lequel elle essaya vainement d'entamer la conversation,sans grand succès.Arrivée lors du passage au self,l'adolescente fut surprise de voir que le jeune homme l'attendait.Une fois à sa hauteur,il lui intima de le suivre et se dirigea vers une table à quatre personne où il s'assit face à elle,ses yeux pourpres la jaugeant.Kate l'imita,lui lançant un regard interrogatif,elle demanda:
-On peut savoir pourquoi tu dédaigne enfin faire attention à moi,alors que tu m'a ignoré toute la matinée?
Il répondit d'un ton calme,qui fesait passé celui de l'adolescente pour irrité:
-Disons que j'ai changé d'avis depuis tout à l'heure et je te prie de m'excuser pour cela.Après mûr réfexions,tu es très interessante,tu m'intrigues Kate Uley..Uley..Il me semble avoir déjà avoir entendu ce nom quelque part...Je ne sais plus,ça va sans doute me revenir plus tard,ce n'est pas grave.
-Heureuse de savoir que je t'intéresse.
Elle commença à manger,voyant qu'il ne déjeunait pas,lui demanda:
-Tu ne manges pas?
-Non,j'ai pas faim.Qu'est-ce que tu fais après les cours?
-Rien et toi?
-Je me disais qu'on pourrait peut-être aller faire un tour ensemble,pour que je te montre les meilleurs endroits de la capitale.Qu'est-ce que t'en dis?
-Peut-être,il vaudra d'abord que je demande à ma mère,mais ça me plairais beaucoup,encore plus venant de toi,car tu es de loin le plus beau garçons du lycée...Enfin,c'est ce que j'ai entendu dire.
-Merci du compliment.
-De rien,c'est normal,tu es tellement gentil.
Il prit un air sombre:
-Ne te fit pas aux apparences,elles sont parfois trompeuses,si dans l'histoire,je n'étais pas le gentil,si j'était le grand méchant loup?
-Je ne veut pas le croire.
-Et pourtant,ça s'est déjà vu,mon arrière grand-père,par exemple était...Un peu spécial.
-Qu'est que tu entends par là?
Peter se pencha par dessus la table:
-Je ne te le dirais pas...Maintenant du moins.Tu viens?On va être en retard en cours.
Il se levait déjà,elle le suivit.
L'après-midi passa en un éclair,sa mère vint la cherché comme prévu,lui demanda et celle-ci lui répondit que se serait une bonne idée,un sourire éclaira son visage pour tout remerciement.Peter l'emmena dans un coin reculé du parc municipal-qui était immense à côté de celui que Kate avait connu-la pria de s'asseoir à son côté et lui déclara:
-Kate,tu es vraiment une fille super,gentille,belle...
-Merci.
-De rien.J'ai une question un peu bizarre à te poser.
-Vas'y,je t'écoute.
-Comment est-ce que tu me trouve?Est-ce que tu éprouves quelque chose de particuliers pour moi?
-Eh bien...Tu es très beau,sympa et ...Il y a un truc en toi qui me plais,mais je ne sais pas quoi.A chaque fois que je te vois,je me sens entière.
Au fur et à mesure de ses paroles,il avait rapproché son visage du sien,moins de vingt centimètres les séparant.Le jeune homme lui répondit en continuant de s'approcher:
-Ah oui?Vraiment?
-Vraiment,je me sens beaucoup mieux depuis que tu es là.
-Tu sais quoi?
-Non.
-Je crois que je t'aime...
Ses lèvres se posèrent sur celles de l'adolescente.Celle-ci emprisonna sa nuque de ses mains par reflexe,pour ne pas qu'il se sauve,malgré la froideur de sa peau qui la surprenait.Au moment où elle se laissa aller contre le dossier,le garçon se libéra de son étreinte soudainement et avec une force innée,en un bond,il était à trois mètres de la jeune fille,le sourire aux lèvres,dévoilant deux canines proéminantes.Un frisson la parcourut en les apercevant,elle réussit à begayer:
-Tu...Ne...Peux...Pas...Etre...Un...Un...Vam...Un vampire.
Son sourire s'effaça,laissant place à un air gêné et désolé:
-Et pourtant,c'est la pure vérité.Désolé.Désolé,de ne pas avoir assez d'emprise sur moi pour conclure ce que j'ai commencé.
Kate passa de la stupeur à la compassion:
-Peter...Moi aussi je t'aime.Tout est ma faute,je n'aurais pas dus te toucher.Tu sais,je connais pas mal de chose sur les vampires,vu que mon grand-pères les a cotoyé pendant deux combats opposant deux clans différents de «buveurs de sang»,comme il les appelle.
-Ton grand-père...Il ne s'appelle pas Sam par hasard?
Incrédule,Kate répondit:
-Si,mais comment le sais-tu?
-Il ne t'a jamais parlé d'une couple composé d'un loup-garou et d'une demivampire?
Son teint devint pâle:
-Oui,Jacob et Rénesmée.Jacob est un ami de Sam et Emily,mes grand-parents.
-Et bien,je suis le petit fils de Jacob et Rénesmée.
Le choc fut terrible quand Kate apprit la nouvelle,elle ne quittait pas le rouquin des yeux,comme s'il allait disparaître.Soudain,une chaleur immense l'envahit,brulant tout sur son passage.Lorsque la brulure atteignit sa poitrine,son coeur s'affola,ses mains se crispèrent,voulant intensément se jeter sur la créature qui lui fesait place,figé dans ses quinze ans.Ses muscles obéirent à son désir,bondissant dans sa direction.Ses vêtements lui parurent brusquement trop serrés,les coutures craquèrent,déchirant le tissu.Quand l'adolescente attérit à quelques centimètres de lui,son apparence était tout autre.Ses yeux n'avait pas changés,mais le restant ne laissait pas deviner qui elle était vraiment.Une robe noire et soyeuse la couvrait de la tête aux pieds-aux pattes plutôt-des griffes recourbées ornait le bout de chacun de ses membres,sa gueule ouverte dévoilait des crocs tranchants.Son image menaçante de panthère était complètement opposée à ses intentions,elle ne grognait pas,ne semblait pas en position d'attaque ou de défense;donc calme.Kate vint se frotter contre lui de manière affectueuse,le jeune vampire lui dit alors:
-Eh!Vas'y molo,n'oublie pas ce que tes aïeux t'ont appris,tu es aussi fort que moi,mais en encore plus susceptible.
Le fauve gronda,elle voulu parler de la soit-disante force du jeune homme,mais il ne sortit qu'un aboiement de sa gueule,et comme en écho à ses pensées,il lui répliqua:
-Si on fesait un bras de fer,je te batterais à plat de couture,mais pour le moment,il vaut mieux parler de patte de fer.
Peter se mit à rire aux éclats.Au moment où la jeune fille se demandait comment il avait su ce qu'elle pensait,il la reprit de vitesse:
-Je peux lire les pensées des animaux,je les comprend et je peux leur parler.Et mon don fonctionne encore mieux avec toi que avec les autres animaux,même tu n'en es pas vraiment un.Je pense que si nos grands-parents étaient alliés,alors nous le pouvons.Qu'en penses-tu?
Reprenant sa véritable apparence,elle lui répondit:
-Tout à fait possible,très cher sangsue.
Voyant son air dépité,l'adolescente rajouta:
-Je plaisantais Peter,je te suivrais où que tu ailles,pour un jour et pour toujours,parce que je t'aime.
Depuis ce jour,Peter Black et Kate Uley ne se quittent plus,non seulement à cause de leur origine commune,mais aussi au sentiment qui les unit,qui selon beaucoup de contes de fée,est plus fort que tout;l'amour évidemment!

Allongée sous les ombrages d’un arbre à larges feuilles couvert de neige pure, une jeune fille contemplait le ciel se teintant de couleurs or, orangées et pourpres. Son regard était ombragé et le ciel de différentes couleurs ce soir-là reflétait ses sentiments éparpillés au gré de la neige ainsi que ses émotions et son sentiment de se sentir brisée. Elle-même avait l’impression de s’être éparpillée, depuis qu’il était parti, depuis qu’il l’avait « abandonnée » dans la forêt. Mille et une fois, elle avait fait défiler dans son esprit ce qui s’était déroulé ce soir-là. Tellement de fois tout ceci s’était déroulé dans sa tête, elle ne savait plus si c’était la simple réalité ou bien si elle l’avait rêvé. Il lui semblait encore impossible qu’il fût partit. Impossible ! Comme lançant un défi au ciel, elle le cria soudain en sa direction, comme si elle avait eu peur qu’il la contredise. Cela faisait cinq mois qu’elle se retrouvait seule, cinq mois de solitude, cinq mois qu’elle aurait voulu la présence d’Edward à ses côtés… Il n’apparaissait pas. Chaque fois, tous les matins, à chaque heure de la journée, lorsqu’elle se retournait, dans la rue, en classe, à la cafetéria, Bella croyait le voir, ne serait-ce que sa silhouette au loin, son regard aux couleurs de l’ambre, son regard lui imposant tout ce qu’il voulait par le simple fait qu’il semblait plonger tout au fond d’elle-même, lorsqu’il posait le regard sur elle. Depuis cinq mois, elle ne sentait plus sa présence. Malgré qu’il ait voulu effacer tout de son existence, Bella ne pouvait, ne voulait l’effacer de son esprit ! Il avait EXISTE ! Elle ne se l’enlèverait jamais, elle ne se résoudrait jamais à croire que son existence n’avait rien été. Elle était prête à défendre ses souvenirs contre son âme même ! Il avait voulu qu’elle oublie ! Pourquoi ??? Comment avait-il pensé qu’elle allait l’oublier simplement en effaçant toutes traces de son existence ?! Comment ? « Tu es toute ma vie à présent, Bella ».

Bang !

Avec une force illégitime, un caillou alla ricocher contre le tronc d’un arbre au loin. L’impact ne créa rien, pas même le tronc ne bougea et ne fit tomber la neige de ses branches. Il faisait froid en ce jour, mais au moins le vent remuant dans ses cheveux, l’air qu’elle sentait sur son visage, lui donnait un vague souvenir d’Edward, l’empêchant ainsi qu’il ne s’en aille, l’emprisonnant dans ses pensées avec plus de force que jamais. Bella se leva avec colère ! « Toute sa vie ! Toute sa vie ! ». Ses promesses n’avaient-elles été que chimères ?? Qu’illusions ???... Bella se sentait envahie d’une indicible et sourde colère tout en se sentant trembler de tout son être par les pleurs qui remuaient encore en elle de la perte qu’elle avait subie. Elle n’était plus que son ombre, depuis cinq mois, à peine la moitié d’elle-même. Son existence était pire qu’un désert, à présent. Elle ne vivait plus, elle survivait. Devant Charlie, devant ses amis, devant Jacob, elle souriait, ne riait plus, arborait seulement un sourire superficiel. Jacob était le seul pourtant à voir que quelque chose troublait Bella, mais elle ne voulait pas le dire, à personne. Pourtant, c’était son ami, son meilleur ami, elle se sentait bien en sa compagnie. Néanmoins, elle ne voulait pas montrer le désœuvrement qui la secouait : c’était comme avouer qu’Edward était définitivement partit, qu’il avait disparu à jamais. Elle ne le VOULAIT pas ! En parler, c’était comme l’effacer à jamais. Au contraire, elle voulait la garder égoïstement pour elle, dans sa mémoire. Comme s’il était là, auprès d’elle. Parfois, la nuit dans son lit, elle croyait le voir apparaître dans sa chambre, comme lorsqu’il avait l’habitude de venir lui rendre des visites nocturnes ; comme avant. Alors le cœur débordant de la poitrine, elle se levait, regardait autour d’elle le sang battant à ses tempes, le cœur cognant dans sa poitrine. Mais il n’était pas là. Alors sans pouvoir s’en empêcher, elle se mettait à pleurer, des larmes amères coulaient sur son visage, telle l’eau d’un ruisseau poursuivant paisiblement son chemin entre des berges de terre où poussait une tendre verdure. La différence était que Bella, contrairement à l’eau des ruisseaux, n’était pas remplie de cette même tranquillité.

… La colère se transforma en tristesse et les larmes envahirent son corps à nouveau. Bella fut secouée de sanglots qu’elle ne put contrôler. Des sanglots contenus en elle depuis bien des mois et qu’elle n’avait pu laisser sortir avant, à part pendant ces nuits, des sanglots qu’elle avait repoussé au fond d’elle en refusant de s’avouer leur cause. Les laisser sortir était également s’avouer la réalité de la disparition d’Edward Cullen. Avouer qu’Edward était définitivement parti ?... Bella essaya de les sécher immédiatement. Ses larmes n’en furent pourtant que plus amères. A ce moment, le temps changea et se refroidit. Le ciel s’assombrit, la neige commença à tomber, en lente chute des nuages. Bella ne bougea pas, resta immobile, levant simplement son visage pour le mettre face au ciel. Tombant sur son visage, les flocons semblaient caresser son visage ; Bella tressaillit. Rien que pour sentir à nouveau ces simples caresses hivernales, elle ne voulait pas bouger. Elles ressemblaient trop, beaucoup trop au contact qu’elle aimait tant des mains marmoréennes d’Edward qui avait tant parcourues son visage auparavant…
Elle aurait pu rester geler sous cette neige qu’elle n’aurait pas bouger.

***

Dans la prairie où elle et lui s’étaient déjà trouvés un jour, il y avait de cela une éternité semblait-il, Bella y resta pendant de longues heures afin de réfléchir, de crier, de méditer les raisons véritables pour lesquelles il était partit malgré qu’il lui eut dit qu’elle était toute sa vie, auparavant. L’incident d’avec Jasper ne pouvait être ce qui avait tout déclenché ! Son Amour brûlait-il toujours au même point qu’il brûlait dans le cœur de la jeune fille ? S’était-il réellement éteint telle une simple flamme ? pensa t-elle amèrement, une larme en travers de la gorge. Ressentait-il toujours la même chose malgré tout ? Car malgré la brutalité de leur séparation, le même feu se consumait en elle, le même besoin de se sentir près de lui, pour l’éternité, malgré la distance qui les séparait à présent. Le même désir de se blottir tout contre lui.

La même question incidente revenait en elle depuis des heures. Où était-il ?
A présent, le flot brûlant de ses larmes s’était tut et cette dernière question ne cessait de lui hanter l’esprit, de manière presque fiévreuse. Elle était en colère. Mais viendrait-il subitement à réapparaître ici, en ce moment, qu’elle se précipiterait dans ses bras, afin de simplement sentir sa présence qu’elle aimait tant, afin peut-être de lui crier dessus puis, de se réconcilier avec. Elle ne pouvait lui en vouloir, c’était plus fort qu’elle ; dès que ses yeux se poseraient sur ce visage d’Ange, toutes ses peines, toutes ses colères s’envoleraient. Bella leva des yeux humides vers le ciel ; à présent l’obscurité commençait à tomber. Depuis longtemps, elle aurait dû rentrer. En plus, elle grelottait de froid. Elle le savait, elle allait avoir des ennuis avec Charlie à son retour à la maison. Mais peu importait.

Posant ses mains à plat sur le sol, sur la neige, elle se leva, se mettant d’abord sur les genoux, retardant ainsi le moment de se lever. Elle releva ses cheveux de devant ses yeux, se leva enfin. Elle commença enfin à s’éloigner.

« Bella… ?»
Le cœur de la jeune fille dérapa et partit dans une course effrénée. Elle jeta des coups d’œil autour d’elle, ne vit rien.
« Ed… Edward… ? » dit-elle d’une voix presque tremblante en continuant à regarder autour d’elle. « Où es-tu ? »
« Je suis là, sans l’être. Je... Tu me manques ».
Sans pouvoir les en empêcher, Bella sentit les larmes lui monter aux yeux…
« Alors reviens… Où... où es-tu?»
Un silence s’étendit pendant plusieurs secondes…
« … Je ne peux pas venir..., pour le moment ».
Ah... pour le moment... un moment indéterminé dans le temps, puisqu'il a dit qu'il ne reviendrait plus jamais... Lentement, un sanglot remonta difficilement dans la gorge de Bella ; un sanglot qu'elle retint.
La question fusa…
« Pourquoi ? »
Il y eut un nouveau silence puis… Edward reprit d’une voix précipitée quoique douce néanmoins. Toujours musicale.
« Je ne peux pas. Je te recontacte… Je t’aime ».
La voix disparue. Bella la sentit s’éloigner et dès qu’elle ne fut plus qu’un vague souvenir, elle se laissa tomber au sol à nouveau où elle se recroquevilla, la tête entre les mains, tremblante et sans savoir si oui ou non, elle était devenue folle. S’il m’aimait vraiment, songea t-elle avec amertume, il ne serait pas partit. Pourtant, une angoisse naissante était apparue dans son cœur. Et s’il avait des ennuis ? Sa voix fondante, douce, avait paru néanmoins si précipitée d’un coup, comme s’il craignait d’être surprit…

Seule dans son lit j’admirais la neige tomber. Je n’aurais pas dû être là. Mais je l’étais et je ne le regrettais pas. Je serais prête à en mourir. Je soupirai
Seulement le supporterait – il ?
Je ne l’entendis pas renter. Il se posa derrière moi et soupira. Je sursautai mais ne me retournai pas. Je savais qui c’était.

« Oui ? fit il
- Je n’ai rien dit.
- Non mais tu penses.
- Et depuis combien de temps lis tu dans mes pensées ?
- Depuis toujours. Mais je ne lis pas dans tes pensées. Seulement une humaine qui seule dans un lit soupir il y a forcement une raison. »

Je décidai de me retourner. Ma respiration se bloqua. Il était magnifique. Plus encore que d’habitude. Ses cheveux cuivrés, mouillés, étaient collés à sa peau. Ses yeux dorés prouvaient qu’il était allé faire ce qu’il devait faire pour ma survie. Chasser.

« Commet s’était ? Demandais je envieuse.
- Horrible, sanglant, animal.
- Tu n’arriveras pas à me dégoûter.
- Tu as toujours envie ?
- De devenir vampire ? Autant que la semaine dernière, et aussi celle d’avant. Toutes depuis que je sais ce que tu es.

Cela faisait presque un an que nous nous connaissions. J’étais arrivée dans mon nouveau lycée, à Forks, en Mars. Et en un moi j’étais tombé follement amoureuse de lui. Edward.

- Tu ne seras pas vampire avant que je le décide.
- C’est ce qu’on verra.


Les jours défilèrent à une vitesse incroyable. La neige, dehors était toujours présente. Et je me sentais vieillir. Tous les jours je lui redemandais. Il refusait et me laissait seule dans ma chambre. Un jour j’eu une idée. Edward n’était pas le seul vampire du monde. Je pourrais toujours en trouver un autre. Un bon qui ne veuille pas me croquer et je deviendrai vampire. Je me couchais avec cette idée en tête. Je commençais à sombrer dans le sommeil lorsque la vitre frappa. Je lui tournai le dos. Une part de moi ne voulait pas voir Edward, même si il ne pouvait lire dans mes pensée je ne voulais pas qu’il connaisse mon plan. Mais l’autre part de moi me forçait à me retourner. Sa beauté me manquait.

Lorsque je me retournai je ne vis pas Edward, mais Alice. Je lui ouvris la fenêtre que j’avais fermée à clef, même si ça ne l’aurait pas retenue.

Elle entra et pris un sac de voyage qui traînait.

- Que fais tu ? Lui demandais je.
- Je t’aide. Répondit elle froidement.

Elle n’était pas joyeuse et surexcitée comme d’habitude. Elle était froide dans ses paroles.

- Tu m’aides à quoi ?
- Je sais ce que tu veux faire. Tu veux partir pour devenir Vampire. Si tu veux que je t’aide vas chercher tes affaires parce que si tu veux que Edward l’apprenne ...

Elle continuait à prendre plein d’habit dans mon placard et ressortie par à la fenêtre après m’avoir dit :

- Surtout ne bouge pas j’arrive.

Et elle sauta. D’un coup on frappa à la porte :

- j’y vais ! Hurla mon père qui se trouvait dans la cuisine.

Je me retournai et pris une feuille qui se trouvait sur mon bureau. C’était la feuille d’annonce du bal. Qui avait eu lieu l’année dernière. La première fois que je lui avait demandé d’être un vampire ... quel hasard .... J’écrivis deux mots pour Edward : « Je t’aime »
On frappa à ma porte. Alice.

- Coucou, ton père est d’accord pour la randonnée.
- La rando quoi ?
- Eh bien tu sais Bella ! Je t’emmène en randonnée !
- Oh oui ! La randonnée.
- Profite bien du soleil ma chérie me dit mon père. Tu reviens quand ?
- Dans ... 3 jours.

Je fis un immense bisou à mon père. Et sorti avec Alice jusqu'à au quad qu’elle avait amené.
Je montai et attachai ma voiture. Alice démarra en trombe.

- Où est Edward ? Demandais je.
- A un peu plus de 200 Km d’ici.
- Il est allé chasser si loin ?
- Il ne veut pas prendre de risque pour toi.
- Mais ça va on a le temps non ?
- Oui ... Il sera là dans 20 minutes.
- 20 minutes ! Criais je surprise.
- Oui quand il se rendra comte que je t’ai « enlevé » il va être fou.
- Qui est ce qui va ... Me ... Enfin ...
- Moi.
- Super.
- Mais j’ai peur de ne pas me contrôler.
- Tu vas y arriver. Que vois tu ?
- Mes visions ne font que changer. Un coup je te vois vampire un coup je te vois ...
- Morte ?
- Oui. Fit elle désespérée.
- J’ai confiance en toi.

Elle s’arrêta sur le coin d’une route abandonné.

- ici.
- ici ?
- Oui on a pas le temps autre part il sera là dans 7 minutes 38.
- Précise.
- Je sais.

Elle me prit sur son dos et ce mit à courir. Elle allait beaucoup moins vite qu’Edward. Bientôt je serais aussi rapide qu’elle. Elle me posa délicatement.

- Tu es prête.
- Sans hésiter.

Alice s’approcha de moi et mi sa tête dans mon cou. Elle renifla. Je pouvais entendre le battement de mon cœur. Ce qu’elle sentait bon ... Odeur des bois. Elle prit une mèche de mes cheveux et la mi de l’autre coté de mon visage. Ses lèvres touchaient presque mon cou. Je m’allongeais elle me suivait. Sa peau glacé me donnait la chaire de poule.

- Je suis vraiment désolée lui dis je.
- Je sais. Moi aussi.

Pourquoi elle aussi était elle désolée ? Enfin je compris. Elle baissa la tête et chuchota :

« Calme toi ! Mais il faut que tu le fasses ! Elle ne le supportera pas sinon. »

Elle se parlait à elle-même. Elle se convainquait de me mordre.

Soudain je compris. Je compris car je vis un dieu devant moi. Mon dieu. Le seul être que j’aime au monde. La personne avec qui je voudrais passer la vie. La vie de la terre. Rester des milliers d’année avec lui. Edward. Je voulu me jeter dans ses bras. Me faire pardonner d’avoir voulu être un vampire. Mais je n’abandonnerais pas.
Alice ne s’était pas parlé. Elle avait parlé à Edward.

- Edward ... chuchotais je.

Il baissa la tête honteux. Il avait honte de moi. Je ne pouvais le supporter. Je me mis à pleurer. Non pas hurler de désespoir. Mais avec un large sourire et les larmes qui coulent je lui larguai ce que je pensais :

- Pense ce que tu veux. Tu peux avoir honte de moi mais n’en veux pas à Alice. Elle n’a fait ça que pour moi. Je veux vraiment être avec toi pour toujours. Et ne me sort pas les excuses habituelles. Pense à Renée ou Charlie ; ou tu risques de souffrir. Souffrir ne me fait pas peur. Je veux juste être avec toi pour toujours. Je t’aime.

Alice partie en courrant. Elle me laissa seule avec Edward. Il se rapprocha de moi et me fit un bisou sur le front. Je respirais à fond. Son odeur m’avait tant manqué ... il se place derrière moi et me re-baisa le cou. Il termina par dire.

- Si c’est ce que tu veux vraiment.

Et ses crocs rentrèrent dans mon cou.

" Pour une fois - et c'était un événement rarissime à Forks - il neigeait ! Pas de pluie, pas de grêle, même pas l'ombre d'une plaque de verglas ! Juste de la neige. Et même du soleil ! Ce climat peu habituel me mit de bonne humeur ! Je décidai de me lever pour me préparer un petit-déjeuner, mais mes membres refusaient de répondre. Je cru pendant un instant que j'étais paralysée. Puis j'ouvris les yeux et vit le plafond de ma chambre. J'étais couchée sur mon lit. En tournant la tête vers la fenêtre, je constatai qu'il pleuvait. Je n'avais fait que rêver... En même temps, du soleil à Forks, j'aurais du prendre conscience de la supercherie plus tôt. Et puis de la neige...Même si c'était Noël, il ne fallait pas rêver !
Je me levai donc, maître de mes mouvements cette fois-ci, et constatai qu'il ne me restait que quelques minutes avant de devoir partir pour le lycée. J'attrapai un pull qui passait par là, enfilai le premier jean que j'eus sous la main, je pris également une écharpe épaisse et des gants pour affronter le froid hivernal... A peine deux minutes plus tard, j'étais dans ma Chevrolet - après avoir manqué de glisser sur une plaque de verglas - et partais en direction du lycée...
Arrivée là-bas, tout le monde me dévisagea. Bizarre. Est-ce qu'ils étaient habitués à ce point là à me voir arriver en Volvo avec Edward ? Entrée en cours, je m'installai à un pupitre au fond de la classe. Eric se tourna vers moi avec un grand sourire...

- Isabella Swan ?

Il se fichait de moi ?

- Ben... ouais, c'est moi...
- Quel est ton prochain cours ? demanda t-il
- Bah... Espagnol... Pourquoi tu me demandes ça ? m'étonnais-je
- Je vais au bâtiment 4, je peux te montrer le chemin ! Je m'appelle...
- Eric, je sais, le coupais-je. Qu'est ce qu'il te prend ?
- Pardon ?
- Pourquoi tu me sors ça ?

Il rougit légèrement et parût quelque peu blessé par mon attitude réfractaire. Autour de nous, quelques curieux écoutaient notre conversation - plus ou moins discrètement - et semblaient choqués et étonnés par mon attitude agressive. Pourtant le comportement d'Eric était bien plus étrange...

- Je me suis dit que tu aimerais bien que quelqu'un... te guide un peu...
- Hein ? Tu te fiche de moi..?

Eric me dévisagea comme si j'étais folle puis se retourna, vexé. Il ne daigna plus m'adresser la parole pendant le reste de la classe. Les cours suivants se passèrent le plus normalement du monde, le fait qu'aucun élève ne vienne me parler n'attira pas mon attention - depuis que je sortais avec Edward, j'avais eu tendance à mettre mes amis de côtés, et ceux-ci me le rendaient bien... La cloche sonna, je marchais nonchalamment vers la cantine où j'allai retrouver mon amoureux. Il était entouré de ses frères et sœurs, accoudé à une table au fond de la longue salle. Je me dirigeai d'un pas décidé vers lui, tout sourire. En me voyant arriver, il me dévisagea de la tête aux pieds, une lueur étrange brillant au fond de ses beaux yeux couleur ambre... Je les saluai joyeusement, lorsque je compris que quelque chose ne tournait pas rond... Tous les cinq me regardaient... étrangement...

- Quelque chose ne va pas ? demandais-je

Après m'avoir reluqué de la tête aux pieds, ils se levèrent tous les cinq, presque d'un même mouvement, et quittèrent le réfectoire, me laissant seule, hagarde et inerte. Quelques secondes plus tard - ayant retrouvé la faculté de mes mouvements - je me précipitai pour les rattraper. Ils étaient déjà dehors - l'air était glacial - Jasper enlaçai Alice, Rosalie et Emmett étaient main dans la main, Edward et une fille... Une fille ?? Qui c'était "elle" ? Il la tenait par la taille, la regardait d'un air amoureux... l'embrassait même... Je ne savais pas si je ressentais de la colère, du dégoût, de l'incompréhension... Tout ce que j'étais en mesure d'affirmer, c'est que mon cœur était sur le point d'exploser et que les larmes commençaient à me monter aux yeux... C'est comme si le monde s'était arrêté de tourner. Pourquoi... ? Que faisait-il avec cette fille ? Il savait que j'étais là, à quelques mètres de lui... Il y avait forcément une bonne raison... Je devais mal interpréter les choses. Il m'aimait. Moi. Soudain Edward tourna ses yeux dans ma direction, quelques secondes seulement, pour m'adresser un regard totalement indifférent avant se replonger dans la contemplation béate de cette fille... Là, ce fût la colère qui prit le dessus. Comment osait-il se comporter de la sorte ! Je m'approchai à pas furieux du petit groupe et m'interposait entre Edward et la demoiselle.

- Est-ce que par hasard, tu ne serais pas en train de te payer ma tête ?? fulminais-je
- Plaît-il ? me questionna-t-il d'un air réellement étonné
- C'est qui elle ? demandais-je en désignant la fille d'un geste désinvolte
- Excuse-moi, mais toi, qui es-tu ?
- Edward, c'est moi... dis-je simplement

Il haussa un sourcil en me dévisageant. Désormais, je commençais sincèrement à paniquer. Pourquoi jouait-il à ce petit jeu ? Et pourquoi ses frères et sœurs ne réagissaient pas ?

- Je peux te parler seul à seul ? lui demandais-je en tentant de garder mon calme
- Si tu veux.
- Fais attention, elle a l'air bizarre... chuchota la fille à Edward
- Ne t'inquiète pas. le rassura celui-ci avec le regard affectueux qui m'était normalement réservé

Sur ce, nous nous éloignâmes des autres. Un long regard fût échangé en silence puis il parla.

- Alors ? Peux-tu m'expliquer ? dit-il
- Excuse-moi mais ça serait plutôt à toi de me dire ce qu'il se passe ! lançais-je
- Bien, résumons. Tu as l'air de m'en vouloir, pour une raison inconnue...
- Arrête Edward ! coupais-je. Tu te trimballes avec une pauvre greluche sous mes yeux et tu penses que je ne vais pas réagir ??
- Elle s'appelle Lily et je te prierais de ne pas l'insulter.
- Mais... Tu... C'est qui elle pour toi ? parvins-je à articuler
- Ma petite amie, dit-il comme si c'était évident
- Mais... répétais-je en sentant mes yeux s'emplir de larmes de plus belle. Edward, c'est moi ta petite amie...

C'était une affirmation, pourtant c'était sur le ton de la question. Il eut l'air déconcerté.

- Je ne sais pas de quoi tu parles. Je ne sais même pas qui tu es...

Sur ce, il s'éloigna pour rejoindre les autres, puis ils partirent tous en direction du parking. J'étais bouche bée. N'ayant pas pensé à respirer depuis quelques secondes, ma tête commença à tourner. Je m'assis sur un muret non loin de là pour réfléchir. Malheureusement, le tourbillon de sentiments qui m'envahissait m'empêchait d'avoir les idées claires. Mais ça ne pouvait pas être possible. Je me répétais cette phrase avec tellement de force et de conviction qu'elle finit par ne plus avoir de sens. J'avais le visage entre les mains, les gens passaient à côté de moi en me regardant, un peu effrayés, un peu amusés. Je devais leur faire pitié... Mais peu m'importait. « Ça ne pouvait pas être possible ». Il m'aimait ! Il me l'avait répété inlassablement, il ne pouvait pas vivre sans moi, j'étais la personne la plus importante à ses yeux ! J'avais beau penser cela de toutes mes forces, la situation actuelle me démontrait pourtant le contraire...
Quelqu'un - que je n'avais pas entendu arriver - attrapa mes mains et les écarta de mon visage, j'aurai espéré voir Edward... Mais ce n'était qu'Alice. Cependant, cela me rassura. Peut-être venait-elle m'annoncer que tout cela n'était qu'une mise en scène pour échapper à une bande de vampires cannibales chinois particulièrement féroces...

- Bella, commença t-elle

L'évocation de mon surnom me fit sourire, elle au moins savait qui j'étais...

- Mon frère m'a raconté ce que tu lui as dit, et comment tu as traité Lily aussi. Je voulais simplement te prévenir que, si tu faisais quoi que ce soit qui pouvait nuire à l'un d'eux, tu auras affaire à moi.

Elle me lança un regard perçant et menaçant. Ce n'était pas ce genre de avertissement auquel je m'attendais. Après s'être assurée que son message était bien passé, elle prit congé. C'était un coup de massue supplémentaire. Je ne su pas exactement comment, mais je réussi à me traîner à mon cours suivant, ce que je regrettai aussitôt entrée dans la salle en voyant Lily et tous mes « amis » agglutinés autour d'elle. J'eus tôt fait de comprendre ce qu'il se passait. Mon mauvais comportement à son égard avait été ébruité... Elle me volait mon petit ami et c'est moi qui passais pour la méchante... Ainsi, en m'installant à une place libre, je sentis les regards peser sur moi... Voilà, maintenant tous le monde me haïssait. Comment pouvaient-ils se laisser berner par cette fille ? Ils me connaissaient depuis tellement plus de temps qu'elle..! Ils savaient tous que je sortais avec Edward et pourtant c'est cette fille qu'ils défendaient... Ne supportant plus cette atmosphère pesante, je décidai de sécher les cours et de rentrer chez moi. J'avançai rapidement dans les couloirs et eut atteint ma camionnette le temps de le dire. Sur la route, je luttais contre les larmes, attendant d'être enfermée dans ma chambre pour craquer, comme toujours... Je me garai à la va-vite, sauta de la voiture - sans voir qu'il neigeait - et montai l'escalier quatre à quatre sans même prendre le temps de saluer Charlie au passage. A peine eus-je le temps de poser mon sac que ce dernier apparût dans l'encadrement de la porte de ma chambre, l'air furieux.

- Désolé papa, j'ai passé une journée pourrie, j'aimerais bien être seule s'il te plaît...
- Bella, il me semblait t'avoir dit de ne plus jamais remettre les pieds ici.
- Quoi ??
- Tu es une enfant indigne. affirma t-il. Tu fais mal la cuisine, tu n'aimes pas le foot et en plus, tu sèches les cours maintenant !
- Mais... C'est n'importe quoi, tu vas pas me virer de la maison parce que je cuisine mal...!
- C'est exactement ce que je suis en train de faire ! tempêta t-il

Il s'approcha de mon armoire, attrapa ma valise et commença à fourrer quelques vêtements à l'intérieur. Je le regardais faire, abasourdie. Il ne pouvait pas faire ça ! Et pourtant... Il approcha de la fenêtre, l'ouvrit et balança ma valise, laquelle retomba mollement dans la fine couche de neige... Puis il se plaça près de la porte, en la désignant du doigt, pour m'inviter à sortir. J'eus beau protester, rien n'y fit... Je franchis donc la porte d'entrée - que mon père claqua immédiatement - et allai récupérer ma valise dans la neige, dont la couche s'épaississait généreusement. Je ne savais pas vraiment où aller... Pourtant je montai dans la voiture, mis le contact et parti...Cette fois-ci, je n'empêchais plus mes larmes de couler. Je ne comprenait pas comment j'avais pu en arriver là...Désormais, je n'avais plus personne. Plus Charlie, plus mes amis... Plus Edward...
Puis tout se passa très rapidement.
J'essuyai mes larmes d'une main et c'est ce moment précis que choisi une plaque de verglas pour se jeter sous mes roues. Je n'eus pas le temps de tourner le volant pour rectifier ma trajectoire, ma voiture glissa sur le bas-côté de la route et finit sa course en percutant violemment un arbre. Je mis quelques minutes à réaliser ce qu'il venait de se passer puis, percevant une odeur de brûlé, je me dépêchai de sortir de l'habitacle et de m'éloigner le plus rapidement possible de mon véhicule... Et voilà, maintenant je n'avais même plus de moyen de locomotion. J'attrapai mon téléphone. Pour appeler qui ? Personne ne viendrait m'aider. Et de toute manière, je ne voulais plus voir personne. Je ne voulais plus rien. En m'éloignant, j'avais fini par atteindre des falaises qui surplombaient la mer. Je m'approchai en me disant que, pourquoi pas, je pourrais très bien sauter - personne n'aurait l'idée de venir me sauver. Je réfléchissais sérieusement à la question lorsque j'entendis des bruits de pas derrière moi. C'était Charlie. Peut-être venait-il s'excuser...

- Bella, commença t-il. Tu comptes sauter oui ou non ?

N'attendant pas ma réponse, il s'approcha de moi et me poussa dans le vide. La chute fût vertigineuse, l'air glacial de l'hiver battait à mes oreilles. Pourtant, je n'avais pas peur. Je savais que j'avais tout perdu. Maintenant j'allais mourir, c'est tout, c'était bien. Alors que je m'étais attendue à ce que mon corps plonge dans l'eau glacée, j'eus la surprise de constater que je m'écrasai brutalement contre une épaisse couche de glace que j'entendis craquer - à moins que ce ne fus-ce mes os. Je ne me relevais pas. Je n'en avais ni la force, ni l'envie. Je finirai bien par mourir de froid... Des flocons de neige venaient se poser doucement sur mes joues... Le soleil éblouissant, m'obligea à fermer les yeux... C'est alors que j'entendis sa voix. Cette intervention m'encouragea à réouvrire les yeux. Mais il n'était pas là... Encore ces hallucinations...

« Bella... » appela t-il. « Réveille-toi »
- Ferme la Edward... murmurais-je

Un courant d'air glacé me frôla la joue... Le froid me rongeait, c'en était insupportable. Ma respiration saccadée était de plus en plus faible.

« Pense à respirer, Bella » me conseilla Edward

J'allais lui rétorquer de me laisser mourir en paix lorsque j'ouvris les yeux... Il était à côté de moi et caressait doucement ma joue. Bizarrement, je n'avais plus froid... En fait, je n'étais même plus dehors... Encore un fichu cauchemar. En me voyant réveillée, il eut ce petit sourire que j'aimais tant... Celui qui m'étais destiné... à moi... "

Je m’appelle Bella Swan. J’ai 17 ans. Je vis à Forks avec mon père Charlie. Je suis tombée éperdument amoureuse d’Edward. Mon seul petit « soucis », si je peux m’exprimer ainsi, c’est qu’il n’est pas vraiment humain. A vrais dire, c’est un vampire. Je sais, je sais, je ne devrais pas rester en compagnie d’une tel « menace ». Mais je ne peux plus revenir en arrière, ce serai vraiment trop douloureux. Je suis attaché à lui, comme lui a moi. Nous ne faisons qu’un. Notre amour est tel, que personne ne peut nous séparer .Bien des personnes s’y sont risqué, toujours sans succès. Je pense à Charlie, Jacob, Billy et bien sur James et Victoria. Nous somme unis pour la vie. Tel est notre destin. Edward, lui ma attendu pendant presque un siècle, alors que moi, je n’ai du patienter que 17 ans avant de trouver mon véritable amour. Pour lui, je suis prête à mourir, s’il le fallait. Je lui ai déjà donné mon cœur, pourquoi pas ma vie ? Mon âme ne vaut rien quand je suis loin de lui. Une expérience est amplement suffisante. Quand il m’a quitté, il y a 3 mois, pour mon « bien ». Ces 6 mois de ma courte vie, ont été les pires moments de mon existence. Il voulait que je face ma vie, comme s’il n’avait jamais existé.
« Ce sera comme si ne n’avais jamais exister »
Ces dernières paroles prononcées, dans la forêt, avant son adieu, ont été comme dans lames tranchantes me lacérant le cœur. Je ne pouvais pas croire se qu’il m’avait dit. Cette phrase avait réduit a néant, tout mes espoirs de finir ma vie a ses cotés. Heureuse et amoureuse.
Pourtant, quand sa sœur Alice, ma vu plonger d’une falaise, il a crut que je m’été suicidé. Il m’a cru morte. Eh bien, me direz-vous, qu’est-ce que sa a pu lui faire, vu qu’il ne m’aimait plus ? Or c’est bien sa le problème. Il m’aimait encore, il n’a jamais cessé de m’aimait. Il été parti car il voulait se qu’il y avait de mieux pour moi. C’est-à-dire des choses que lui, vampire, ne pouvait m’apporter. Il se haïssait de pouvoir, me toucher, m’embrasser comme il l’aurait voulu. Me croyant perdu pour toujours, il avait décidé de mettre fin a ses jours, en provoquant les Volturi. Choses qu’il a bien failli réussir, si je n’avais pas pris mon courage a deux mains, sacrifiant toutes barrières que je m’été faite. Je me suis rendu en Italie, pour lui prouve que j’été bien vivante. Pas forcément en pleine forme, mais vivante. Vu les 6 dernière mois que je venais de passer, il ne fallait pas s’attendra a se que je sois une poupée Barbie.
Bref, voila, en somme pourquoi, je ne peux pas m’imaginer ma vie sans lui. C’est mon âme sœur, ma liberté, mon bonheur, mon existence, mon dieu, ma raison d’existé… !
Tout cela étant dit, je vais vous raconter maintenant, une histoire qui ne figure dans aucuns des livres de S.M. Une histoire secrète, que je vais enfin vous dévoiler. Attention, vous risquerai d’êtres quelque peut surpris.

« -Bella, mon amour, es-tu prête ? Me demanda-t-il de sa voix veloutée.
-Oui, je le suis. Mais où allons-nous, Edward ? Alice m’a habillé comme une Barbie.
- Je ne te dirai rien, inutile d’insister Bella.
- J’espère que tu ne m’amène pas à un bal !, lui lassais-je, sûr un ton un peu trop dur, à mon goût. »
Il s’été rapproché de moi, de manière a se que sa bouche, soit a quelques centimètres de la mienne. Son souffle frais, son odeur, me fient perdre pieds. Je tressaillais. Il me prit par la taille, est m’attira contre son torse de pierre. Mes mains s’enroulaient autour de sa nuque. Il se rapprocha encore de mes lèvres, je pouvais les sentir effleurer les miennes. Il s’arrêta pourtant, dans son élan.
« -Qu’est se qu’il te déplaît dans un bal ? reprit-il sur un ton un peu trop séducteur.
Ses lèvres montaient est descendaient le long de ma joue, mon cou, et cela bien 3 fois de suite.
-Rien…, il m’avait piégé comme d’habitude. Je ne pouvais pas rester insensible à chaque fois qu’il exécutait ses figures. Sur ceux, je ne pus me retenir. Fermant mes doigts aussi forts que je pus, sur sa nuque, je me mis sur la pointe des pieds, et mes lèvres commencèrent à chercher les siennes. Il avait tout autant envi que moi, de m’embrasser car il ne se recula pas. Au contraire, il posa délicatement ses lèvres dures et froides, sur les miennes. Elles bougeaient enfin à l’unisson. Passant une main dans mes cheveux, il m’emprisonna la tête. Evident, cela été inutile, vu que je n’avais pas l’intention de m’arrêter de si tôt. Mais, je le laissai faire. Cela ne me dérangeait en rien, au contraire. Je frissonnais a son contacte. Alors, il s’arrêta. Reculant légèrement, il m’éloigna de lui quelque instant. Evidement, dans le seul but, que je reste vivante.
« Maintenant, allons-y, lança-t-il, comme un gamin excité.
-Je n’irai pas au bal, Edward !
-Je sais, mais qui a dit que nous allions à un bal ?, son plus beau sourire ravageur sur ses lèvres.
-Ah bon ?! Mais tu as dit…
-Je n’ai jamais mentionné un bal. Je t’ai juste demandé se qui te déplaisait dans ces occasions.
-Bon, très bien mais où allons-nous alors, si se n’est pas à un bal ? Tu ne ma pas fais préparer ainsi pour aller a la pêche ?! , un sentiment de panique m’envahi.
-Chutt…, laisse toi faire, mon amour. »
Me soulevant sans le moindre effort, il me prit dans ses bras, et nous amenâmes à sa voiture. Sur le chemin, je ne cessais de le regarder. Excepté pour regarder le paysage qui défilait a une allure bien trop vite pour mes pauvres yeux d’humaine. Dehors, les arbres et le sol, étaient recouverts de neige. Elle était arrivée bien trop tôt à mon goût, cette année. Elle avait commencé à tomber début septembre. Plutôt rare. Même pour un endroit comme Forks.
En plus, de la neige, la température avait évidemment bien chuté. Il ne devait pas faire plus de 2°C dehors.
« -C’est drôlement impressionnant toute cette neige, en Septembre. Tu ne trouve pas, Edward ?
- Si, mais je n’ai rien contre. Je trouve la neige de septembre magnifique. »
Il avait les yeux qui brillaient comme deux étoiles. Il essayait sans doute de me faire passer un message. Il attendait que je devine.
Soudain, quelque chose me frappa. Il avait insisté sur le mot SEPTEMBRE. Septembre, septembre, septembre… Oh non ! Pas sa ! Le combien étions-nous déjà ? Le, le, le… Le 13. Nous étions le 13 Septembre. Mon anniversaire. Oh, Non ! Et pourtant, l’horrible réalité, c’été imposé a moi.
« - Edward, rassure moi, cette chose que tu ne veux pas me dire, elle n’a rien avoir avec mon…anniversaire ? Hein ?
-Quoi ? Ton anniversaire ? Comment sa ? C’est aujourd’hui ? , me répliqua-t-il, sur un air ironique.
- Oh, ne fait pas l’imbécile, s’il te plait ! J’étais en colère maintenant. Tout s’expliquait. Ma robe, ma coiffure, le secret…J’espère que tu n’as pas fait se que je pense ! Répond-moi !
-Je ne vois pas de quoi tu parles, chérie. Je n’ai rien fait…
-Heureusement pour toi, très cher. J’été devenu un peu trop agressive, sur ces dernières paroles.
-Moi, rien……Ce n’est pas le cas d’Alice. » Il rigolait, en disant ces paroles.
Grrr…J’avais peur. La passion de la fête dont débordait Alice, été quasiment inépuisable.
Pendant tout le reste du trajet, je ne décrochai pas un mot. J’été furieuse. Tournant dans le sentier qui menait à la maison des Cullen, je découvris qu’Alice n’avait pas freiné ses ardeurs. Tous les arbres étaient décorés de centaine d’ampoules. Et ce, jusqu'à la maison. J’avais eu raison d’avoir peur. Un sentiment qui se révéla vrais, et j’étais maintenant morte de frousse. Edward coupa le moteur, est avec une vitesse surnaturelle se retrouva à coté de moi. Il me mit dans ses bras, et nous nous dirigions vers la porte d’entrée. Edward me regardait, guettant ma réaction. Me reposant sur la terre ferme, il ouvrit la porte. J’été gelée. Le froid de l’hiver, me glacé jusqu’aux os. J’avais la chair de poule. En entrant dans la maison, je crus avoir une crise cardiaque. Tout avait été décoré par des lys. Une alléchante odeur se dégagé de la pièce. Mélange de lys, de roses et de jasmin. Toute la famille Cullen, Esmée, Carliste, Rosalie, Emmet, Alice et Jasper nous attendaient. Même tous réuni collés les uns aux autres, n’arrivaient pas à cacher la montagne de cadeaux derrière eux. Une Montagne…. Non, mais je rêve ! Dites-moi que je rêve !
« Bonne anniversaire Bella, criaient-ils en cœur.
-Mouai, merci…, voila, il avait réussi à me mettre vraiment de mauvaise humeur. Bravo !
-Ne sois pas comme sa, mon amour. Ils veulent simplement te souhaiter ton anniversaire.
Ce n’est pas tous les jours qu’on a 19 ans !
-Merci infiniment, merci beaucoup, lassais-je d’une voie qui ne trompa personne. »
Edward me tenait par la taille, histoire que je ne me sauve pas. Bien sur, se n’est pas l’envie qui me manque, de me sauver à toutes jambes. Mais je ne le ferrai pas. Pour eux.
La fête, qui s’était annoncé comme particulièrement pénible fut au contraire assez sympas. Oubliant bien sur, tous mes cadeaux. Se soir, je dormirai chez Edward.
Il devait être 2heures du matin maintenant. Edward avait du partir pour chasser. Il ne serait pas long, il l’avait promis. Je n’arrivais pas à m’endormir alors pour me calmer, je suis descendu dans le salon. Personne. Ils devaient s’être absentés eux aussi. M’approchant des bais vitrées, je vis une ombre, au loin, dans la forêt. Elle me fixait, j’en été certaine. J’aurai du renoncer, remonter me coucher. Pourtant, cette chose m’intriguait. J’ouvris la fenêtre et me glissa dehors.
Je marchais en direction de la silhouette. Tête basse, bras autour de mes épaules. Je n’avais pas de veste, et pourtant je n’avais pas froid. Je transpirai. Pourquoi ? Se ne pouvais être Edward, il n’était pas parti assez longtemps pour se nourrir. Mais alors qui cela pouvait-il être ? M’approchant de plus en plus près de la forme, celle-ci reculait. Se fondant dans la forêt, je ne la voyais presque plus. Frustré, je continuais d’avancer. Espérant peut-être, qu’elle reviendrait. Marchant, marchant. Je fini par me rendre compte, que je ne connaissais pas cet endroit. Tout était noir autour de moi. Un frisson me parcourra. Un bruit émettant de la forêt me fit sursauter. Un souffle froid, me fit me retourner. Elle était là. La silhouette. L’ombre. Elle se tenait juste devant moi, a quelque mètre. Tendue, les poings seraient. Il était d’une pâleur assez bien connu. Les yeux foncés, cernait d’un anneau violet foncé, lui aussi. Son expression froide et dure, je la connaissais très bien. C’était un vampire. J’en étais certaine. Pourtant, je n’étais pas effrayé. Alors que j’aurai du être terrorisé. Je me tenais face a un vampire inconnu, qui à en juger par ses cernes, avait très soif. J’été une proie parfaite. Pourtant, il avait une expression qui m’été familière. Mais oublié. Une drôle de sensation se dégager. Je connaissais se visage… Malgré les traits parfaits de son visage, je reconnaissais quelque chose dessous. Une impression de déjà vu. Or c’été stupide. Je n’avais jamais vu d’autre vampire, excepté les Cullen et la bande de James.
Il avança vers moi. Je le distinguais un peu mieux maintenant. Quelque chose en moi, se déchira. Une image, un flash bac m’est apparu, accompagné d’une douleur. Pas physique mais moral. Une image de celui que je m’étais interdit de repenser depuis sa disparition. Personne n’était au courant. Pas même Edward, ni Alice. Je m’étais façonné une barrière, réduite a néant a cette instant. Il était là. Devant moi, prêt à me sauter dessus. Mais pourtant, j’étais bien. Je savais que c’été lui. Ma famille, mon sang, mon frère…Un frère caché. Disparut, le jour de mes 9ans. Enlevé, certainement. Plus jamais, je n’avais eu de nouvelle. Pour tous, il était mort ! Mon cœur se fendit en deux. Je l’avais retrouvé, quelque fus sa nature.
Lui, apparemment, ne m’avait pas reconnu, ou pas voulu. Je ne saurais le dire. Le visage froid, dur comme la pierre. Il s’accroupit devant moi. Je reculai. C’été impossible. Il ne pouvait pas tuer sa sœur. Mais il bondit. Me jetant à terre avec une violence inouïe. Je heurtais le sol, sous son poids, j’entendis une coté casser. J’avais mal. Je me tordais dans tous les sens. Lui évidemment, ne sentais pas que je me débattais. Il approcha sa bouche de mon cou, humant certainement mon odeur. Elle parue lui plaire. Un sourire sur son visage, puis la froideur de ses lèvres se poser sur ma peau. Je fermis les yeux, attendant la mort certaine. Je restais ainsi, un bon moment. Attendant.
Un son dévastateur me fit ouvrir les yeux. Il n’était plus là. Il n’y avait que Carliste à mes cotés.
« -Bella, tu n’as rien ? Qu’est-ce qui ta pris de t’aventurer seule dans les bois. Tu es folle ?
-Sa va, je n’ai rien. Où est-il ? Où est-il ? S’il te plait, où est-il ?
-Edward s’en charge, ne t’inquiète pas, Bella. Tout va bien. »
Il s’en charge ? Comment sa ? Non, non, non. Je vous en pris, ne lui faite pas de mal. Se n’est pas sa faute. Je me relevais tan bien que mal, car ma tête me tournait affreusement. Alice été la, elle aussi. Elle me tenait.

Le cherchant des yeux, affolée, je le vis. Il était collé au sol, Edward dessus. Il l’empêchait de bougeait. S’apprêtant à lui arracher la tête. La colère qui se lisait dans les yeux d’Edward, était à faire peur. Il avait faillit me perdre pour toujours. Cette simple idée, le mettait hors de lui. Il s’apprêtait à en finir, avec la complicité d’Emmet et de Jasper. Non, non, sa ne doit pas finir comme sa ! Ils ne vont pas me l’arracher une deuxième fois. Je ne paierais pas pour se qu’il est. C’est hors de question !
Me détachant, je ne sais comment, de l’emprise d’Alice, je fonçais vers eux. Bras tendu. Visage déformé, par la souffrance.
« Non ! Non ! Non ! Je t’en pris arrête Edward ! Ne fais pas sa. Ne le touche pas ! Le suppliais-je. Je t’en pris, se n’est pas sa faute. Laisse-le ! »
Je heurtais Edward, de plein fouet. Le poussant. Comme si ma force pouvait le déstabiliser ? Non. Mais je devais le faire. Il ne pouvait pas m’arracher, celui que je venais de retrouver après temps d’années.
« Mais, Bella ? Qu’est-ce qui te prends ? Tu es devenu complètement folle ou quoi ? Il a voulu te tuer ! Il regardait le pauvre malheureux en disant ces paroles. L’intéressé paraissait tout aussi surpris qu’Edward. Preuve qu’il ne m’avait pas reconnu. Evidement, j’avais du beaucoup changer. Mais quand même !
-Laisse-le. S’il te plait, Edward. Ne fais pas quelque chose que tu risqueras de regretter toute ta vie ! Il me lança son regard froid. Interrogatif. Un sourcil relevé.
-Emmet ? ordonna-t-il. Le ton, le plus dur que je n’ai jamais entendu. Sur ces mots, Emmet me tomba dessus, et m’emprisonna contre lui. Brrr… Il était gelé.
Je tentais de me débattre, mais que faire contre lui. Il était bien plus fort que tout les Cullen réunies. Flute !
-Emmet, lâche-moi ! Fou- moi la paix ! Espèce de vampire sans cervelle ! Je hurlais à présent. Furieuse... Personne ne comprenait pourquoi évidement. J’avais du mal, à le savoir moi-même. Pourtant, une force incontrôlée me poussait à lui sauver la vie. Même, mon ‘’frère’’ ne comprenait pas vraiment la raison qui me poussais à le garder en vie. Mais son expression avait changé. Il essayait, à présent, de comprendre. Me dévisagent autant que son chant de vision le lui permette. Impossible, il n’avait pas pu m’oublier. Moi. Sa sœur. Son sang. Alors dans un ultime effort, je réussis à lui crier :
« - C’est moi ! Rappelle-toi ! C’est moi, Bella ! Je t’en pris, tu n’as pas pu m’oublier. Je t’en supplie. Rappelle-toi !
-Bella ? Non, c’est impossible ! Je ne te crois pas, menteuse !me cracha-t-il.
-Non, c’est bien moi ! M’énervais-je. Je suis devant toi, et tu ne me crois pas. Mais c’est bien moi. Celle que tu voulais protéger, celle que tu voulais garder, celle que tu aimais. Alvin. C’est moi, et je t’aime. Je t’en supplie. Rappelle-toi, reconnais-moi. J’ai juste 10 ans de plus.
-Bella ?... C’est bien toi ? Mais comment ? Non…
-Je te le jure, et je t’aime Alvin. J’ai attendu se moment toute ma vie. Maintenant que tu es la, Je te laisserai pas repartir une seconde fois !
-Je… »
Edward ne s’était pas relever. Tout le monde nous dévisageait. Y compris Alice, qui n’avait rien vu venir. Emmet m’avait lâché, hébété lui aussi, par ces aveux. Je n’eu aucun mal a m’approchais de mon frère. D’une main calme et douce, je demandais à Edward de le laisser. Il hésita. Mais fus contraint de se relever, sous mon regard de glace. Kristen s’était relevé lui aussi. Seulement, 2 mètres nous séparait. Je m’avançais, prudemment. Mais sans peur, car je savais éperdument, qu’il ne me ferait rien. Ou du moins, je l’espérai. J’avais besoin de le toucher, de sentir quelque chose aux bouts de mes doigts. De savoir que je ne rêvais pas, qu’il était bien réel.
« Bella, je pourrai…
-Chutt, je sais. Je vis cette crainte tout les jours. Je sais se que tu es. Je n’ai pas peur de toi, Alvin. Tu es mon frère. Le même sang coule dans nos veines. Tu t’appelles Alvin Swan !
-Tu ne me crains pas ? … Malgré se que je suis devenu ? … Cette horrible chose. Se Monstre !
-Arrête ! Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. Je refuse d’en entendre plus. Assez d’idioties pour aujourd’hui. Tu es mon frère, vampire ou non ! Et je t’aime tel quel !
-Bella, Si tu savais … »
M’interdisant d’en entendre plus, je me jetais dans ses bras sous les regards médusé des Cullen. Il m’attrapa. Son torse froid me fis frissonnais. Il m’enlaça très fort, et nous restions ainsi un long, très long moment. Personne ne se risquait à perturber nos retrouvailles après temps d’années. Cet instant été si précieux, que je me mis à pleurer. Des larmes de joie.
« -Plus jamais ?! Réussis-je à prononcer, entre deux sanglots.
- Jamais, je suis là, à présent. Pour toujours Bella. Je t’aime.
-Je t’aime… ».

Un tremblement de terre secoua Forks à 7 heures le matin, le tremblement me réveilla soudainement ! J’étais tout en sueur, voilà maintenant 3 ans que j’habitais la misérable ville de Forks, je m’étais fait quelque ami, mais la grande ville me manquait, New York me manquait encore aujourd’hui… J’étais née dans cette merveilleuse ville, j’étais tombé en amour avec, dès que j’en avais eu l’occasion. Maintenant, je devais vivre dans le plus misérable trou de l’univers, la ville la plus pluvieuse, la pluie ne me dérangeais pas c’était surtout le fait d’être enfermer dans une minuscule ville ! Dans les dernières années, je m’étais fait des amis à l’école, mais je ne les voyais jamais en dehors des heures de classe. Mes vrais amis vivaient à New York… Leurs parents ne les avaient pas obligés à déménager contre leur gré.

Donc, je m’étais levé en sueur comme tous les matins, j’avais fait le même terrible cauchemar sur les vampires, ceux-ci venait il m’enlevait et après je ne savais pas, mon rêve s’arrêtait toujours là ! Si au moins cela pouvait être vrai, si quelqu’un pouvait me kidnapper. Je tournai ma tête légèrement : * Quoi déjà 8 heures *, je vais être en retard à l’école ! Je m’habillai à une vitesse hallucinante, prend une petit boucher et parti en courant pour l’école ! Je n’avais pas encore d’automobile, j’étais trop pauvre … Lorsque j’arrivai je me précipite à ma case, je pris mes affaires pour me cours d’Anglais et parti en courant. Par la suite, il ne me restait qu’à endurer 2 cours, un diner puis 3 autres cours, La journée se passa sans embuche, sur l’heure du diner j’avais réussi à ignorer de façon exceptionnelle les vampires qui siégeaient à arrière de moi. C’est temps-si je réussissais de mieux en mieux à les ignorer, autrefois, il y a 2 ans et demi. J’avais vécu la parfaite histoire avec l’une des vampires, une histoire trop parfaite pour être réel. Il m’arrivait parfois de me demander si je n’avais pas rêvé c’est moments heureux, les seuls moments heureux de mon existence en 3 ans. Malheureusement, un autre vampire était arrivé, il était lui aussi parfait, comme ces congénères, il avait tenté de séduire ma bien aimé. Au début il avait lamentablement échoué, mais peu à peu elle m’avait délaissé pour lui. Lorsqu’elle ma quitté, elle m’a dit les paroles suivantes :

« Je te laisse, non par manque d’amour, tu es la personne que j’ai le plus aimé, mais il est mieux pour nous deux, surtout pour toi de trouver des gens de notre espèce »

Aujourd’hui, son vampire était parti, il n’avait pas apprécié le régime végétarien et les Cullen, c’est ainsi qu’il s’appelait ne voulait pas qu’on tu des humains sur leur territoire même ma belle l’avait laissé partit, mais elle n’était pas revenu vers moi. Je n’avais plus de contact avec eux. Lorsque l’autre frimeur était parti, j’avais bien tenté de revenir vers elle, vers Bella, mais elle m’avait rendit exactement la même chose que la dernière fois. Comment pouvait-t-elle croire que c’était mieux pour moi ! Elle le voyait bien que je souffrais que je ne me faisais pas à l’existence humaine de Forks ! J’avais supplié mes parents de repartir à New York, après ma rupture. Mais ils avaient refusé, nous sommes bien à Forks, avaient-ils dit. MENSONGE ! Vous êtes bien à Forks, vous ne vous souciez pas de moi ! S’en a toujours été ainsi, mes parents ne voient même pas que je suis seul, que je souffre depuis près de 3 ans … Un jour je pourrais partir d’ici revoir le soleil, mental et le vrai, mais le moment n’était pas encore venu. Après, ma marche pour me rendre chez-nous, je ne vivais pas très loin de l’école je pouvais donc me rendre à pied, je couru jusqu’à ma chambre pour ne pas avoir à endurer le discours quotidien de mes parents :

« Sa bien été à l’école aujourd’hui, t’es amis vont bien ? »

« Oui, tout va bien »

Je leur répondais cela chaque soir et cela suffisait à les rassurer ! Quelle parent idiot, se soir je fis mes devoirs rapidement, je n’en avais pas beaucoup ! C’était bien je pourrais parler avec mes amis, mes vrai on s’entend, pour longtemps que d’habitude. Dès que je connectai sur msn, Alice, mon «amie» étrange de Forks me salua, c’était celle de mes nouveaux amis que j’appréciais le plus, elle semblait se soucier un petit peu du malheur que j’endurais et souvent essayait de me remonter un peu le moral, mais notre relation n’allait pas bien loin peut-être parce que je ne le voulais pas, peut-être parce que si je me paraissait me plaire sans Bella, elle ne voudrait plus revenir, comme si de toute façon elle reviendrait… Je passerais ma vie sans elle, dans ce cas on ne pourrait pas appeler une vie, mais une survie, elle était mon complément je le sentais je le savais ! Jamais je ne pourrais m’en séparer. Pour en revenir à ma soirée, c’était une soirée comme les autres, rien ne changeait rien ne différait des autres soirs, malheureusement. Les jours passaient et passaient, il était tous aussi long les uns que les autres, rien ne les différenciait, les fin de semaines étaient particulièrement pénible, je tournais en rond quelques heures dans ma chambre, je n’avais rien à faire, personne à voir ! Ma vie était une longue suite de dépression.

Parfois, je me disais que je devais changer ça, m’intégrer au monde des humains, mais j’en étais incapable ! Je l’aimais encore trop ! Elle est tout pour moi et rien qu’elle ne voulait plus de moi. En fait, j’en suis certain, elle voulait encore de ma présence, mais se disait que c’était mieux pour moi de ne pas la fréquenter ! C’était tellement faux, rien n’était mieux pour moi ! Je vais retourner vers elle une autre fois, une dernière fois ! Peut-être que cette fois sera la bonne.

Le lendemain matin, ma décision était bien prise, j’en étais sur. Je ne pouvais plus faire comme si rien n’étais je l’aimais plus que tout ! Elle était mon future! Le matin ne semblait pas vouloir arriver, j’avais hâte d’aller la voir, de pouvoir la contempler, entendre ça voix, sentir son odeur. Si elle me rejetait encore une fois, par contre, je ne pourrais pas m’en remettre je le savais, c’était le risque à courir pour être heureux, ma fin ou mon bonheur, avec moi c’était un ou l’autre. Il n’y avait jamais de juste milieu dans ce domaine. Enfin, après une nuit qui me sembla blanche, le soleil, en fait ce qu’on peut appeler le soleil lorsqu’on est résident de Forks, se montra. Je me précipitai dans la cuisine, voilà bien longtemps que je n’avais pas été aussi précipité que j’avais, ainsi, laisser transparaître mes vrais émotions, cela faisait du bien ! Je me fit rapidement à déjeuner mangea cela avec empressement et parti en vitesse pour l’école, comme si l’heure du diner allait arriver plus vite. J’avais prévu d’aller m’assoir avec eux à l’heure du diner, elle ne pourrait pas me repousser trop sévèrement devant tout cette personne, ces frères et sœurs partiraient surement, en fait c’est ce que j’espérais.

La mâtiné passa tellement lentement que j’avais l’impression que quelqu’un avait arrêté le temps, ce qui était plus ou moins absurde lorsqu’on connaissait les vampires. Enfin, après tant d’attente la cloche sonna, mais je devais prendre mon temps pour arriver après eux. Après 10 minutes, j’arrivai dans la cafétéria, je passai à coté de mes « amis » sans leur jeté un coup d’œil je continuai ma route et je m’assis enfin avec eux.

« Bonjour » leurs dis-je très naturellement.

Je savais qu’il en fallait beaucoup pour surprendre un vampire et encore plus pour le laisser stupéfait, mais j’avais réussis, j’avais complètement stupéfié, la vampire de mon cœur ! Ma vampire ! C’est que je voulais par-dessus tout !

« Bonjour, sa va bien Edward ? » me répondit Mike, son frère.

« Oui, très Mike et toi ? Tu m’as énormément manqué »

« Oui, je vais très bien »

« J’aimerais que vous nous laissiez seul ! »

Les Cullen ne répondirent même pas, ce n’était pas une suggestion, c’était un ordre !

« Qu’est que tu me veux Edward ?!? »

« Tu sais très bien ce que je veux, c’est toi et uniquement toi ! Et je le sais je le sens, c’est la même chose pour toi ! Tu tente de me protéger dis-tu ! Mais, tu as tout faux ! Tu ne vois donc pas le mal que tu as fait naître chez… »

« Stop ! Arrête ! Tu viens on va aller parler de sa à l’extérieur, le monde commence à nous écouter et ma condition va surement arriver en jeux bientôt » m’interrompu-t-elle

Nous sortîmes dehors, je courais pratiquement tellement j’avais hâte de continuer ma conversation, dehors il neigeait énormément, c'était rare à Forks. Mais sa rendait le moment avec Bella encore plus fort, encore plus puissant ! La neige rajoutait une touche magique à ce moment parfait, j'ai toujours trouver que la neige était très romantique !

« Écoute moi bien, reprit-elle, je ne suis pas fait pour toi ! Tu as raison je t’aime, mais je ne peux pas, stp … »

« Non pas cette fois ! Mais vie n’est pas en danger avec vous ! Tu es capable de résister ! »

« Non tu te trompe je ne suis plus capable de résister. »

À ce moment, contre toute attente Bella me sauta dessus, voilà j’allais mourir, mourir de la main de sa bien aimée. Quel drôle d’idée… La dernière chose dont je fus conscient c’est Bella qui prit mon corps en larme et elle partir en courant dans la forêt. J’avais toujours cru que la mort n’était pas douloureuse, je m’étais trompé. Je mourrais tout en souffrant, c’était insupportable. Finalement, je me réveillai 3 jours plus tard, bien vivants … Je ne compris pas tout de suite, puis enfin je compris. Elle ne m’avait pas tué, elle m’avait transformé … Elle n’avait pas résisté au fait de me transformer de passé l’éternité avec moi ! En ce moment je suis sur que si j’aurais pu pleurer j’aurais vidé les larmes de mon corps. Enfin, je la vis si parfaite et mes lèvres bougèrent sans produire un son, mais je suis sur quelle comprit : Je t’aime plus que tout et pour toujours.

pour moi je vote officielement pour l'avant derniere le sans titre 4

Euh moi, j' en ai 3:
- Le sans titre N°4 sans hésiter.
- Le sans titre N°2
- Une victoire amoureuse


Je donnerai mon choix définitif ce soir : je refais une lecture plus critique.

Alors moi apres une premiere lecture rapide je dirais sans titre 3.
Je vai toute les relire au calme pour en profiter

La rupture du point de vue d'Edward avec quelques modifications

Je dois le faire. Il le faut. J'essaye de me persuader que j'ai fait le bon choix. Que ça sera ce qu'il y'a de mieux pour elle. Elle mérite d'avoir une vie; une âme. Je l'ai mise en danger; une fois de plus. Seulement cette fois j'ai réellement pensé à mettre fin à mes jours. Pas parce que je croulerais sous le poids de la culpabilité (non pas que ce soit faux) mais parce que cette fois j'ai vraiment cru la perdre. J'ai aperçu ce que serait ma vie sans elle: insupportable. J'ai cru qu'elle allait mourir, par ma faute! A cause de ce que je suis! Comment vivre dans un monde où elle n'est plus, quand bien même je n’aurais été pour rien dans sa perte.
J'ai peut être toujours su la vérité au fond; mais je me l’ai caché. Je me raccrochais au moindre espoir. A chacun de ses sourires. Toutes les fois où mon corps et mes instincts auraient pu avoir raison de moi mais ou j'ai gagné. A chaque victoire, même les plus minimes. Je me disais que ça pourrait marcher. Que je pouvais ne plus être un danger pour elle, que je pourrais même être BON.
Parce qu'elle m'avait choisi moi, et qu'elle m'aimait malgré ce que j'étais. Mais je me mentais; bien sûr. Je représente un danger; il faut que cela cesse. Je dois partir. Je dois la quitter et trahir ma promesse.
Je sais que je dois le faire et pourtant... J'ignore comment trouver la force. J'essaye de m'éloigner d'elle, doucemement pour rendre la situation plus supportable. Pas pour moi évidement, pour elle.
Généralement les humains oublient vite et guérissent de leurs blessures passées. Je prierais tous les jours pour que Bella ne soit pas une exception. Je veux qu'elle m'oublie? Est ce que c'est vraiment ça que je veux? Il ne s'agit pas de moi, Hélas. Je souffrirais comme jamais un être de mon espèce n'a souffert pour pouvoir lui rendre sa vie. La leur et si courte; le temps qu'elle a consacré à m'aimer est infime pour moi, quand on a l'éternité. Quelques mois avec elle, semblent tellement courts; mais pour elle... Alors oui, j'espère qu'elle guérira de moi. Pour moi, ce n'est pas le temps qui manque, j'ai l'éternité pour purger ma peine; je peux la pleurer indéfiniment.
Je ne veux pas être un monstre en la privant de tout mais je ne veux pas seulement souffrir (égoïste!).
Je partirais quand mon heure sera venue; quand Bella partira.

Il est temps, je ne peux plus retarder l'inévitable. Le processus était enclenché, trop tard pour faire marche arrière. Je n'avais pas posté sa lettre à Renée. Des photos qu'elle n'aura jamais. J'avais été étrange ces derniers jours, distant. Bella l'a senti. Comment ai-je pu oublier à quel point elle était observatrice? Toutes ces photos, prise dans l'urgence, tous cela devait avoir un sens à ses yeux mais j'ignorais encore lequel. Je haïssais une fois de plus que ma faculté n'ai aucun effet sur elle, j'aurais peut être pu trouver les mots justes qui la feraient le moins souffrir.
J'étais si perdu dans mes réflexions que je n'ai pas vu le temps passer et ma conduite avait beau m'avoir permis d'arriver chez elle le premier, elle m'avait maintenant rejoint. Elle m'avait prise au dépourvu, je pensais avoir plus de temps pour me préparer; je n'étais pas prêt à la quitter.
Je poussais un gros soupir, chose que je n'avais pas le souvenir d'avoir fait auparavant et rassembla mon courage. Je descendis de voiture et alla à sa rencontre. Je ne voulais pas aller chez elle, dans sa chambre. Trop de souvenirs. Mieux fallait-il un lieu plus neutre. Je fouillais des yeux les alentours. Tout etait blanc, recouvert d'une fine couche de neige. Cela me donnerait une excuse, je ne risquais pas d'avoir froid mais Bella oui. Et de plus, elle n'appreçiait pas particulierement le froid et l'humidité. Les bois. Les bois n'avaient pas de veritable liens avec nous, enfin CES bois. Je m'en contenterais.
_ Suis moi.
J'essayais de prendre une voix plate, monocorde. Je ne voulais pas l'alarmer plus que nécessaire. Je voulais me convaincre que si ca me paraissait simple, ça le serait aussi pour elle.
Je voyais bien qu'elle se méfiait, elle hésitait, voulant surement savoir où je voulais en venir. Ce n'etait pas dans mes habitudes. En temps normale je ne l'aurais jamais entrainé dehors par un temps pareil, mais nous n'etions pas en temps normal et il etait temps qu'elle l'apprenne.
Si je montrais une once d'hésitation elle s'en servirait contre moi et je ne sais pas combien de temps je pourrais lui tenir tête. Je m’arrêtai, m'appuya sur la première chose venue (un tronc?) en prenant un air que je voulais nonchalant.
_ Tu ne voulais pas te balader pas vrai? Je vois encore la maison. Tu veux discuter; alors discutons.
Elle avait tord, pour une fois. Je ne voulais pas discuter; j'étais trop lâche. Je voulais lui dire que je m'en allais et espérer qu'elle l’accepterait sans broncher, en comprenant que je faisais ça pour son bien.
Je doute hélas que ce soit aussi bien et je redoute le moment où je vais devoir lui mentir; la blesser.
Je devais faire simple. Ferme et décidé..
_ Nous partons.
Elle ne semblait pas surprise. Mon attitude lui avait elle laissé présager ce que je préparais?
_ Pourquoi maintenant? Pourquoi faire cela dans la précipitation? Encore une année ne devrait pas...
Elle voulait retarder mon départ, bien sûr. Je me suis cherché moi aussi toutes les excuses pour pouvoir rester. Un an, rien qu'un an et je partirais. C'était faux bien sur si je ne trouvais pas la force de partir maintenant, comment la trouver dans un an? Mais c'est vrai, ce n'était pas juste. Je m'étais pris le temps de me préparer à cette rupture et je la mettais elle devant le fait accompli. Mais cela vaut mieux. Elle aurait cogité, ce serait attiré des ennuis pour me forcer à rester. Non vraiment, j'ai bien fait, elle souffrira moins ainsi.
_ Il est grand temps Bella, nous étions déjà là avant ton arrivée et nous nous sommes trop attardés à Forks. Tu as pu constater la fascination qu'on exerce sur les gens. On ne peut pas passer inaperçu, on constate vite nos différences. Pour nous cela pourrait être plausible, nous sommes « adolescent », avoir l'air jeune ne nous porte pas défaut mais Carlisle ne semble déjà pas avoir la trentaine or il est censé vieillir jour âpres jour. Alors partir aujourd'hui ou demain....
J'avais dit tous ca d'une seule traite. Au fur et à mesure de mon argumentation je voyais qu'elle se questionnait. Tout d'un coup; elle me prit de court, une fois de plus! Je le vis dans ses yeux; elle venait de réaliser que je partais SEUL. Elle avait cru que je partais mais que je partais avec elle.
J'essayais de cacher l'horreur que m'envahissait. Elle était prête à risquer sa vie tout les jours pour être avec moi, elle était prete à tout quitter pour rester auprès de moi, et moi, j'allais la quitter. Je comprenais dorénavant mieux le manège des photos. Elle avait voulu tout immortaliser car si elle partait avec moi elle n'était pas sûre de revenir. Elle voulait envoyer ses photos à sa mère pour qu'elle conserve elle aussi ces derniers moments. Et si je l'emmenais? Elle avait déjà tout préparé, elle semblait résolue et....
RESSAISI TOI!
_ Quand tu dis nous c'est...?
_ Oui. C'est moi et les miens.
_ Je viens aussi. Où que tu ailles je te suivrais.
Elle ne me facilitait pas la tâche mais malgré la situation ces mots me réconfortaient. Je ne pouvais me l'expliquer.
_ Ce n'est pas pour toi. Ma vie n'est pas la tienne, elle n'est pas bonne pour toi.
_ Ne dis pas de bêtises! Tu es ma vie Edward!
_ Je ne t'apporte rien de bon. Je ne pourrais jamais rien t'apporter de bon.
_ Pourquoi tu dis ça? Arrête c'est faux! Tu sais que c'est faux! C'est à cause de l'incident avec Jasper? C'est ça? Mais ce n'est rien Edward, rien du tout! Je vais très bien je n'ai même pas eu peur! C'est Jasper, il croit que je lui en veux? Je ne lui en veux pas du tout c'est n'est pas ça faute j'ai été maladroite c'est à cause de moi, je ferais plus attention la prochaine fois Edward!
_ Ce n'est pas le seul problème.
_ Alors quoi? Dis moi on trouvera une solution, tous les deux. Tu ne peux pas me quitter tu me l'as juré! C'est mon âme c'est cela? Tu as peur que je perde mon âme, mais je n'en veux pas de mon âme sans toi! Prend la Edward, prend la je te la donne, je te l'ai déjà donné!
Elle pleurait a présent et les flocons tombaient soudainement avec plus d'abondance. Elle ne pouvais surement plus distinguer mon regard tres clairement. Malheureusement moi je le pouvais et je devais me faire violence pour ne pas voler a ses cotés pour la consoler. Mes élans de protection étaient plus forts que jamais. Je me figeais au sol, m'empêchant de bouger.
Je me répétais que c'étais moi qui la faisait pleurer et cela me glaça d'effroi.
_ Tu n'y ai pas Bella. Fais le, fais le. Je pris une grande bouché d'air. Je restai silencieux quelques instants les yeux baissés pour ne pas croiser son regard, peu être quelques secondes pour elle je ne sais pas, le temps de rassembler mes esprits et mon courage et c'est plus résolu que jamais que je relevai les yeux.
_ Je ne veux pas que tu viennes Bella.
Les mots étaient sortis, tranchants. Cela suffira t-il? Comprenait-elle. Je la toisais mais j'attendais en realité nerveusement sa reaction.
_ Est ce que... Est ce que tu me quittes?
_ Oui.
Je prononçais ce oui d'une voix tellement convaincu que je me surpris moi même. C'était plus simple: elle avait l'air de me croire.
_ Dans ce cas, ca change tout.
Elle semblait calme, je guettais le contre coup. Est ce qu'elle pensait réellement que je ne l'aimais plus? Comment le pouvait-elle? Comment pouvait être douter de mon amour pour elle, après toutes les heures passées près d'elle, toutes ces fois ou je lui ai exprimé mon amour. Je lui avais dis tant de fois que je l'aimais et il a suffit d'une simple fois pour qu'elle croit le contraire. Je n'avais pas le droit de lui en vouloir et je le savais Mais je n'arrivais pas à croire qu'elle puisse réellement penser que je partais car je ne l'aimais plus, car je ne voulais pas être avec elle. Je partais justement parce que je l'aimais trop! A tel point que ca en devenait dangereux, pour elle.
_ Naturellement une partie de moi continuera à t'aimer. Enfin en quelque sorte. Mais je suis las de faire semblant. Je ne suis pas humain, ce rôle n'est pas le mien. Je n'aurais pas du te faire croire que je pourrais me suffire dans cette imposture. J'en suis désolé.
_ Ne fait pas ça. Ne dis pas ça.
Elle commençait à comprendre, enfin. Ses paroles n'etaient plus que des chuchotis, que j'entendais malgré tout bien assez. Elles avaient des airs de supplication. Elle me suppliait de rester et mon cœur gelé me suppliait de l'écoutait.
_ Tu ne m'apporte rien de bon.
_ Si c'est vraiment ce que tu souhaites...
Elle espérait un non.
_ Oui. J'ai toutefois une dernière requête. Une faveur à te demander.
_ Je t'écoute.
Sa voix était maintenant à peine audible même si elle se voulait ferme. Je revoyais le petit chiot en colère qui ne peut blesser personne malgré le fait qu'elle formule des menaces. Une image qui m'avait fait rire, autrefois.
Mais je savais que j'avais gagné. Si on peut appeler ça gagner... Avant de partir il fallait que je m'assure d'une chose. J'allais être assez inquiet pour elle, je ne voulais pas qu'elle s'attire volontairement des ennuies. C'était un don qu'elle possédait déjà.
_ Pas d'actes téméraires ou stupide. Entendu? Elle acquiesça. Oui, j'avais ma victoire toute proche.
C'est pour Charlie que je dis ça bien sur, tu te dois de prendre soin de toi... pour lui.
_ D'accord.
Cela me rassurait un peu. C'est déjà ça dont je n'aurais pas à me préoccuper une fois loin d'elle.
_ En échange, je vais te faire une promesse. Je te jure que tu ne me reverras plus jamais.
Je ne reviendrais pas. Je ne t'entrainerais plus dans ce genre d'épreuves. Vis ta vie, je ne m'en mêlerais plus. Ce sera comme si je n'avais jamais existé.
Je repensais aux photos que j'avais déjà dissimulais, et a tous ce que j'emporterais avec moi des que j'aurais tourner le dos. Je tiendrais ma promesse, je lui devais bien ça.
_ Te n'inquiète pas, le temps efface toutes les blessures. Vous autres les humains avez la mémoire courte.
_ Et la tienne? Qu'en est-il de ta memoire à toi?
Elle avait raison, encore. Je n'oublierais pas, jamais.
_ Et bien... Je n'oublirais pas c'est vrai. Mais ceux de ma race sont du genre à ce laisser distraire...
Je lui dévoilais ma canine dans un sourire lugubre. Voilà c'est tout je pense que j'en ai terminé. Nous ne viendrons plus t'importuner.
_ Nous?? Comment... Pourquoi.... Et Alice? Je ne rêverais pas Alice?
Sa voix reprenait des accents alarmés. Je savais que sa relation avec Alice était très intense, Alice l'avait vu dès le départ.
_ Non. Les autres sont déjà partis. Je suis le seul à être resté, pour te dire au revoir. Elle aurait voulu t'expliquer, te dire au revoir en personne mais je l'ai persuadé qu'une rupture brutale était ce qu'il y'avait de mieux, pour toi.
C'était le moment, je le savais.
_ Adieu Bella.
_ Non attends! Ne pars pas comme ça!
Ces supplications seraient les dernières, j'en faisais le serment. Je m’approchai d'elle pour mieux la quitter. Ses mains s'étaient tendu vers moi, surement instinctivement, dans un dernier espoir de me retenir. Je les emprisonnai dans mes paumes glacées; les plaqua doucement mais fermement le long de son corps. Un dernier baiser, l'ultime. Je baisai son front. Ce baiser ne devrait pas laisser de trace, il nous pourrait ne pas nous faire plus de mal.
_ Prend soin de toi. C'était à moi de la supplier désormais.
Je la regardai pour la dernière fois; m'imprégnant des ses traits, de son visage. Je respirais pleinement son odeur, celle qu'elle emanait sous la pluie qui remplacait peu à peu les derniers flocons de neige, une dernière fois. Je voulais me souvenir de tout. Une fois sur que rien ne m'avait échappé à mes photographies mentales, je fermai mon cœur à double tour et parti sans me retourner.

Une nouvelle fiction qui a été rajouter ! C'est la sans titre 1

Moi à date je préfère Imprégnation!

Voici mes commentaires pour chacune des fictions:

Imprégnation :
Très belle situation où cela pourrait réellement se produire. J’ai bien aimé l’histoire, c’est très bien écrit. Texte un peu difficile à lire puisqu’il n’est pas séparé en paragraphes.

Sans titre 1 :
Très jolie la scène vécu par Edward dans le tome 2. J'ai bien aimé!

Une victoire amoureuse :
Très belle histoire, c’était drôle de voir que Bella a toujours eu peur de Rosalie.

Toi et moi
Très belle histoire. Je ne comprenais pas au début qui était qui, mais dès que j’ai lu la fin, j’ai compris que c’était le monde à l’envers, j’ai dû la relire pour la savourer entièrement. Ce qui m’a un peu arrêtée ce sont les fautes.

Sans Titre 2
La volonté de Bella est plus forte que tout. Très belle histoire 

Le changement
Je n’ai pas trop saisi l’histoire. Le texte était difficile à lire, car il ne contenait pas beaucoup de paragraphes. Il y avait beaucoup de fautes également.


Ennemis mortels:je t'aime,je te hais
Histoire qui se passe trop vite. Le thème de l’hiver n’a pas été respecté.


Loin des yeux, tout près du coeur... Et difficulté supplémentaire
Très bien écrit, on peut imaginer très bien la scène.

Sans titre 4
L’histoire est très bien écrite, mais contient plusieurs fautes. J’ai bien aimé seulement c’était un peu tirer par les cheveux. Oublier son anniversaire… un frère caché qui est affamée qui sert Bella dans ses bras. Bravo pour cette fiction!

Sans titre 3
Très belle histoire, bien écrite, on s’amuse du début à la fin.



Donc je devrai donc faire un choix entre :

- Loin des yeux, tout près du coeur... Et difficulté supplémentaire
- Une victoire amoureuse
- Sans titre 3
- Sans titre 2
- Toi et moi

Ma préféré est "une victoire amoureuse"
J'ai bien rigolé en la lisant.

Alors moi j'adore la sans titre 1: Rupture du point de vue d'Edward...
Je déteste ce moment dans Tentation c'est la partie la plus triste pour moi.
Mais j'aurais réellement aimé savoir le point de vue d'Edward et la fics est très bien écrite!!!

La sans titre 2: Homme ou femme mystère tu peux être fier(e) de toi ta fics m'a donner des frissons lol.
Ta façon d'écrire m'a fait penser à celle de SM. J'ai beaucoup aimé.

La sans titre 3: J'ai été très étonnée pendant un instant j'ai cru que c'était la réalité.
Tu aurais presque réussi à me faire croire que Edward n'aimait plus Bella.
Aussi non j'aime beaucoup le nom de la nouvelle copine d'Ed ( étant mon surnom lol )

Une Victoire amoureuse: Elle m'a beaucoup fait rire et j'aurais aimé voir cette histoire être tournée en scène de film...
Après le match de baseball avec la famille Cullen la bataille de boule de neige lol.

Mon choix ce fera donc entre ces 4 Fictions... Olala je sens que ça va être dur

Ennemis mortels:je t'aime,je te hais:C'est dommage c'est cette histoire que j'ai vraiment aimée, une qui changeait vraiment et qui sortait du Edward bella, mais le choix de l'hiver n'est pas respecté donc je ne peux pas arrêter mon choix dessus.

Don je pense que mon choix se ferra sur :Loin des yeux, tout près du coeur... Et difficulté supplémentaire, comme l'a dit Mélu c'était très bien écrit, et les descriptions étaient très bonne, on s'y croyait.

Bon, j' ai relu tous les textes en étant miticuleuse et critique.
J' arrête mon choix sur " une victoire amoureuse": le thème de l' hiver est bien respecté.

Juste un mot pour toutes les personnes qui ont écrit une fic: je les ai bien aimé, le choix a été difficile ...

J'espère que votre idée est faite, car demain les votes commençeront et se termineront le lendemain.

Citation :

12 et le 13 février, si vous êtes dans l'incapacité de voter pendant une de ces deux journées, mais souhaitez le faire veuillez écrire à moi ou Mélusine, votre vote sera tenu en compte. Pour les votes, il va tout simplement s'agir des sondages que l'on peut posté avec le forum.

Moi j'ai beaucoup ailé victoire amoureuse qui m'a fait rire mais les autre aussi vous avez bien travaillé !

C'est le temps de voter... Allez au premier message en haut... il y a le sondage. Merci d'être honnête!