Bon je dédis à ma Lube et maman Esmé ^^' <33333 JVous aime !!!!
VICTIME
Elle était effrayée, me suppliant de la laisser tranquille. Je ne me concentrais plus sur ses paroles juste sur le doux bruit du sang passant dans ses
veines ainsi que les battements de son coeur fragile. En une seconde, je fus devant elle et m'accroupie lentement.
-N'aie pas peur, dis-je avec une voix douce
Je m'approchais vite de sa gorge et mordit. Le venin fit son effet rapidement la paralysant. Son sang était délicieux et chaud. Elle bougea encore
quelque seconde mais elle n'eut plus assez de sang ni de force pour continuer a vivre.
Je buvais, buvais, heureuse d'avoir trouver cette fille d'au moins seize ans si délicieuse.
Je lâchais le cadavre, triste de l'avoir vidée si vite. J'avais encore soif. Je devais encore chercher. Je pris la fille- son cadavre- pour le laisser
dans un ruelle, abandonnée, seule, morte...
-Bonjour poupée
Je me retournais surprise. Deux garçons à l'air morbide me dévisageaient.
-Bonjour, soufflais-je délicieusement
-Que fait un belle demoiselle dans un ruelle à cette heure-ci ?
Je ne répondis pas, sentant que ces deux là pouvaient me servir de repas vu les battement succulent de leurs coeurs. Le premier avait la peau blanche,
fine et les veines étaient visible sous celle-ci. le deuxième avait la peau matte, il était costaud mais fragile comparait à moi. De lui s'échappait un
doux parfum de vanille et fleur, mélangée. ç'allait être le premier. Mon analyse avait été courte et efficace. Parfait.
-Qu'elle est ton nom ?
-Maria, Maria Pinto, dis-je en souriant
Il plissa les yeux, suspicieux. Je ne lui laissais plus de temps pour réfléchir. Je m'élançais et d'un coup de pied rompit sa nuque. Le premier n'eut
même pas le temps de voir ce qui se passait, puisque je le pris par la tête et l'élançait contre le mur, de là il retomba, se cassant les os en
heurtant le sol.
Pendant une seconde je fus écoeurée mais l'odeur du sang qui se répandait m'alerta.
Je le pris et mordit la gorge, mes dents traversèrent facilement sa peau. Le sang passa par ma bouche et je fus heureuse de cette exquise saveur. Je bus,bien trop concentrée, j'était sûr que mes joues de pierre prenaient une couleur rosâtre et mes yeux un bordeaux qui faisait peur. J'en avait fini du
premier.
Je me retournais et le cadavre du second gisait au sol. Je m'éclipsait à ses côtés et le pris délicatement. Mordant encore une fois et buvant le sang
qui refroidissait. La saveur était encore plus succulente que l'odeur même. Finissant de le vider, je m'aperçu que mon jean avait une tâche de sang au
niveau du genou droit. Je laissais tomber. Rassasiée, contente d'avoir calmée ma soif, je retournée vaguer dans la nuit noir.
Qui avait pensé à ma famille ? A mes amis ? A moi ?
QUI ? Personne !
VILLAGE NATALE
Je me mis soudain à me sentir morose. La tranquillité me manquait terriblement ainsi que les sorties nocturnes et les éclats de rires entre amis. Trop ....
Ça faisait... une dizaine d’année que je ne mettait pas les pieds là bas. Beaucoup, beaucoup trop longtemps.
Je courus le plus vite possible envieuse de rejoindre mon village, mes amis, ma famille... tout. Je grimpais agilement aux montagnes, sautais d’arbres en arbres afin de prendre de l’élan. En moins d’une heure, je me retrouvais au village. Une douleur profonde me traversa quand je vis ma tante, le regard
mort.
- Tante, ma tante, soufflais-je. Tata ! criais-je alors
Elle se retourna surprise, j’étais la seule nièce, femme, qu’elle avait mais elle ne reconnaissait pas ma voix, trop douce.
-Qu-qui es-tu ? me demanda-t-elle les larmes aux yeux.
-Je suis Maria... ne te rappelle-tu pas de moi ? dis-je souffrante
-Oui, tu as ... ses traits .. mais... qu- qu- que t’est-il arrivée ?
-Elle avait rapidement déviait sa question
-Ma tante, il vaudrait peut-être mieux qu’on parle autre part, proposais-je, voyant les spectateurs tout autours.
Ils me regardaient tous surpris, quelques un heureux, même. J’en vis un qui était trop sûr de lui, il me regardait surpris, bien sûr mais comme ci il
savait que j’ét... ce que j’étais.
Ma tante répondis à ma proposition avec un hochement de tête. Je l’emportais jusqu’à un banc dans le parc un peu plus en bas. Il était bizarrement vide.
-Est-ce vraiment toi ? me demanda-t-elle enfin assise
-Cela dépend de ce que tu veux dire, répondis-je pensive, parce que... j’ai changé, , je suis un monstre désormais. Ne vois-tu pas ma beauté ? Derrière
ce cache une créatures morbide, terrifiante...
-Stop! Tes yeux ? demanda-t-elle vraiment apeurée
-Mes yeux sont la preuve du changement. Écoute je vais te la raconter, mon histoire. Tu te rappelle ? Y a dix ans déjà de cela ...
-Oui –elle hésita- tu n’as pas vieillie.
-Je peux dire de même, dis-je en ricanant
-Bon allez raconte
-Promet-moi deux choses d’abord ( je fis une pose attendant son hochement de tête ) La première , continuais-je, c’est de ne pas avoir peur, je ne te
ferais aucun mal... puis... en deuxième, promet moi que tu m’aideras.
-Bien sûr, dit-elle lentement
Elle s’impatienta. Comme bon sentiment humain.
-La nuit du 19 Juin 99, j’étais avec mes amis à la discothèque. Vu l’heure je les pressés pour qu’on parte, ils m’écoutèrent et on sortit enfin. Deux
personne à peau pâle se rapprochèrent de nous. Ils avaient les yeux rouge bordeaux...
Je fis mon regard plus intense pour lui transmettre le message: “Leurs description étaient désormais la mienne.”
-Mes amis furent tués un par un pendant que moi, pétrifiée, je ne pouvais que regardais ces deux êtres à la beauté fracassante
“Quand ils eurent finis, ils discutèrent entre eux pour savoir que faire de moi, l’un voulait me tuée, l’autre me ... transformer.
Je vis la question passait par les yeux de ma tante.
-En vampire, chuchotais-je
Elle frissonna.
-Oui je sais, c’était horrible, entendre parler de ma propre mort ou avec un peu de chance avec ma survie ... Mais en monstre. J’avais trop peur.
“Je demandais au premier pourquoi ne me laissait-il pas plutôt partir partir. Comme une parfaite imbécile. Ils se moquèrent de moi disant que je
pouvaient révéler ce qu’ils étaient. Vu que je l’ignorais, je leur promis que ça n’allait pas ce passer comme ça, au cas où il me laisserai ....
“Il en eu un qui fatigué de ce débat s’élança vers moi, me mordant à la gorge.
Je levais ma tête afin qu’elle aperçoit la trace des dents a mon cou.
-Depuis ce moment, mon corps brûlait horriblement, chaque mouvement provoquait une souffrance insupportable, un vraie enfer ! Je ne pouvais supporter
plus. Je tombais alors dans l'inconscience, croyant que la vie avait était généreuse avec moi et m’avait accordée la mort... mais... ce ne fut pas comme
ça.
-Je sentis ... en fait .. je ne sentis plus rien. Juste une force incroyable. Puis passant par une maison, je vis mon reflet dans la vitre d'une fenêtre. J'étais d'une beauté !!! Destructrice !-je ris- mais ce ne fut pas suffisant pour que je sois complètement heureuse. J'avais faim... soif...
Je l'a regardée à nouveau, elle était confuse. Effrayée.
-O.K. tu peux partir en courant ça ne me gêne pas
-Euh... vaut mieux qu'on se voit .. demain, ici même .. il faut que je m'en aille.
-Très bien, soufflais-je.
J'étais consternée, je lui avait fais peur ! Carrément !
Je m'assis en tailleur sur le banc en pierre où j'étais. Je.. j'étais bloquée, je n'arrivais à analyser aucun problème. Je soupirais, mon pantalon
sentait le sang ... sentais car mes yeux étaient très loin de l'instant présent.
Le garçon qui avait attirés mon attention une dizaine de minute avant, se trouvait non loin de là. Quand ses yeux m'aperçurent, j'aurait pu...
j'aurais dû en tant que vampire, luttait contre son regard mais ce jeune humain avait un je ne sais quoi qui me fit regarder autre part, il sourit
légèrement vu ma gêne. Qu'elle idiote ! Il s'assis sur le banc de l'autre bout du parc, il mis ses coudes sur ses genoux en se penchant en avant et il
leva la tête pour me fixer. Je plissais les yeux mécontente de son attention non désirable. Il sourit, me voir de mauvaise humeurs faisait qu'il soit
heureux ? Tant mieux pour lui.
Un partie de moi même me dit que je devenais paranoïaque, et je ne lui donnait pas tort !
Je fermais les yeux afin de calmer les émotions ... Mais a ce moment le visage de ma tante terrorisée, vint s'installait dans ma tête. J'ouvris les
yeux surprise, mes traits - j'en étais sûr - se tordait de douleur. Une douleur hors du commun... Que lui dirais-je demain ? Viendrais-t-elle, au moins ?
Non, je savais très bien qu'elle viendrait, je l'a connaissais, elle avait toute ma survie étant adolescente, non que je sois suicidaire mais plutôt
hystérique si je ne le racontais pas de suite ce qui m'arrivait. Ce souvenir me fit sourire. Je montais mes pied sur le banc et appuyait mon menton sur
mes genoux. J'étais vraiment triste d'avoir perdu tout ça, pour une bande d'affamé sans coeur. Si je pouvais pleuré je l'aurais fais, si je pouvais
détruire ce village je le ferais, j'avais la force mais quelque chose en moi même me menaçait... Je devenais vraiment bizarre.
Je levais les yeux pour vérifier si on me fixait toujours fascinée, sauf que plus rien, enfin .. plus personne. J'aurais dû repérer un quelconque
mouvement, non ? Bah au fait, ils étaient maintenant assis au coin de la rue, fatiguée d'être entourés ainsi, je me levais d'une démarche élégante vers
la sortie du village, je devais passer devant touts la petite troupe, super ! Je marchais rapidement, il recula et s'appuya sur un poteau, encore plus
près d'où je devais passer, mais que voulait-il, bon sang ? Je fis semblant de l'ignorais, au moment de passer devant ses amis a dix pas d'où il était,
l'un me dit:
-Dis tu as un moment ?
-J'en aurais eu je me serais arrêtée. Je me serais arrêtés tu l'aurais surement remarqué, raillais-je.
Ce n'étais pas des bandit ou des pervers, c'était juste des jeunes qui avait garder la même tradition que depuis longtemps, les hommes intéressée a
n'importe quelle fille qui passait. Je soupirais. Au moment de passer près du gamin a côtés du poteaux je fus prise par une absurde nervosité...
NUIT AGITEE
Cette nuit je décidais d'aller vagué dans le coteau. La nuit était vraiment noir. Je me repassais la conversation avec ma tante, ceux qui le loisirs
de me déprimé a 100%, c'était pourris. Alors je revoyais mon repas: la gorge me brula, super ! J'avais vraiment du bol d'avoir des souvenir aussi beau
et chaleureux, je ris.
Enfin je m'arrêtais et grimpais sur l'arbre le plus proche, sur la plus haute branche je m'assis et mis mon menton sur mes genoux pour réfléchir.
J'essayais de revoir les retrouvailles avec ma famille et celle aussi avec la famille de mes amis tués... Histoire de me préparés. J'imaginais les pires
situation, les plus merveilleuses mais aussi les "normale"
J'étais sûr, qu'au moins une personne, en me voyant rentrée allait prononcé mon prénom toutes hébété. J'allais bien sûr devoir re-raconter l'histoire a
ma famille, mais juste a eux ... inutile que tous les autres curieux du coin sois au courant.
J'étais bien nourris vu mes yeux rouge sang.
En réfléchissant bien, je ne savais pas si je voulait vraiment retrouver ma famille, ou la tranquillité, sensibilité e t fragilité humaine, ça me
manquer beaucoup. Bon, ça me préoccuper aussi, quel serait ma réaction face a leur sang, ou au doux battement de ... La soif ou plutôt l'envie de sang me
dévorait énormément.
Je sautais de l'arbre. Quelques secondes plus tard j'atterris. Pris par une rage envers moi-même je mis un coup de pied à l'arbre qui se cassa, il
tomba lentement et s'écrasa par terre avec un bruit atroce. Ma gorge se noua étrangement, je n'avais pas ressentis cette... souffrance depuis, depuis..
depuis le jours ou mes amis avaient été torturés sous mes yeux . Par contre, aucune larme ne vint s'ajouter a la douleur, c'était peut être impossible.
Je sautais sur une branche et élançait mon poing contre l'arbre. Il se brisa cette fois plus violemment je retombais mais sauté sur un autre arbres. La
colère m'aveuglait littéralement, je m'assis et me cachais la figure avec mes mains. J'étais abominable, pendant une seule seconde j'avais imaginé la
mort de ... de ma famille.
Je fermais les yeux bien fort essayant de vider complètement mon crâne. J'émis un gémissement.
DECOUVERTE
Il devait être 5h00 du matin, le ciel commençait a s'éclairer légèrement et les nuages a se dissiper. La première lueur du jour apparût paresseusement et ma
peau se mit a briller. Je courus vers le village. M'arrêtant avant l'entrée je fus surprise de revoir le garçon qui me fixait comme si j'avais toujours
était là et lui toujours étant entrain de me regarder, cette fois son regard ne montrait qu'un peu de curiosité et ... d'amusement. Je plissait les yeux.
Serrant mes lèvre, je réalisais que ce garçon qui attirait mon attention mais aussi toutes les personnes autour avaient une odeur qui monopolisait
tout l'air, il m'était quasiment impossible de .... j'avais à nouveau soif.
Puis tous se retournèrent vers moi, d'abord surpris puis effrayé. Ce garçon fronça les sourcils puis s'approcha, les autres étaient horrifiés.
-Bonjour, dit-il
-Que veux-tu ? dis-je avec la gorge nouée
-Oui, moi aussi je suis heureux de te connaitre, rigola t-il, mais bon, je m'appelle Cristian et toi?
-Maria, murmurais-je
-Pourrais-je savoir pourquoi ta peau brille comme ça ?
-Ma peau ? demandais-je surprise
-Bah oui...
Je baissai les yeux vers mes mains, elles brillaient, en effet. Bon... moi ça me surprenait pas mais ... Cristian ça n'avais pas l'air de le gêné
plutôt ç'avait l'air de l'amusait.
-Beh oui c'est vrai, soufflais-je
Il me sourit. Avant d'ajouter :
-Petit monstre !
J'écarquillais les yeux.
-Co-coment le-le sais-tu ?
-Chut ! dit-il. Suis-moi.
Il avança en silence pour se mettre dans l'ombre. J'arrêtais de briller mais les personnes reculaient de trois pas quand je devais passer devant eux.
Je soupirais.
Après... une dizaine de minute plus tard, on s'arrêta puis il s'assis sur la marche d'une maison il monta sa jambe sur la main et appuya son coude
dessus.
-Sens ! ordonna t-il
Je m'exécutais.
-Bah quoi ?
-Je sens a quoi ?
-Au sang !
-Oui, mais .. ?
-Mais aussi a une douce odeur que me plait mais ne m’attire pas.
-Alors ? Quel odeur a l'avantage ?
-La plus douce, murmurais-je
Il hocha la tête.
-Maintenant ! Ecoute, continua-t-il
Des battements rapide remplirent le silence.
Il murmura:
- Je suis aussi un vampire, enfin un demi vampire, voilà pourquoi mon coeur bat.
-Oh !
Ses yeux gris se fermèrent et sa bouche remua:
-C'est impressionnant, hein ?
Je m'assis a côté de lui et comme a ma vieille habitude mis mon menton sur mes genou, avant d'ajouter:
-Mais... explique moi, comment ça se peut ? Comment tu peut être demi vampire ? Tu ne t'ai pas fait mordre?
i fit non de la tête. Je pinçai les lèvres mécontente.
-Je t'expliquerais ça, je crois que ta tante à décider de venir bien plus tôt que prévu.
Il tourna le regard vers la droite et au coin de la rue je vis ... ma tante, c'était bien elle. J'étais sûr qu'elle ne m'apercevait pas encore,
effrayée elle regardait de droite à gauche regardant le moindre petit recoin.
tu ? dis-je avec la gorge nouée
-Oui, moi aussi je suis heureux de te connaitre, rigola t-il, mais bon
Ses yeux gris se fermèrent et sa bouche remua:
-C'est impressionnant, hein ?
Je m'assis a côté de lui et comme a ma vieille habitude mis mon menton sur mes genou, avant d'ajouter:
-Mais... explique moi,comment ça se peut ? Comment peux-tu être demi vampire ?
Oui y a une suite ^^'
Accueil 
je suis en admiration totale 
