Voici les fictions reçues pour le concours. 2 juges et les 3 admins donneront les résultats d'ici une semaine. Merci de votre participation et bonne chance à tous... miammmm des friandises...



Fiction 1



A cette époque de l’ année, il était assez rare que le temps soit aussi maussade, froid, limite neigeux même si la ville où j’habite s’appelle Forks.
Je m’appelle Jessica, je suis une personne ordinaire, rien à voir avec certaine dont la beauté est surprenante et très attirante…là, je ne vise pas la famille Cullen, je dirai même que je passe quasi inaperçue parmi tous les élèves de Forks Hight School même Bella Swann est plus remarquée que moi…jusqu’ à aujourd’hui.

A cette même période, quand j’étais qu'une enfant, mes parents me racontaient des histoires au moment d’ Halloween. Au début, il était vrai que j’en avais peur mais maintenant que j’ai 17 ans, j’écoute mes parents seulement pour leur faire plaisir car pour moi, vampires, loups-garous, sorcières et tout ce qui va avec, étaient pour moi BALIVERNES.

Encore une fois de plus, mon lycée organisait la soirée de l’horreur, pour ma part, « soirée nulle et merdique » et oui voilà ce que représente pour moi HALLOWEEN.

Ma mère avait beaucoup insisté pour confectionner mon costume et pour lui faire plaisir, j’avais accepté pour ne pas la blesser.
Quand fût le moment de revêtir ma tenue, je n’étais pas surprise de voir toute la panoplie de la parfaite sorcière de Salem. Ma mère avait même réussi à me dénicher un balai conforme aux livres. Je soupirai un coup et c’est sans hâte que je m’habillai mais une chose était sûre, c’était la dernière fois que je participais à ce genre de manifestation. Une fois prête, habillée, maquillée, j’entendis mes parents m’interpellaient en bas des escaliers:

- Jessica, ton chevalier servant est arrivé !!
- J’arrive !

Je jetai un dernier coup d’œil au miroir et fis une grimace à mon reflet. Je descendis à toute hâte pour voir le costume de mon ami, John. Je restai bouche bée devant lui, il était d’une élégance incroyable.

- Wahou, tu es super, réussis-je à prononcer.
- Toi aussi Jessica, même avec la verrue sur le nez.

Merci de me le rappeler.

Je portai ma main sur cette partie de mon visage et la frôlai.

- Je voulais être crédible avec le reste de mon costume.

Mon père nous photographia au bas des escaliers pour avoir un souvenir de cette soirée. Une fois les embrassades et les « faites attention à vous, ne buvez pas trop… », nous prîmes le chemin du lycée du moins le chemin du gymnase. John stationna sa voiture sur le parking et vint m’ouvrir la portière pour m’aider à descendre. Malgré que je connaissais mon ami depuis un certain temps, c’était la première fois que je le voyais avec ce genre de voiture: un coupé sport.

- Tu t’es loué une voiture de sport pour cette soirée, demandais-je.
- Non, elle est à moi, je la sors pour des grandes occasions.

Il m’offrit un sourire plus que charmant, quand à moi, je le regardai en deux fois. Si pour lui Halloween était une grande occasion, qu’est-ce que c’était pour un mariage: une limousine ? Je ne lui fis aucun commentaire sur ma réflexion. John toujours aussi souriant, glissa sa main sur ma taille, un frisson m’envahit aussitôt. Que m’arrivait-il ? Malgré que le ciel était plus sombre que d’habitude, je vis apparaître la pleine lune. John m’interrogea du regard et je lui fis comprendre que tout allait pour le mieux. Il m’invita donc à marcher jusqu’au point central de la soirée.

Idiote que je suis, je me mets la pression toute seule.

John ouvrit la porte du gymnase et nous entrâmes. Je regardais tout autour de moi, je n’en revenais pas, le gymnase était complètement méconnaissable. Il ressemblait à présent à l’intérieur d’un château hanté. Tout y était, le moindre détail était présent: araignées et leurs toiles, cadavres, des tâches de sang sur les murs…même la boisson était de couleur rougeâtre.

- Alors qu’en penses-tu ? C’est génial et très réel, s’écrièrent Edward et Jasper qui s’étaient approchés de nous.
- C’est incroyable, on s’y croirait presque.
- Et tu n’as pas tout vu, me chuchota John au creux de mon oreille.

Le son de sa voix me parut étrange, jamais John ne m'avait parlé ainsi. Je lui offris un sourire malgré ma gêne. Je ne savais pas à quel jeu il jouait mais il le prenait avec sérieux.
La soirée battait son plein, chaque élève était dans leur rôle même un peu de trop. John ne m' avait pas laissé seule une seule fois malgré un nombre incalculable d'invitation pour danser avec d'autres filles.

- Tu sais, tu peux y aller. Je ne vais pas te faire une crise de jalousie.

John se plaça devant moi, glissa sa main sur ma joue et dessina le contour de mes lèvres. Sans hésitation, il se rapprocha de moi, sans baisser son regard de du mien, il me dit:

- Tu es celle que je veux, tu es à moi pour toute la soirée.

A ces mots, j'eus l'impression que mon cœur s'était arrêté de battre. Aucun bruit de la salle me parvenait comme si j'étais toute seule avec mon ami. Je retrouvai mon état normal...si je puis dire...quand il déposa un baiser sur mes lèvres. Dieu qu'il était cruel de me faire subir cela. J'en avais tant rêver, mais même dans mes rêves, ses lèvres étaient loin d'être si douces, si agréables à embrasser. En voyant que je perdais un peu d'assurance, il mit un terme à notre échange. Il me gratifia d'un sourire en coin, tout en descendant sa main le long de mon cou. Mon cœur battait à tout rompre, je mis fin à ce supplice en prenant sa main dans la mienne. Je retirai aussitôt mes doigts au contact de sa main et la fixai. Je n'avais jamais remarqué que ses doigts étaient si longs, si fins, une peau parfaite, aucun défaut. Je levai mes yeux vers lui et je pus voir un regard noir et profond. Cela me choqua un peu, lui qui d'ordinaire avait les yeux bleus. Devant mon attitude, je pouvais voir que John s'amusait bien et qu'il était ravi de l'effet qu'il produisait sur moi.

- Ton inspection est finie ma chère.
- John, ne prend pas mal mes mots mais là...tu es flippant...et enlève moi ton sourire machiavélique...Halloween ne te réussit pas !

Contre toute attente, mon ami se mit à rire à gorge déployée. Là, c'était de trop pour moi, je lâchai un grognement stupide et le laissai. Je me rendis vers les tables qui faisaient office de bar. Le barman de la soirée qui n'était autre qu' Éric, un camarade de classe, déguisé d'un costume original: LA MORT. Il m'accueillit chaleureusement et me tendit un verre. Je le remerciai mais en contemplant d'un peu plus près ma boisson, je posai mon verre sur la table.

- Jessica...c'est de la tomate et un mélange d'alcool, me rassura Éric.
- Je vais boire de l'eau mais merci quand même.

Sans rien ajouter, je me rendis dans les vestiaires. Un groupe de filles était présent à faire la queue pour se refaire une beauté. Je levai les yeux au ciel, je trouvai cela d'un ridicule. Le groupe commença à se dissiper, il ne restait qu'une élève dans un sale état et moi, je préférai ne pas m'occuper d'elle. Je m'approchai du lavabo et tirai l'eau, je me passai les mains sous le jet d'eau et humidifiai mon visage. En me redressant, je regardai le miroir, cette fois-ci, j'étais toute seule. Comment se faisait-il que je n'aie pas entendu la porte s'ouvrir et se refermer ?! L'atmosphère de la pièce était devenue lourde, oppressante. Je baissai mes yeux sur le robinet pour le refermer. En les relevant, je vis derrière moi...John, je poussai un cri. Je me tournai vers lui pour lui faire face.

- mer** John, ce n'est pas drôle !!!

Il se rapprocha de moi, un froid glacial régnait dans la pièce malgré le chauffage et un épais brouillard se formait.

- Jessica...Jessica...je t'ai dit que tu étais à moi pour la soirée...pourquoi le refuser...

En l'espace d'une seconde et d'une agilité incroyable, John se tenait tout contre moi. Il me serra dans ses bras. A présent, il embrassa mon cou et ses longs doigts fins dégrafaient un à un les boutons de mon corsage. Je tentai de me détacher de lui mais il resserra son étreinte. J'étais tel dans un étau, je tentai de crier mais rien, aucun son ne se fit entendre. Il me tourna pour que je nous vois dans le miroir. Des larmes coulaient sur mes joues. Je vivais un cauchemar. John me caressa le contour de mon visage et ses doigts se posèrent sur mes lèvres.

- Tu aurais due être plus attentive aux histoires que tes parents te racontaient pour Halloween.

J'avalai avec du mal ma salive. Je fermai les yeux pour les ré-ouvrir aussi vite.

Ce n'est qu'un rêve...un rêve.

La bouche de John s'entrouvrit, deux canines en sortirent et se plantèrent dans mon cou. Une vive douleur se fit en moi, je pouvais sentir les bras de John qui me tenaient afin que je ne tombe pas. Un long cri perçant déchira le silence de la pièce...
Je repris connaissance, John était présent près de moi, ma tête reposait sur ses jambes, je vis aussi la présence de quelques élèves et des professeurs.

- Jessica, c'est fini...tu as eu un malaise, me dit d'une voix douce et rassurante mon ami.

Il m'aida à me relever. La première chose que je fis en me relevant, était de porter ma main au niveau de mon cou. Mes yeux s'écarquillèrent quand je sentis deux petits trous. Terrorisée, je fixai mon ami.

- Joyeux Halloween...et soit la bienvenue parmi nous, me dit-il avec un sourire triomphant.

Un conseil: faites attention quand vous ouvrirez vos portes le 31 Octobre, il est fort possible que ce soit moi....HAHAHAHAHA !!!!!!


Auteure: Gloria Lestat

Fiction 2 :


A l'approche de la soirée la plus effrayante de l'année, nous partîmes pour une nuit en forêt avec la famille. A l'abri de l'immense végétation nous établîmes notre campement, montâmes nos tentes et fîmes un feu. Une petite brise commençait à doucement rafraîchir l'air et me fit parvenir les odeurs alléchantes de quelques cerfs un peu plus loin. Je me laissais aller à mes pensées un instant mais quelqu'un me tira sur le pantalon. C'était ma petite fille Nessie. Je la pris dans mes bras et allai m'installer autour du feu comme les autres membres de ma petite tribu. J'aimais ces moments de complicité avec les miens. Les discussions allaient bon train, les rires résonnaient, ma femme était plus rayonnante que jamais. Tout allait bien.

"Papi Carlisle, je veux une histoire," me demanda mon petit ange qui était resté sur mes genoux.

- Avec des princesses ? Un conte de fées ? lui répondis-je en souriant.

Elle me fit non de la tête et m'avoua qu'elle voulait une histoire qui "fait peur". Un peu surpris je me mis à rire. Je cherchais quel genre de récit je pouvais bien lui narrer et mon fils Jasper m'aida sur ce coup-là.

"Il y a bien la fameuse histoire de ma disparition, je sais que tu l'aimes celle-là," fit-il en riant de bon coeur.

En effet comment ai-je pu ne pas y penser plus tôt ... me dis-je à moi-même.

- C'est vrai, fis-je en prenant alors mon air sérieux. Et c'est un terriiiible mystère, commençais-je. C'était un peu après ta naissance, Quand tes parents et toi étiez ensembles. Nous étions restés ici à la villa, nous allions nous préparer pour fêter cet évènement quand nous nous aperçûmes que ton oncle Jasper avait disparu, fis-je en prenant la voix la plus inquiètante possible. Ca avait l'air de faire son effet puisque Nessie, qui n'avait alors que 4 ans, en âge humain, écarquilla les yeux et regarda son oncle un instant.

- On le chercha partout mais il restait introuvable. Alice essaya de se concentrer pour le localiser mais rien. Ton père tenta de capter ses pensées mais rien encore. C'était comme s' il s'était volatilisé dans un endroit inconnu ... dis-je en laissant planer quelques instants le mystère. Les jours passaient et on avait toujours pas de ses nouvelles, cela devenait fort inquiètant. Que s'était-il passé ?! Les rumeurs fusaient dans tous les sens et les hypothèses les plus terrifiantes firent alors leurs apparitions. Il revînt seulement au bout du 10è jour. Comme si rien ne s'était passé il entra dans la maison sous nos regards médusés. A son tour, il prit un air surpris.

"Mais où il était ?!" demanda impatiemment ma petite fille.

- Une chose en son temps, petit ange, ça va venir ... fis-je en posant mon doigt sur son nez. Tout le monde se mit alors à le harceler de questions sous son incompréhension totale. Tout de suite je vis en tant que médecin que l'on avait à faire à une longue absence de la mémoire. Il avait fait des choses mais sans s'en souvenir. J'étais encore plus inquiet que les autres car je me posais tout un tas de questions. Je ne savais pas que les vampires pouvaient être sujet à ce type de pathologies. Je décidai alors de lui faire passer une série de tests mais cela ne donna rien du tout. Mes théories étaient fausses. C'est alors que j'eus une idée. L'hypnose. Cette technique allait, du moins je l'espérai, me révéler ce qu'il s'était passé durant ces derniers jours et ce que Jasper avait bien pu faire. Je craignais le pire et ce que les séances révélèrent étaient encore plus terribles, fis-je avec une voix encore plus terrifiante.

Je vis ma petite fille retenir son souffle et ouvrir grand les yeux. Tout le monde savait de quoi mon fils était capable alors ça rendait l'histoire un peu plus effrayante.

- Qu'avait-il pu bien faire ? Avait-il perdu la tête ? Etait-il parti trouvé un autre clan, avait-il rejoint les Volturi par pure folie ? Ce n'était rien de tout cela, rien de rationnel. Il n'était pas parti décimer des humains à l'autre bout du monde non plus, il ...avait été enlevé par de terribles et méchantes créatuuuures venues du fin fond des âges. Des sortes de Trolls tout plein de poils et des verrues aussi grosses que mon pouce.
A ce moment là, je vis Edward faire discrètement du bruit comme des petits pas avec des bruissements de feuilles. Nessie sursauta.

- Ecoute !!! fis-je tout bas. Ils nous ont entendu, ajoutais-je en sentant que ma petite princesse se blotissait contre moi.

"Oh nooon !! Pas eux !!" rajouta Jasper en faisant mine d'avoir peur.

Les bruits continuèrent un peu avant de s'arrêter. Je caressais doucement les cheveux de Nessie en faisant un grand sourire à Jasper et Edward. C'était maintenant au tour d'Emmett d'entrer en jeu. Le plus farceur d'entre nous se sauva à la vitesse de l'éclair dans les bois sans se faire repérer.

- Je crois qu'ils se sont éloignés, fis-je pour rassurer ma petite fille. Tout le monde est là ? lançais-je en sachant très bien qu'Emmett n'y était plus. Personne ne dit mot et Nessie s'écria:

"Tonton Emmett !!!!!! Ils l'ont enlevé !! Les Trolls des forêts ont pris mon tonton !!!!"

- Ce n'est pas possible !! m'exclamais-je faussement. Mais quelles vilaines créatures !! ajoutais-je en retenant un rire. Il faut aller le chercher !! Mais seule une petite fille sage et innocente peut pénétrer dans leur monde ... Tu crois que tu y arriveras ? lui demandais-je.

Elle fit un signe négatif de la tête.

- Pour tonton Emmett ? Les Trolls vont le dévorer tout cru sinon, fis-je avec de grands yeux.
Je fis signe à Edward de recommencer les bruits de pas dans les feuilles. Nessie cacha son visage en se collant contre moi. Elle semblait bien appeurée par mon histoire, cela marchait et en une fraction de seconde Emmett revînt déguisé avec les vêtements d'Esmé. Une longue robe, une perruque et il avait même essayé de mettre ses chaussures mais elles s'avèraient être beaucoup trop petites. J'eus envie d'exploser de rire lorsque je le vis ainsi. Les bruits de feuilles cessèrent et Esmé s'écria à son tour:

"Ohhhhh mon Dieu !!!!! Mais ... Emmett !!" avant de partir en fou rire suivi de tout le reste de la famille.

En entendant cela Nessie releva la tête et vit son oncle ainsi accoutré. Elle eut un temps infime de non réaction avant d'ouvrir grand la bouche.

"Tu as vu ce que les Trolls m'ont fait ?!" fit Emmett en s'approchant de Nessie.

A la lueur du feu, on put s'apercevoir qu'il avait un peu trop abusé du rouge à lèvres, il en avait plein partout c'était vraiment terrifiant à voir. Il fit des griffes avec ses mains et commençait à dire:

"Je suis un Troll de la forêt, viens me faire un câlin !! Je suis un Troll de la forêt, viens me faire un bisou !!" mais Nessie sauta de mes genoux et courut autour du feu suivit de près par son oncle.

"Non non non je veux paaaaas" cria t-elle en continuant de courir sous nos regards amusés. "J'aime pas les Trolls des forêêêêêêts !!!!


Auteure: Sasha

Fiction 3 :


Ce titre est fade, sans suspense, je l'efface aussitôt ! Dehors, la lune illumine les arbres et les animaux noctambules rodent dans la forêt, à la recherche de proies. Il est environ 23h35, il me reste donc 25 minutes pour écrire une histoire et l'envoyer !
Vous allez sans doutes me prendre pour une folle à lier, une geek, mais écrire cette histoire est une nécessité je pense, si je ne le fait pas, je pourrais le regretter ! En fait, tout a commencé il y a environ six semaines...

Il devait être à peu près cette heure là, mon mari était parti chasser dans le bois et je... Ah oui, j'oubliai, je suis un vampire, je m'appelle Alice Cullen ! Bref, j’étais seule face à mon ordinateur en train d'envoyer un mail à ma belle sœur Bella lorsque j'ai décidé de m'inscrire sur un forum propos de notre famille. En effet, nous sommes célèbres et j'aime bien savoir ce que les gens pensent de nous !
J'en trouvai un : L’Histoire des Cullen.

Il m'avait l'air pas mal, les membres semblaient sympathiques et ils étaient actifs.
Après m'être inscrite, je m'aventurai sur ce forum, à la recherche d'une occupation, lorsque je vis qu'il y avait un concours de proposé, je lisais :

A l'occasion d’Halloween, je propose un concours de fiction :
Écrivez une histoire parlant du Halloween d'un vampire, vous avez jusqu’au 30 octobre au soir !
À gagner : des bonbons !

Ecrire des histoires n'a jamais été mon fort et je ne mange jamais de bonbons, j'avais donc décidé de ne pas m'inscrire.
Mais ce qui se passa ensuite, me fit changer d'avis. Tout devint noir, dehors, les animaux cessèrent de chanter. Puis je vis ma sœur enceinte, heureuse comme jamais qui me disait "merci Alice, en gagnant ce concours d'écriture tu m’as permis de tomber enceinte ! Je t'aime si fort"
La respiration haletante, je me réveillai sous le choc ! Jamais encore je n'avais eu de visions n'ayant aucuns sens ! En quoi gagner ce concours pourrait faire réaliser le rêve de ma sœur ? Pourtant, je savais qu'écrire une histoire était nécessaire car qui ne tente rien n'a rien...
Les semaines passèrent et je ne trouvais rien à raconter. Mes Halloweens se sont toujours résumées à une fête sympa et des blagues qui font plus rire qu'autre chose. Aussi, je décidai d'inviter des membres du CLV.

Le CLV, est le conseil des livres vampiriques, il a été fondé après que les Volturi, famille de vampire très puissante ait autorisée les livres sur notre espèce, à condition que nos caractéristiques sont différentes à chaque fois, pour éviter les soupçons !
Et c'est là bas que j'ai rencontré les frères Salvatore, Lestat de Lioncourt et sa femme Jesse ainsi que Eric Northmann.
Je leur envoyais un mail pour leur demander s’ils pouvaient me raconter des halloweens qu'ils avaient vécu et qui pourraient faire l'objet d'une histoire originale. Je leur précisais également les raisons de mon invitation et tous me répondirent qu'ils pouvaient venir le soir même d'Halloween.

Halloween est arrivée ce matin, apportant avec elle, sa vague de déguisement grossiers ses bonbons et ces citrouilles !
Les premiers à être arrivés sont les frères Salvatore…

_ Salut Alice ! Alors comme ça on est en manque d'inspiration ?

Ah ! Damon Salvatore, toujours aussi charmant celui là, dommage qu'il boive du sang humain, sinon il ferait un très bon ami ! Il m'a toujours fait rire, contrairement à Stefan, charmant mais grave.

_ Bonsoir Alice ! Content de te revoir !

_ Salut les gars ! Comment va Elena ?

Les deux frères se sont jeté des regards noirs et tendus et je me suis vite rendu compte de ma bourde. Heureusement Jasper est arrivé et a calmé l'atmosphère grâce à son don.

_ Hey Salut jasper, comment va ?

Puis ça a été au tour d'Eric Northmann, du fait de son âge je pensai qu'il pourrait bien nous raconter des histoires sympathiques !
Il ne manquait plus que Jesse et Lestat et j'ai invité mes convives dans le salon, pour commencer la soirée !
"Alors moi, j'en ai une ! A commencé Damon.

_Le soir d'Halloween où une junkie nommée Vickie Donovan que j'avais transformé a mordu la miss Elena et le vampire à la bonté sainte, j'ai nommé Stefan Salvatore est arrivé tel un prince et a sauvé sa belle humaine ! C'était assez drôle !

_Je crois cher frère, que nous n'avons pas la même définition du mot "drôle».

Pour une fois, j'étais d'accord avec Stefan, cet épisode avait dut être horrible pour beaucoup.

_ Et surtout, elle n'a rien de super originale, a rétorqué Eric, la mienne est mieux !...

Un soir d’halloween, une bande de sorcière a effacé ma mémoire. J’ai oublié que j'étais un vampire.
_ Et c'est ça que tu appelles original ?

J'étais déçu, j'attendais qu’Eric me raconte quelque chose de plus croustillant, mais non ! Enfin, Lestat et Jesse sont arrivés. Avec ses cheveux blond bouclés, Lestat de Lioncourt ressemble a un ange, mais il est très loin d'en être un !

Bon alors, a t-il demandé. Vous voulez connaitre mon histoire ? Un soir d'Halloween j'ai fait un concert devant pleins de monde, et presque tous les vampires du monde étaient là !

TOC TOC

Tiens, c'était quoi ce bruit ?

Oh ! Le vampire Rock star, ça ne le fait pas, les gens vont croirent qu'elle copie sur Anne Rice !

TOC TOC

Encore ce bruit, étais je la seule à l'entendre ? Surement au regard de mes invités qui n'avaient pas réagis.

TOC !

Cette fois, le bruit a été plus fort et les autres l'on entendu

_C'était quoi ce bruit ?

_ Oh surement la chaudière !

_ La.... Chaudière ?

-Wep, elle fait un bruit bizzard !

Mais ce n'étais pas la chaudière, j'en étais sur !

-Sinon il y a le soir d'halloween 1997 ou j'ai....
PAAAAAAAAAANNNNNNNN

Il fallait bien que ça arrive ce soir ! Les plombs qui sautent et nous voilà dans le noir

_ Désolée, ce n'était pas prévu, leur ai je dis affolée. Car j'avais vraiment peur, ces tocs étaient inhabituels dans la maison habituellement silencieuse.

Puis, tous le monde a continué ses histoires, mais l’ambiance cool et détendue a laissé place à l’inquiétude. Jusqu’à ce qu’une femme crie dans la maison.

Le cri profond d’une femme qui souffre le martyr et qui peux te déchirer les entrailles. Je me suis alors brusquement levé et j’ai courue vers la porte, sans prendre attention à mes mouvements, sans danser comme disent les autres. A plusieurs reprises, je me suis cognée dans des meubles, non pas parce que je ne voyais pas dans le noir (dieu merci, les vampires sont nyctalopes!) mais à cause du stress qui peut faire faire n’importe quoi ! Enfin, j’ai atteins la porte qui mène au couloir, mais là, surgissant de nulle part des corbeaux sont entrés dans la pièce. Ils étaient énormes, leurs yeux étaient rouge sang, remplis de haine. Eric a eu beau voler dernière eux, il était impossible de les attraper !

_ Eh Alice, sympa d’avoir invité des corbeaux !

_ Bah, ce n’était pas prévu non plus !

_ Alors qu’est ce qu’ils foutent ici ?

_ Je n’en sais rien !

Ils devaient être environ une cinquantaine, j’avais l’impression que plus le temps passait plus leur nombre augmentait.
Jesse qui était resté stoïque depuis un moment a eu la bonne idée d’ouvrir la porte d’entrée pour les faire sortir. Une bonne idée aux conséquences désastreuses…en effet ce n’est pas les corbeaux qui sont sortis, mais des chauves souris qui sont rentrées, je l’avoue en cent ans, je n’ai jamais eu aussi peur !

_ Eh bah tu vois Stefan, je t’avais bien dis qu’un jour ou l’autre les animaux se vengeraient !

D’ordinaire, je trouve l’humour damonien plutôt drôle, mais là, je n’avais pas le cœur à rire.
Car si ce qu’il venait de dire était vrai ? Beaucoup de personne pensent que nous n’existons pas, je veux dire, que les vampires n’existent pas, et pourtant, nous sommes là ! Alors pourquoi les animaux vengeurs et méchants ne pourraient pas exister non plus ?
Mais mes théories sur la venue de ces volatiles ont été interrompue par quelque chose d’encore plus horrible et pour la première fois, j’ai vue une expression de peur sur le visage d’Eric Northmann Deux choses venaient d’arriver dans le salon, elles étaient faites de chair morte, leur odeur était appétissante, mais extrement forte, ils se déplaçaient lentement, mais surement.

_ Et ça Damon, c’est la revanche des humains !

_ En mille ans d’existence, je n’ai jamais vu ça !

_ Alice, je crois que c’est cet Halloween que tu vas pouvoir raconter !

La phrase de Lestat m’a ramenée à la réalité. J’avais perdu toute notion du temps, et le concours m’était totalement sorti de la tête, et pour cause ! Mon salon était envahi et je ne voyais aucune solution pour les faire sortir. Nous étions tous pétrifiés, seul Jasper paraissait plus calme. En fait, je crois qu’il essayait de ramener une atmosphère apaisante, mais comment calmer sept vampires paniqués et assoiffés ?

Assoiffés, oui ! Car à mesure que les deux choses se sont approchés leur odeur est devenue plus forte et plus appétissante, pourtant aucun de nous n’a bougé, car même si leur odeur était parfumée, ils étaient extrêmes repoussants, même pour nous ! Mais soudain, une brume noire s’est installée dans la pièce ! Une brume épaisse qui fait mal aux yeux ! Et rapidement, ma visibilité a complètement disparue. Jusqu’à ce qu’elle revienne…et que tous s’écroule ! Non pas la maison, mais ma peur, mes craintes, mon imagination. Car les volatiles et les Monstres venaient de laisser leur place à deux humains, le visage couvert de sang. Jessica a été la première à briser le silence :

_ Hé qu’est ce que vous fichez là ?

_ C’est bon, on voulait vous faire une blague

_ Les oiseaux et les chauves souris n’étaient qu’une illusion d’optique !!

Ce peut il que sept vampires se fasse avoir par des humains ? Certain d’entre nous semblaient assez bien prendre la blague, pourtant Damon a commencé à se jeter sur eux.

_ VOUS N’AVEZ AUCUNE IDEE DE L’ENDROIT OU VOUS ETES ! ET JE CROIS QUE VOUS ALLEZ REGRETER D’ETRE VENU !

_DAMON ! NON !

Ce n’est pas moi qui ai crié, mais Jesse, car à vrai dire, le sort de ces humains m’importait peu, ils venaient de me faire peur comme je ne l’avais jamais été avant et j’avais d’autre choses en tête : ce fichue concours, et ainsi, je suis montée vers ma chambre pour allumer mon ordinateur! Et maintenant je suis là ! À chercher un titre potable pour cette histoire qui parle de deux humains qui font peur à sept vampires !
En bas, des cris retentissent, peut être que Damon a obtenue gain de cause ? Mais peu importe, je commence à taper l’histoire…mon histoire !

Auteure: Paulinska

Fiction 4 :

{Les événements se produisent avant ceux de Breaking Down. Cela se passe le 31 octobre, le jour d'Halloween}





Ce soir c'est Halloween, la fête préférée de notre famille. Pendant la soirée, nous décidâmes de jouer à un jeu. Ma douce Alice et moi proposâmes de jouer à la chasse au trésor dans la forêt. Tout le monde fut enthousiasme à cette idée sauf Bella. Je lui dis:

-Ne t'inquiète pas Bella tu seras en sécurité avec Edward.

-Ce n'est pas ça qui m'inquiète. C'est juste que je ne sais pas comment vous jouer à ce genre de jeu.

- On joue comme des humains sauf qu'on est plus rapide et les cachettes sont plus diversifiées par exemple les humains se contentent de les poser au sol alors que nous les vampires nous les déposions au sommet des arbres ou encore à plus de 15 Km sous terre.

- Mais je suis inquiète je ne serai pas à la hauteur fasse à vous tous.

-Tu seras avec Edward. Nous jouons à ce jeu en couple. Moi j'irais avec Alice, toi avec Edward, Esmé avec Carlisle et Rosalie avec Emmett.

- Bella! Ne t'inquiète donc pas tu seras en ma compagnie et sous ma protection.

-Edward! La dernière fois où tu a dit ça j'ai failli me faire tuer par une batte de Base-Ball justement par ta faute!

-Mais euh ...mais oui... ma puce ne t'inquiète pas.

Je vis qu' Edward me fit un clin d'œil et je compris tout de suite qu'il voulait que je change l'humeur de Bella. je dus donc utiliser mon don sur elle et le résultat ne se fit pas attendre.

-Bon d'accord j'accepte d'y jouer mais dites moi, il y a d'autres règles?

-Sachant que nous jouons à ce jeu uniquement le jour d'Halloween, nous ajoutons de l'horreur dans ce jeu et chaque année c'est différents, chaque année c'est Alice qui s'occupe de l'horreur et chaque année c'est réussi. On a beau s'attendre à ce qu'il y ait de l'horreur mais on est toujours surpris par l'animation d' Alice.

-Et je précise qu'il n'y a que moi qui peux maîtriser aussi bien ceci . J'ai même du effrayer mon pauvre Jasper l'année passée. Et j'arrive toujours à effrayer tout le monde. Je me souviens lors de mon 1er Halloween au sein des Cullen j'ai tellement effrayé Edward qu'il est rentré à la maison en courant et s'est barricadé dans sa chambre: il s'est planqué sous son lit pendant des jours. Il s'est même lié d'amitié avec un grain de poussière.

-Merci pour cette anecdote Alice.

-Bon les enfants il est 0H15. Le jeu peut il commencé, Alice?

-Oui Carlisle. Le départ se situe à l'entrée de la forêt, en face de la maison.

- Allons y. Rose tu viens?

-Dépêche toi je ne veux pas perdre cette année.

-Oui ma Rose des îles.

Tout le monde se dirigea vers l'entrée de la forêt sauf Alice qui s'est déjà rendue dans la forêt afin de mettre son plan machiavélique en marche. Je marchai tranquillement quand Rosalie me dit dans l'oreille:

-Tu crois que Bella va ressortir vivante de la forêt? Elle est faible comparer à nous.

-Rose tout le monde sait que tu as une dent contre elle. Ce n'est pas la peine de l'accabler non plus. De plus Edward la protégera.

-Moi je trouve qu’ Edward fait une erreur. Si les vampires d'autres clans passent par là ils sentiront l'odeur de Bella et notre famille va de nouveau avoir des problèmes!

-Écoute tu sais bien que les vampires ne passent que rarement près de Forks et en plus Alice aurait prédit leur arrivé.

-A ce que je vois je n'aurai pas le dernier mot mais pour moi les vampires doivent rester avec les vampires et les humains doivent rester à leur place d'humains.

Dans la famille, on étaient tous habitué aux critiques de Rosalie envers Bella. Mais on avaient tous pris l'habitude.
Une fois arrivé à l'entré de la forêt, j'aperçus Alice qui venait vers nous d'un pas gracieux. Elle avait le regard satisfait et en même temps celui d'une sadique. Elle dit sur un ton à faire froid dans le dos:

-Le jeu de la chasse au trésor de l'horreur est commencé faite vos prière car jamais vous ne sortirez de cette enfer. Niark niark.

Nous le devinons tout de suite quand tout à coup la nuit se fût plus noire et toutes les lumières de la maison ainsi que celle qui éclairaient l'allée, s'éteignirent. Des bruits étranges s'élevèrent de la forêt, aussi noir qu'un four, on entendait des feuilles qui craquaient, des branches qui se brisaient , des bruits de pas ainsi que des rampements qui ne ressemblaient pas aux sons que produis un humain ni même un animal comme un loup-garou ni même par un vampire. Je me demandais comment mon Alice, si douche et gentille tout le reste de l'année peut devenir une sadique le soir d'Halloween. Je fus étonné que même Carlisle, qui d'habitude riait toujours aux créations farfelues de ma douce, fut pétrifié de peur et Esmé qui se collait à lui comme pour se rassurer. Je jetai un coup d'œil au dur du groupe, Emmett, et je remarquai qu'il tremblait comme une feuille. Rosalie, qui d'habitude toujours sûre d'elle, n'avait pas envie de faire la femme fière et courageuse. Elle était même pétrifiée, n'osant pas bouger de peur d'attirer sur elle un colère maléfique. Bella, elle n'en parlons pas. Elle était complètement collée à Edward qui lui même n'eut pas l'air très rassuré. Je regardai Alice et elle avait l'air d’ être contente d'elle. J'avoue que moi même, qui n'avais pas peur de grand choses, je n'étais pas très à l'aise. Alice s'était surpassée cette année. Elle déclara:

-Que l'enfer commence !

Je m'enfonçais dans la forêt, main dans la main avec Alice. Malgré mon don pour changer l'humeur et les sentiments, je fus incapable de m'empêcher d'avoir la frousse. L'ambiance dans la forêt est malsaine. Alice avait dût ramener quelque chose ou plutôt des choses qui ne devraient pas être ici. Je commençais à flipper pas mal car plus on avançait dans la forêt, plus l'ambiance devenait froide, malsaine, terrifiante. Alice s'arrêta brusquement et me dit:

-J' espère que nos amis Loups-Garous ne s'aventureront pas dans la forêt. Ils laisseront leurs vie.

-Tu va enfin me dire ce que tu mijotes?

-Tu verras mon Jasperounnet. Cette nuit sera inoubliable.......en frissons.

-Tu sais ma douce, je t'aime comme un fou mais j'avoue que tu me fais vraiment peur ce soir.

-Jasperounet, cette nuit sera une pure merveille crois moi. Je me suis surpassée. Même moi je me suis arrangée pour que j'ai aussi peur que vous.

-Ça promet et.....

Je fus coupé dans ma phrase. Devant mon Alice et moi, se dressa une forme inconnue, mystérieuse et terrifiante à la fois. Je fus pétrifié de peur et je sentis Alice qui se blottissait contre moi, se serrait fort contre moi. Je pus remarquer qu'elle était aussi effrayée que moi. La forme poussa un cri strident dans la nuit, un cri à faire froid dans le dos, un cri que nuls vampires auraient eu le courage de faire taire. La forme était grande, fine, vêtue d'une capuche noire. Son visage était maigre. Presque la forme d'un squelette. Son corps était couvert de lambeaux de vêtements noirs. Ses mains, digne d'un squelette, était doté de griffes aussi longues qu'un sabre. Dans la main droite, la chose tenait une faucille. Le cri ne s'arrêta pas et je pus entrevoir que sa bouche était inexistante. A la place se trouvait une cicatrice comme si on avait cousu sa bouche. La chose semblait avancer comme si elle glissait. La peur s'empara d' Alice et moi, on se mit à courir comme des malades. Par chance, la chose était aussi lente qu'un humain de 90 ans. Après l'avoir semé, Alice me dit:

-Mon dieu! Je ne pensais pas qu'ils allaient me l'accorder cette bestiole là!

-Alice, que veux tu dire par "ils"?

-En allant chercher Bella la semaine dernière chez elle, j'ai rencontré un vampire français. Il disait appartenir à l'un des clans les plus puissants du monde. Je lui ai demandé une preuve et il m'a emmené chez eux dans leur cachette situé à Port Angeles. Ils m'ont dit qu'ils étaient de passage et voulaient se rendre en Géorgie. Ils m'ont montré un arsenal de monstres et j'en ai choisis quelques uns mais les moins dangereux mais effrayants tout de même. Mais je crois qu'ils se sont foutus de moi car les monstre là c'était ce qu'ils appellent le bras droit de la mort. Et j'ai peur qu'ils aient envoyé le terrible dragon dont les têtes repoussent sans arrêt.

-Ne me dis pas que tu parles de l'Hydre du Diable?

-Si, elle, en personne. Mon dieu il faut prévenir les autres et les sauver coûte que coûte.

- Nous n'avons pas de temps à perdre. Abandonnons cette chasse car là notre famille court un grave danger.

-Oui chéri. Il faut faire attention car ces bestioles font très peur et même Carlisle et Edward ont senti le danger.

-Pensons très fort que la famille court un grave danger. Edward normalement entendra nos pensées et il préviendra les autres.

-Ah!

-Quoi ma douce?

-J'ai eu une vision, une Gorgone s'approche rapidement de Rosalie et Emmett!

-Une Gorgone?! Mon dieu dépêchons nous de les retrouver! Ou se trouvent t-ils?

-Dans un espace rempli d'arbres morts, non loin d'ici. Allons y!

Alice se mit à courir et je l'imitai. Le stress commença à s'emparer de moi. Selon la vieille légende des vampires, une Gorgone est notre ennemie le plus ancien, le plus dangereux, le plus terrifiant. Mais cela n'a aucune comparaison à l'Hydre du Diable, le pire ennemies de toute espèces vivants dans toute la galaxie. Nous devons réunir la famille pour la protéger de cette invasion. Le simple jeu que nous devions jouer est devenu un vrai jeu de survie. Il fallait sauver Emmett et Rosalie coûte que coûte avant qu'il ne soit trop tard. Je n'avais qu'une crainte en ce moment, c'est que cette Gorgone s'attaque à ma famille adoptive.

Enfin l'espace aux arbres morts! Alice chercha Emmett et Rosalie du regard. Puis elle vit une chose des plus terrifiante. La Gorgone entrain d'attaquer Emmett et Rose. Malgré la puissance du dur du groupe, la Gorgone n'avait pas de mal à le maîtriser au sol. Rosalie, quant à elle, était prisonnière de la chevelure de serpents de la Gorgone. Alice me regarda et je vis dans son regard qu'il fallait aller les aider. Je me ruai vers la Gorgone et lui donnai un coup de pied dans la nuque. Sa chevelure lâcha Rosalie et Emmett put se dégager. Alice arriva et aida Emmett à se relever et Rosalie m'aida à maintenir la Gorgone. Mais je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais on s'est tous retrouvé à terre les uns sur les autres. Je leva la tête et vu un spectacle des plus répugnants, la Gorgone se tenait devant nous, sa peau d'un vert foncé, son corps dodu, sa dense chevelure de serpents, ses yeux d'un rouge sang et ses dents aussi pointues que ceux d'un serpent. Elle était terrifiante et mon corps se mit à trembler comme une feuille quand je vis Carlisle, Esmé, Bella et Edward s'approchaient à grande vitesse. Bella se mit de côté et Carlisle attrapa la Gorgone dans le dos, Edward lui tenait les bras et Esmé s'approcha d'elle avec un miroir. La Gorgone lui envoya un éclair pétrifiant mais il fut contourné par le miroir et l"éclair se dirigea vers la créature qui fut changée en pierre. ,Bella s'approcha et nous aida à nous relever. Rosalie était tellement secouée qu'elle accepta l'aide de Bella. Carlisle s'approcha de nous et nous dit:

- Alice qu'est ce que ce c'étaient ces choses?

-Ce n'est pas ce que j'ai voulu! Je me suis fait avoir et je n'ai rien vu venir, pas eu de visions à ce sujet.

Esmé prit Alice dans ses bras et lui demanda de sa voix douce:

-Ma chérie raconte nous tout ça. A ton rythme.

Alice leur raconta l'histoire. Je fût mal à l'aise car je n'aimais pas voir ma moitié pleurait. Au bout de 5 min, Carlisle nous dit:

-Famille Cullen. L'heure est grave. Je suis sur de connaître l'ennemi. C'est la plus vielle famille française. Elle est même plus vieille que celle des Volturis. Ce clan de vampires est connu dans le monde pour appartenir à de puissances occultes. C'est la célèbre famille des Lauryets.

-Chéri mais comment pouvons nous les battre?

-Il n'y a qu'un seul moyen Esmé. C'est d'alerter les clans de vampires voisins.

-Nous devons sortir de cette forêt avant chéri.

-Esmé, nous sommes entourés par des puissances occultes. Nous ne sortirons pas de cette forêt sans les avoir toutes tuer.

-Que comptes tu faire pour tuer l'Hydre du Diable?

-Aucun vampire n'a réussi à le terrasser. Selon les Volturis, on devait prendre des armes ayant la même puissance occulte que l'Hydre.

Emmett s'avança et dit:

-En gros il faut zigouiller au minimum 8 bestioles et leur prendre leurs armes?

-C'est ça. Mais Bella ne pourra pas se battre c'est perdu d'avance pour elle. C'est une humaine. Tu te cacheras dans des buissons. Ces créatures occultes sont mortes donc elles n'ont pas d'odorat. Elles ne te remarqueront pas. Famille Cullen le cauchemar a commencé, nous allons effectué ce qu'aucun vampire n'a réussi en plus de 10 000 ans.

Notre famille avança dans la forêt et les bruits s'amplifièrent dès qu'ils eurent atteint une vaste clairière. Edward remarqua des traces de pas, de la taille d'un rocher, dotés de griffes, qui se dirigeaient vers l'autre bout de la clairière. Je fus envoyé en éclaireur en compagnie de Carlisle et d'Emmett, Edward préféra protéger les dames.

Une fois arrivé à l'extrémité de la forêt, nous assistâmes à un spectacle des plus horrible. Plusieurs monstres formaient un cercle et au milieu se trouvait un dragon, le plus énorme que je pus voir en presque 147 ans d'existence. Il était composé de 2 têtes, d'une couleur violette et par endroit noire, des dents aussi acérées que des serres d'aigles, des yeux entièrement noir, des griffes aussi longues qu'une baguette de pain, et un cri aussi aigu qu'un aigle royal. Il nous regarda et poussa un cri que nous glaça le sang. Tous les monstres se retournèrent et j'aperçus le bras droit de la mort. Rien que sa vue m'empêcherait de rester tranquille pendant des semaines. Soudain il dit une phrases dont seuls les monstres semblèrent la comprendre. Sa voix était terrifiante, on aurait dit une voix d'un homme qui n'avait pas bu d'eau depuis au moins une dizaine d'année. Tous les monstres se retournèrent contre nous et se mirent à courir, rampaient ou flottaient. La peur nous coupa les jambes et nous n'arrivions pas à nous dégager de ce pétrin. Mais je sentis la douce main d'Alice qui m'emporta en arrière. Nous courûmes à une vitesse folle, presque aussi vite qu' Edward. Nous nous arrêtâmes dans un coin ou les monstres ne pouvaient pas nous voir. Soudain, un rugissement que je reconnus entre mille se fit entendre. Un loup garou, d'une taille énorme se dressa devant nous. Puis Bella s'écria:

-Jacob! Tu es au courant que tu cours un grave danger? Ces monstres tuent autant les loups garous que les vampires!

Le loup garou changea de forme pour prendre l'apparence humaine.

-Je sais Bella, mais ma tribu m'a chargé de vous prévenir qu' un clan de vampires sans doute ennemi au votre traîne dans la forêt. Selon moi, ce n'est pas des Volturis. D'après la langue qu'ils parlent, ce sont des français.

- Carlisle a dit qu'ils font partis du clan des Lauryets. Que pouvons nous faire?

-Faire la même chose que lorsqu' on a combattu les vampires nouveaux nés. Vous vous battez en 1er contre quand à ma tribu et moi, nous arriverons à la rescousse. Avec ça, ces vampires Frenchies retourneront chez eux la queue entre les jambes et.....
Jacob fut coupé dans son élan. Je me retournai pour voir ce que son expression horrifié regardait. Là le cauchemar. Les monstres nous encerclaient et des vampires s'avancèrent vers nous. Le chef d'entre eux, une femme au cheveux mi-long noir, d'un teint de porcelaine et des yeux d'un rouge flamboyant, s'arrêta net. Elle nous scruta et parla dans l'oreille du vampire situé à sa droite. Il approuva. Le vampire à sa gauche nous regarda d'un air glacial. Il était de taille moyenne, noir de peau, les yeux noirs. Malgré sa taille, il était plus grand que l'autre vampire, qui lui ne devait pas faire de plus d'1,65 m. Il avait les cheveux bleus en pétards, un teint aussi blanc que leur chef, et nous scrutait avec un rictus malfaisant. La chef nous regarda et dit:

- Bonjour. Je suis Angèlû, à ma gauche c'est Clifford et à ma droite Matt. Nous avons appris récemment qu'un clan de vampires vivait près de Forks. J'avais envoyé Matt en ville pour trouver quelques humains quand il a rencontré un des vôtres. Nous l'avons emmené à notre cachette à Port Angeles. Elle nous a donné de précieux renseignements sur votre clan. Notre but à nous les Lauryets, c'est d'être le seul clan de vampires et nous accueillons à bras ouverts ceux qui réussissent le test d'admission c'est à dire se battre contre moi. Celui ou celle qui arrive à me déstabiliser pour entrer dans le clan les autres serviront d'esclaves.

-Notre maître, Angèlû, a pour but d'exterminer votre famille car votre régime alimentaire de vampires végétariens est un comble pour notre race. Selon la loi de notre clan, tous vampires refusant le sang humain devront être châtiés.

-Matt a parfaitement énoncé la situation. Je rappelle aussi que tous vampires ayant une relation avec une humaine comme c'est le cas ci-présent sont aussi châtiés et l'humain devient notre dîner. Comme notre maître a remarqué que vous transgressez toutes ces règles, nous sommes obligés de vous détruire. Ainsi que l'humaine.

-Préparez vous à mourir. Je ne vous tuerai pas de mes propres mains. Mon Hydre du Diable s'en chargera. Avant toutes choses, mes deux bras droits et moi allons utilisé nos dons sur vous pour vous faire revivre vos pires cauchemars.

Les trois vampires se mirent à nous fixer. Soudain je me sentis mal, comme si j'allais m'évanouir. J'étais dans les ténèbres, je voyais Alice mourir, m'appelant à l'aide. Je voulais la secourir mais mes jambes refusaient de m'écouter. Je voulais crier au secours mais ma voix se fit lointaine. Elle m'implorait du regard, pleurait, me disait pourquoi je restais planter au même endroit. Comment lui faire comprendre que je ne contrôlais pas mes mouvements? Soudain, Alice sembla s'illuminer mais non! Elle s'embrase! Elle meurt! Mon cri de détresse parut lointain mais la peur que je ressentais était énorme et je la sentais bien.

Je retrouvai mes esprits. Je regardais ma famille. Tous étaient entrain de retrouver leur esprit et je vis Alice titubait sur ses jambes. Grâce à Dieu, elle était en vie! Une fois le choc passé nous regardâmes autour de nous. Et là, le drame. L'Hydre du Diable, la bête la plus monstrueuse, la plus dangereuse se dressa face à nous. Ses crocs sortirent, elle s'apprêta à nous attaqué. Emmett se rua sur la bête suivi de près par Edward et Carlisle. Rosalie les suivit et Esmée trouva une cachette pour protéger Bella. Alice, à mes côtés, me lança un regard où je compris ce qu'elle voulait. Détruire d'autre forces occultes et récupérer leurs armes car sans elles nous ne pouvions affronter l'hydre. Nous nous mîmes à courir vers les autres monstres et nous nous battîmes comme des lions. Alice s'était souvenue de mes cours de combat. Nous avons récupéré 6 armes, ne manquait plus qu'une seule et restait un seul monstre, le bras droit de la mort. Alice et moi décidâmes d'unir nos forces et chacun ruâmes de coups le bras droit. Alice lui fit perdre l'équilibre et j'en profitai pour arracher la tête de cette bestiole. Je récupérai son arme et nous nous dirigeâmes vers notre famille afin de leur distribuer les armes.

Une fois la famille équipée, nous attaquâmes l'hydre mais dès que nous tranchions une tête, 2 autres en repoussaient et le nombres de têtes finit par atteindre 12 en seulement quelque minutes! Au bout de 1H de combat acharné, Esmé trouva la parade contre l'hydre. Nous devions utiliser notre vitesse et couper les 12 têtes en même temps. On s'exécuta et la parade porta ses fruits! L'hydre vaincue, le clan de vampires ennemi prit la fuite et nous rentrâmes à la maison, exténués. Alice nous dit:

-C'était vraiment une fête d'Halloween pas comme les autres. Je recommencerai bien l'année prochaine.

Nous poussâmes tous un cris de désespoir. Elle est comme ça ma choupinnette!


Auteure: AngèlûXJasper

Fiction 5 :



Prologue

Halloween journée des farces et de l’horreur déguisé. Pour nous les vampires cette journée est toute autre. Elle symbolise le renouvellement de nos clans, de notre race. Le soir du 31 octobre et tout la semaine qui le précède, les vampires et surtout les Volturis partent pour la chasse aux talents et tout les coups sont permis seuls quelques uns ne se prêtent pas à cette semaine sanguinaire. Je m’appelle Renésmée Cullen je suis une hybride mes parents et mon petit ami se sont absentés quelques temps et je suis seule en cette soirée du 31 octobre mais avant tout je vais vous raconter cette semaine infernale. N’ayez pas peur je ne vais pas vous mordre. Entrez donc dans mon antre bientôt la porte se refermera un dernier doute ? Restez donc vous n’allez pas mourir.




-Tu pars ?mais vous ne m’avez pas prévenu !! M’énervais-je.

-Ness calme toi ! On doit allez chercher un nouveau membre qui habite en France il est perdu tu comprends on doit l’aider !

-Jake vous partez quand ?

-Mercredi…

-Mais on est lundi…Alors je vous accompagne !

-Non Ness c’est trop près de l’Italie c’est hors de question.

Je le repoussais et le toisais de mon regard éperdu de passion pour lui. Il avait pourtant raison, c’est la semaine d’Halloween les Volturis allaient chercher leurs nouveaux membres c’était bien trop dangereux pour moi mais pour lui aussi des larmes roulèrent sur mes joues je ne voulais pas qu’il lui arrive la même chose qu’à Mel elle avait risqué sa vie l’an dernier pour aller fêter Halloween chez elle, les Volturis n’ont pas hésité à la tuer car elle était une menace. Jake me regardait de ses yeux de chien battu ses yeux si inquiets. Ne pouvais-je donc pas y résister une heure seulement ? Cela faisait 3 mois que l’on était ensemble et il m’était impossible de le regarder dans les yeux sans avoir envie de l’embrasser. Je me jetais à son cou et enfoui mon visage dans son torse musclé j’inspirais à fond pour humer son odeur et en remplir mes poumon. Il baissa la tête pour embrasser mon crâne puis il leva mon menton de sa main droite et m’embrassa avec colère puis avec une passion qui consuma ma résolution de rester sage. Ses mains qui caressaient mon dos me paraissaient être des langues de flammes, un fleuve de lave en fusion courrait sur ma peau. Mes mains fourrageaient dans ses cheveux. Sa main droite descendit le long de mon flanc et il me plaqua à lui. En avait-il seulement envie autant que moi je le désirais. La réponse ne fut pas longue à attendre délicatement il ouvrit mon chemisier crème que ma mère m’avait donné et nous plongeâmes dans cette partie de notre relation que nous attendions depuis si longtemps.




-Jake debout tu as vu l’heure Kate doit être arrivé depuis longtemps maintenant. M’écriais-je.

Je m’arrachais à contre cœur de notre étreinte et me rhabillais à toute vitesse. En quelques secondes nous étions de retour à la villa heureusement que mes parents n’étaient pas là sinon ils auraient tué Jake. Je passais une main dans mes cheveux blonds et pris une grande inspiration Jake me tenait par la main se qui ne m’aider pas à me concentrer. Une voiture qui mordait le chemin de terre et je rentrais.

-A vous voila tout les deux ! Souffla Rosalie vous faisiez quoi ?

-On est allez voire mon père mentit Jake.

-Kate arrive alors tiens toi correctement Nessie dis Emmett.

-Mais bien sur Tonton je fais se que tu me dis tout le temps.

Un rire raisonna en haut Jasper s’esclaffait. Des pas sur le perron je me postais au piano et jouai le morceau que mon père m’avait écrit. Rosalie ouvrit la porte et salua tout le monde. Carmen ignora royalement Emmett pour me prendre dans ses bras.

-Tu joues du piano Nessie tu es vraiment comme ton père toi !souffla-t-elle Jasper ricana en descendant les marches.

-Elle comme son père non ce n’est pas vrais elle est tout le contraire elle est très…extravertie et elle outrepasse les ordres de ses parents. N’est se pas Ness. Dit-il tout souriant.

Il savait donc au par pitié qu’il ne le révèle pas à mes parents un simple regard me suffis à savoir qu’il ne le dirait pas. Jake me souriait je lui rendis son sourire.

- Alors quoi de neuf chez les loups s’esclaffa Eléazar.

- Ils partent pour la France mercredi soufflais-je soudain concentré sur le piano.

- Et bien on dirait que vous voyagé c’est très bien pour vous. Renésmée vient avec vous ou non ? Questionna Kate

- Non je n’ai pas le droit c’est trop proche de l’Italie. Avouais-je à contre cœur.

Mercredi venait d’arriver j’avais dit au-revoir à tout le monde j’avais embrassé Jake en lui faisant promettre qu’il serra prudent une fois là-bas. Mais je ne le croyais pas il n’avait jamais été prudent de toute sa vie alors pourquoi maintenant ? Je ne savais pas quoi faire Jake absent et mes parents aussi je ne savais plus quoi faire je n’avais plus envie de m’amuser. Cela faisait deux jours sans ma moitié il était sensé être de retour depuis longtemps non nous étions vendredi. Je m’inquiétais beaucoup trop et cette intuition qu’il se passe quelque chose de mal comme quand j’étais petite était de nouveau présente.

-Ness une lettre pour toi. Cria Rosalie.

-J’arrive ! C’est quoi ? Demandais-je

-Je ne sais pas tu n’a cas l’ouvrir. Répondît-elle.

Je m’éloignais de la villa, tout ceci était assez dur pour moi de ne pas voire mon petit-ami et en plus cette lettre était une lettre des Volturis non ? Mes doigts tremblais il faisait froid pour un moi d’Octobre. Il n’y avait plus aucuns loups autour de la maison. J’arrivais au cottage et m’enfermais dans ma chambre pour ouvrir cette lettre. Je déchirai le papier de l’enveloppe et l’ouvris. C’était Jane ou Alec qui l’avait écrit, l’écriture n’était pas celle d’Aro elle était plus pointu plus appuyé comme si on voulait me faire peur dès le départ. J’avais raison elle n’était pas inoffensive. Mais se n’était pas l’écriture de Jane ou Alec c’était celle de Jake.

Je suis désolé Ness je vais devoir rester quelques temps en Europe ne viens pas c’est trop dangereux ne m’oublis pas mon amour je me souviendrai toujours de notre lundi. Jake

Au mon Dieu il avait Jake et il le gardait. Je me levais des larmes coulaient sur mes joues intarissables. Je pris une valise les clés de ma voiture je remplis mon sac de toute les affaires qui me tombais sous la main mes papiers. De l’argent aussi dans la chambre de mes parents et je partais. L’Italie allait me paraître inhospitalière et lundi c’est le soir d’Halloween. Je devais me dépêcher le temps était compter je connaissais assez Caius pour savoir qu’il haïssait les loups.



Volterra était juste devant moi, je ne voyais pas les paysages autour de moi Rosalie m’avait appelé trois fois mais je n’avais pas répondu mon père et ma mère doivent être rentré maintenant, la ils doivent avoir découvert ma lettre qui leurs dit de ne pas me chercher ils ont découverts aussi la lettre de Jake et savent où je vais. Ils viendront je le savais mais j’y serrai avant eux. Je rentrais dans la ville à présent. Les gens me regardaient avec envie en voyant ma Ferrari fraichement volée. J’arrivais au cloché. Je me garais et attendis que Jane arrive, une minute était suffisant ils étaient déjà là à me regarder et me dévisagé.

-Jane contente de te revoir. Soufflais-je acerbe

-Moi aussi jeune Renésmée, Aro serra honoré de ta venu. Tu es seule j’imagine. Susurra-t-elle.

-Oui je suis seule mais mes parents vont bientôt arrivés je pense. Dis-je

-Oh très bien sous nous. Démétrie, Félix !!

En une seconde je me retrouvais coincé entre les deux gardes. Le peur m’envahit d’un coup et je frissonnai. Nous marchions vers une ruelle sombre Jane disparût et Félix la suivi dans un trou dans le sol. Je le suivi Démétrie me suivait de près. Nous étions sous la ville, un tunnel qui passait sous l’église. Nous passâmes une grande porte, nous arrivions dans une salle d’attente avec une secrétaire autre que celle que ma mère m’avait décrite. Elle nous laissa passer et Démétrie lui sourit elle rougit aussitôt. Nous arrivâmes dans une grande sale Aron et ses frères étaient réunis devant moi. Caius me souriait avec un de ses sourires mesquins d’enfant gâté.

-Renésmée ma chère je suis honoré de ta visite. Clama-t-il.

-Aro ! Et si nous faisions comme si vous saviez pour quoi je suis venu seule je tiens à le signaler dans la forteresse d’un clan qui voulait me tuer et qui maintenant fais tous pour me compter parmi vous ? M’énervais-je.

-Jane ramène le tout de suite ! Ordonna Caius

-Bien maître j’y vais. Souffla-t-elle déçus

Quelques seconde plus tard elle revenait Jacob était avec elle il me regarda avec des yeux glacés, il était en colère et il me le montrait.

-Tu parle de ça ? Tu es venu pour le chercher mais ma chère pourquoi ne pas lui avoir obéis ? Cela aurait été plus simple pour toi.

- Relâchez-le tout de suite ! Soufflais-je. Il n’a rien à voire avec tout ça.

-Oui c’est vrai mais c’est le seul moyen de t’y obliger. Marcus avait parlé c’était une première.

-Je le ferrai mais d’abord laissez le partir. Et je veux lui parler seul à seul.

-Laissons les parler Caius elle ne partira pas. Nous vous laissons seuls et jeune loup tu pourras partir par après.

-Merci Aro. Remerciais-je

Nous étions seuls et personne ne pouvait nous entendre.il me prit dans ses bras, sa chaleur me réchauffait mais mon cœur restait glacé.

-Que veulent-ils Ness ?

-Moi, il me veule moi Jake promet moi de partir tout de suite et ne fais pas demi-tour je me débrouillerai pour vous contacter d’accord ?

-Mais Ness…

-Non Jake fais le pour nous pour notre amour d’accord. Tu vas partir et prévenir mon père il amènera des alliés. Je t’aime Jake, je t’aime tellement. Sanglotais-je

-Moi aussi Ness je t’aime et je te promets qu’on va te sortir de là Ok ?

-Il faut que tu y aille au-revoir Jake.

-Au-revoir ma Ness.

Il me sourit et partit je savais qu’il ferrait se que je lui avais demandé. Les Volturis se regroupaient dans la salle, j’allais donc participer cette année à cette sanglante soirée qui était se soir et mes parents ne seront là que dans une semaine tout au plus. Il fallait que je tienne jusqu’à se jour ou ils viendraient me chercher. Une dernière image m’apparu un dernier souvenir, ce lundi après-midi ou Jake et moi avions révélé notre amour l’un à l’autre. La porte se fermai et mes yeux avec. J’étais devenu une Volturi et ma vie allait changer pour toujours. Mais ceci je ne le savais pas encore.



Auteure: Sybille/rosalie68

Fiction 6 :


La soirée débutait à peine. J'entrais dans la salle, une vapeur blanche envahissait l'endroit. Les personnes présentes dansaient sur une musique assez entrainante. Plusieurs déguisements différents ressortaient clairement de l'assemblée comme les vampires, zombies et autres costumes en tous genres. Les costumes étaient plus ou moins réussis.

Après quelques minutes à regarder les musiciens passionnés, je cherchais Nahuel. Nous devions nous retrouver dans quelques instants mais mon impatience prenait le dessus. Marchant à travers la lumière des projecteurs, ma peau maquillée reflétait un blanc nacré. Je sentais mes cheveux tombant en cascade dans mon dos et bougeant aux rythmes de mes mouvements. Je savais que ma robe grise mettait mes formes en valeur tout en laissant mes jambes libres de leurs pas réguliers. J'entendis clairement quelqu'un m'appeler brusquement même si pour des oreilles humaines, sa voix se serait presque effacée dans la musique.

- Renesmée !

Je me retourn ais avec un visage interrogateur, n'ayant cependant pas reconnu cette voix. Jacob Black se tenait devant moi avec ses yeux d'un noir profond me fixant intensément. Cela faisait longtemps que je ne l'avait pas vu. Je le trouvais amaigri. Son regard dériva sur mon costume.

- Beau costume, me dit-il.
- Merci, Jacob.

Ses yeux étaient brillants. Était-ce la lumière ou des larmes perlant aux creux de ses yeux ? Je ne pus m'en empêcher et j'approchais lentement ma main de son visage. Il recula quelque peu son visage mais ne bougea pas. Sa peau était chaude mais pas comme à l'habitude. Je ne pouvais m'empêcher de penser que quelque chose n'allait pas. Il n'eut qu'à regarder mon visage à l'expression curieuse pour deviner ce qui me trottait dans la tête. Il se lança dans un monologue qui me toucha profondément.

- Tu sais la vie est bien monotone depuis que l'on ne se voit presque plus, à cause de...
- Moi ? Dit une autre voix.

Nahuel venait d'arriver. Il regardait d'un regard mauvais mon bras redescendant tout aussi lentement de long de ma hanche. Jacob lui lança un regard noir et partit précipitamment.

- Jacob ! Criais-je.
- Laisse, il reviendra te voir, ne t'inquiète pas.

Son ton était doux, et je sentais du remord dans sa voix. Il embrassa mon front et me guida au milieu des danseurs. Il posa une main sur ma hanche et croisa ses doigts avec les miens. Ma tête se logea dans le creux de son cou et mes cheveux tombèrent contre son torse. La danse nous entraîna durant de longues minutes. J'étais bien comme je ne l'avais été depuis longtemps. Mais bien vite, la musique se troubla et je relevais la tête.
Les monstres autour de nous semblaient plus vrais que nature et se rapprochaient bien trop vite de nous. Nahuel me tira à travers la foule et nous sortîmes hors de la salle. Nous tentions de courir aussi vite que nous le pouvions mais n'étant que des hybrides, nos efforts furent vite vains. Nous ne trouvions aucun endroit pour nous abriter ne serait-ce que quelques secondes. Mes pieds me faisaient mal mais je continuais à courir autant que je le pouvais, tenant fermement la main de mon aimé.
Soudain, d'une rue adjacente, un loup surgit. Son poil magnifique bougeait au rythme du vent. Je reconnus ces pupilles noires entourées de ce somptueux marron foncé. Il se retourna brusquement vers les poursuivants et montra de longs crocs blancs. Cela ne les arrêta pas et ils continuèrent leur course. Le superbe loup nous fit comprendre d'un signe de tête de grimper sur son dos, ce que nous fîmes, même s'il lâcha un grognement quand Nahuel monta à son tour.
Il courut jusqu'à notre maison. Enfin, ma maison. Personne n'était là. Nahuel rentra, je le suivis mais me retournai finalement. Jacob reprit forme humaine. Il n'avait plus de t-shirt et son jean était déchiré de toute part. Son regard était triste et il ne bougeait pas.

- Jacob, je...
- C'est fini ? Je n'ai vraiment aucune chance ?
- Je...
- Ne gâche pas tes paroles pour moi, j'ai compris.

Je ne savais que répondre. Son regard se plongea dans le mien. Je me rapprochai de lui et prenais sa main. Elle était bouillante. Je ne le sentais pas, mais le savais. Je voulais qu'il sache, qu'il comprenne. Je lui transmettais des images. Elles nous imaginaient amis. Je sentais que c'était dur pour lui mais il ne put ressentir cette douleur longtemps car les monstres de la soirée nous avaient retrouvés. Je cessais de lui envoyer ces images et l'entraînais à l'intérieur de la maison en fermant la porte derrière moi. J'étais paniquée. Je regardais tout autour de moi. Nahuel venait de fermer portes et fenêtres.

- Sais-tu où sont partis Carlisle et les autres ? Me demande-t-il.
- Non, je ne sais pas du tout.

Jacob me conseilla d'aller dans ma chambre me reposer, des cernes ornant le bas de mes yeux. Je suivais ses conseils sous l'œil paternel de Nahuel. Je montais les escaliers rapidement et me jetais sur mon lit en arrivant dans ma chambre. Mon regard s'accrocha au plafond gris et je pensais longuement. Je me levais après avoir réfléchi à tout et à rien. Je m'approchais de ma fenêtre. Le ciel était vraiment noir et aucun nuage... AH ! Je poussais un cri strident en reculant. Je tombais à terre mais me relevais pour me cogner contre Nahuel qui venait d'arriver.

- Qu'est-ce qui sa passe ?
- Je...la fenêtre ! Criais-je, presque surexcitée.
- Je ne comprends pas ce que tu dis...

Il poussa un cri d'exclamation. Le visage sanglant venait de réapparaître au niveau de la fenêtre. Je reculais encore de quelques pas et faillis retomber mais Nahuel me retint. Nous entendîmes soudainement un bruyant grognement et le monstre disparut aussi vite qu'il était apparu de la vitre. J'étais vraiment soulagée. Des larmes coulaient sur mes joues.

- Je...je...Ce que je peux-être ridicule.

Nahuel rit de moi. Je riais aussi. Nous descendîmes dans le salon. Jacob avait de grandes griffures sur le corps, certaines saignant abondamment. Je courais dans la salle de bain et attrapais la trousse de premier secours. Il s'était assis sur une des chaises de la cuisine et se tenait le ventre. Je m'approchais de lui, posais la trousse et commençais à le soigner.

- Je sais que ça ne changera pas grand chose, mais c'est déjà ça.

Je lui souriais tendrement, il me rendit un sourire blessé mais essaya d'être convaincant.

- Jacob..., dit Nahuel.

Jacob le fusilla du regard. Mais Nahuel s'en moqua.

- Sais-tu pourquoi ils ont fait ça ?
- Non, je n'en sais rien. Il faudra que j'en parle avec ton père, dit-il en me regardant.

J'acquiesçais. Pensant que les prochains mois allaient être longs, je me disais finalement que cette année, Halloween avait été effrayant.

La suite au prochain concours d'Halloween d'Histoire des Cullen



Auteure: Sonia

Fiction 7 :


J’étais à genoux, prête à mourir une seconde fois, je pensais une dernière fois à Fred, lui seul aura eu la vie sauve.

« Soyez sympa avec lui, s’il vous plaît… » Ai-je songé à l’adresse de l’auburn à la capacité de lire dans les pensées.

-Règle-moi ça Félix, a ordonné Jane en me désignant du bout du menton, je veux rentrer.

Mes dernières pensées ont été « Je me nomme Bree Tanner et je te vengerai Diégo, quoi qu’il se passe… je t’aime. »

-Ne regarde pas ! A chuchoté le vampire auburn. La fille le serra fort dans ses bras comme si elle était attristée de mon sort.

J’ai fermé les yeux.

Ce fut un grand déchirement à l’intérieur de moi, comme si mon crâne s’était brisé en mille morceaux. Ma gorge me brûlait, je voulu hurler, malheureusement, je n’avais plus la bouche pour que le son sorte. J’entendis des os se briser, était-ce les miens ? Je n’en doutais pas.
Quelqu’un hurla à ma place, puis plus rien. Etais-je déjà morte ? Alors pourquoi pouvais-je encore penser ? La douleur ne s’arrêtait pas, elle ne s’amplifiait pas non plus, pourtant après ce qu’il me sembla d’interminables jours, la douleur devint supportable…

C’était encore noir, je n’arrivais pas ouvrir les yeux, c’étais trop dur. Je ne pouvais pas non plus remuer mes doigts, ils avaient disparu.
Je sentais le soleil sur ma peau, brillais-je encore ? M’étais-je faite remarquée ? Fred m’avait-il retrouvée ? Diego…Diego était-il lui aussi dans le même cas que moi ? Etais-je réellement morte ?! Une semaine passa, la douleur persista quand je sentis mon corps bouger petit à petit, je retrouvais l’usage d’une main il me sembla car la vue ne m’était toujours pas revenue. Après quelques heures, mon corps était presque entier, le dernier morceau de mon crâne se remis en place, je pus me relever et enfin rouvrir les yeux. J’étais à présent presque entière, car j’avais perdu mon bras gauche. Je regardais autour de moi pour le retrouver mais il n’y avait plus rien. Les tas de cendres s’étaient envolés, si il n’y avait pas eu quelques arbres et pierres brisés, on n’aurait jamais pu croire qu’ici s’était déroulé un massacre ; massacre, ce mot sonnait tellement bien dans ma bouche, je me réjouissais à l’idée que Raoul et sa bande avaient été détruits par les yeux jaunes.

Tout à coup j’entendis un hurlement, pas un hurlement d’humain, non un humain n’aurait pas pu pousser ces cris là, ils ressemblaient plutôt à ceux que j’avais entendu lors de la bagarre qu’il y avait eu une semaine auparavant. Les cris m’intriguèrent, je n’avais pas eu l’occasion de rencontrer les vampires au hurlement terrifiant. Les hurlements retentirent à nouveau, ils étaient tellement fors, tellement prêts… Je décidais de les retrouver, avec un peu de chance, ce sont eux qui ont mon bras. Je traversai forêt et sentiers quand j’arrivai dans un petit village situé à l’Est de Forks. Les cabanes étaient en bois peint, certaines cheminées fumaient et le petit village sentait l’humain à plein nez, ma gorge me brûlait, j’avais soif et qu’une seule envie ; boire du sang.

Soudain, une multitude de hurlements retentirent les uns après les autres, ils vinrent de la forêt, j’hésitais, ma gorge me brûlait tellement, mais en même temps j’avais tant envie de savoir qui étaient ces vampires… Je regardai une dernière fois le village puis me dirigeai à toute allure vers la forêt. Là je découvris cinq loups immenses, je n’en avais jamais vu d’aussi grands. Le plus grand était noir, le regard sombre et prudent, les loups se turent quand j’arrivai.

M’étais-je faite repérée ? Si oui alors ils auraient déjà dû me sauter dessus. Ils étaient installés en rond, l’un d’eux, un gris, renifla quelque chose par terre. Je m’approchai doucement, grimpant dans un arbre pour ne pas me faire voir. Le noir tourna la tête pour voir s’il n’y avait personne. Le beige huma l’air, ils m’avaient repérée… Au centre du clan, trônait mon bras. Une question pertinente me traversa l’esprit, le clan des yeux jaunes avait-il vaincu mon clan avec l’aide de ses individus ? Que faisaient-ils en possession de mon bras ? Que me voulaient-ils ? L’un deux se dirigea vers l’arbre où je me tenais, j’avais une sensation de peur, le loup se dirigea de plus en plus vers moi. Je m’aplati contre le tronc de façon à ne pas me faire voir, j’arrêtais de respirer et ne bougeais plus d’un millimètre. J’entendis ses pas se rapprocher de moi, ils étaient lourds, le mastodonte se rapprochait. Son odeur était insupportable comment diable les yeux jaunes pouvaient-ils la tolérer ?!

Un grognement agressif se tendit derrière moi, puis, d’autre pas se joignirent à lui. Je m’agrippai au tronc avec mon unique bras. Un loup se dressa devant moi, les babines retroussées sur les crocs ; la musculature imposante du loup s’aplatit sur le sol puis bondit sur moi. J’eus le temps de bondir à mon tour sur l’arbre suivant mais un autre loup se jeta sur moi. J’atterris au sol sous le poids de l’énorme loup, j’essayais de me redresser mais les autres loups se joignirent au premier. Je pris appuis sur une souche et me redressais, projetant celui qui se trouvait sur mon dos. Je couru pour attraper mon bras qui était à présent dans la gueule de l’un d’eux. Je l’attrapais au passage mais le loup se défendit, d’un seul coup de tête, je fus projetée contre un énorme chêne. Quelques images me revinrent en mémoire. Une nuit Diégo m’avait laissé savourer le sang de ses proies, il me les avait laissées sans regret, puis, nous nous étions unis pour camoufler les corps. Cette nuit là, j’avais enfin compris que les vampires n’étaient pas tous les mêmes, que certains pouvaient être d’une compagnie agréable, que certains avaient encore derrière ce statut de marbre, un cœur et qu’il n’était pas si loin que ça. Il suffi d’une petite flamme pour que le cœur reprenne vie. Avais-je été la petite flamme de Diégo ? En tout cas, lui avait été mon feu de forêt, le feu incontrôlable qui ne pouvait s’empêcher de brûler et que même après avoir été éteint, laisse des traces qui resteront à jamais. La flamme se raviva, la colère remonta en moi, il était temps que Diégo soit vengé. Je me redressais d’un bon, serrant le point, je regardais férocement les loups gigantesques qui trônaient devant moi, leurs babines retroussées sur leurs crocs acérés ne me faisaient plus peur à présent. Je me jetais sur eux, j’attrapais un petit gris, le plaqua au sol et enfoui ma tête dans la fourrure nauséeuse. Je sentais a présent un délicieux goût de sang, ma gorge se remit à brûler de plus belle et ma rage ne fit qu’augmenter. J’arrachais un morceau de la gorge du loup, celui-ci hurla et un autre bondit sur moi, je massacrais sa gueule d’un coup de pied et récupéra mon bras gauche. D’un seul coup je le replaçais, la douleur n’était rien par rapport à ce qu’elle fut quand j’ai appris que Diégo était mort. Un loup brun vint à la rescousse du petit gris et fis une jolie rencontre avec mes crocs. Je tenais sa patte dans ma bouche et tira d’un seul coup. Un déchirement retenti, je lui pris la tête entre mes mains tremblantes de colère et le décapita. Le plus grand des loups arrivait au grand galop devant moi, il ne masquait pas sa rage, de la bave blanche dégoulinait de sa gueule, le noireauque sauta, je fis pareil roulant dans les airs, plaçant mes mains sur sa croupe, je fis un salto arrière, une fois sur la terre ferme, je déguerpi à toute vitesse vers Seattle. Loin derrière moi, les hurlements agressifs des loups retentirent, mais il était trop tard, la moitié de sa troupe était anéantie…

Je me senti quelque peu libérée, comme si une partie du fardeau que je portais depuis la mort de Diégo avait disparu. J’étais perchée sur un des toits de Seattle, un vent humide et froid vint se frotter à moi, j’inspirais une grande bouffée d’air, la pluie arrivait…
Regardant les rues de Seattle, je découvris qu’elles étaient inondées d’êtres quelque peu bizarres. La lueur d’un fantôme blanc, accompagné d’un croquemitaine et d’un zombie pirate portant tout trois un petit sac de bonbons, vagabondaient de maison en maison disant cette phrase totalement absurde : « Bonbons ou malédiction ?! » C’était Halloween …

Halloween… Cette fête où tous les enfants sortent déguisés en n’importe quoi de pseudo effrayant pour demander des bonbons. Cette fête, qui pour certain est signe de désespoir, de morts et de souvenirs et qui pour d’autres est signe d’amusement, de friandises et de bêtises. Pour moi cette fête n’était rien qu’une perte de temps où les obsédés sortent pour se faire des enfants comme moi, qui n’ont rien d’autre à faire pour survivre que de faire les trottoirs…

Ce temps est révolu, tous ceux qui se sont amusés avec mon corps et ceux de jeunes enfants sans défenses le regretteront. Je descendis du toit et me mis à la recherche d’hommes sadiques. Déambulant dans les rues à la lenteur d’un humain, je me fis intercepter par un clan de jeunes.

-Hé toi ?!

Je me retournais et vis un garçon aux cheveux noir âgé de 15 ans à peu prêt, il était déguisé en chevalier noir.

-Que me veux-tu ?!

Il me regarda d’un air suspicieux.

- Il est classe ton costume, t’as été le chercher où ? Dans une décharge ?!

La bande éclata de rire sauf une jeune fille blonde aux cheveux bouclés. La troupe passa son chemin mais la fille resta postée devant moi.

-Fais pas attention à eux ce ne sont que des idiots, me dit-elle. Ils ne savent pas ce que ça fait de ne pas avoir assez d’argent pour s’acheter des vêtements neufs…

Mes vêtements tombaient en lambeaux, ils avaient pris un sacré coup de vieux après les deux bagarres de ces derniers jours… Elle pensait vraiment que j’étais une pauvre fille sans argent ?! Enfin … en même temps elle n’avait pas si tord que ça. Une main se présenta à moi.

-Mon nom est Jessica, Jessica Monica Sunburn mais tu peux simplement m’appeler Jess, et toi c’est comment ? Je ne tendis pas ma main, cependant, je lui répondis.

-Bree Tanner…je baissais les yeux.

Elle reprit sa main.

-Hum… tu ne devrais pas trainer comme ça, tiens prends ma cape.

Jess vint accrocher la cape autour de mon cou puis mis la capuche sur ma tête.
La cape ressemblait étrangement à celle que portaient les Volturis lors de la bagarre. Les Volturis … il fallait que je les retrouve.
Je me remis en route sans rien dire à Jess, derrière moi, j’entendis des petits coups de pleurs. Alors comme ça elle pleurait… à quoi bon, je n’étais à présent qu’un vulgaire vampire qui fait tout pour sauver sa pauvre peau. Il fallait que je parte, il fallait que je le retrouve…
Je disparu dans une sombre ruelle, encore quelques portes faisaient apparition, mais ce n’étaient sûrement plus des portes de maisons. Derrière celles-ci, j’entendais de la musique, des cris habituels de femme, des coups de feu, des verres tombés sur le sol en carrelage, tout était parfaitement normal, j’avais pris l’habitude de fréquenter ces gens.

Je poussais l’une de ces portes, derrière elle, une réunion de joueurs de poker ; la fumée de leurs cigares enfumait la pièce. Trois hommes assis dans la pénombre autour d’une table ronde recouverte d’un tapis vert, seul une lumière blafarde éclairait les hommes en costume rayé et leurs chapeaux. A mon arrivée, les hommes pausèrent leurs cartes et se retournèrent. Ma gorge était enflammée, j’avais faim, très faim…

-Bonsoir messieurs, belle soirée n’est-ce pas ?

La Bree bien gentille et discrète avait disparu, vous avez en fasse de vous la nouvelle Bree, et cette Bree là, ne laissera pas vos vies sauve…
Je refermais la porte et mis le verrou. Deux gardes du corps s’avancèrent vers moi me bloquant le passage, mon regard croisa celui du grand noir, j’inclinais la tête, d’une seul main, je le poussais violemment. Celui-ci fut projeté contre le mur, la grille d’aération lui tomba dessus, il était à présent évanouit. L’autre homme voulu me donner un point, mais je l’attrapais et le retourna. Le craquement des os retenti, suivi des hurlements du garde. D’un coup de pied dans la nuque, je lui brisais les cervicales et l’homme tomba raide mort.

-Maintenant à vous messieurs, qui veut jouer avec moi au poker ?

Le type au chapeau rayer tentait de s’évader, mais l’homme au costume bleu l’attrapa par le col et le planqua devant lui en guise de protection.
J’attrapais les hommes au chapeau et au costume bleu par la gorge, je les soulevais au dessus de moi, puis, frappais les deux têtes l’une contre l’autre et les jetais contre le mur. Il en restait un, celui-là portait un cigare derrière l’oreille droite et un autre en bouche. D’un mouvement simple et pratique, il se retrouvait avec la tête en bas et suspendu par le pied. Ma gorge était en feu, je ne pouvais plus attendre plus longtemps, il était temps d’en finir une fois pour toute. Les unes après les autres, mes victimes se retrouvèrent vidées de leur sang.
Je parti en claquant la porte, à la recherche des Volturis.

Voltera, ville Italienne où les vampires trônent discrètement parmi les hommes. Comment avaient-ils fait pour ne pas se faire remarquer ? Ici le soleil brille et peu nombreuse sont les zones ombragées. Le clocher sonnait les 12 coups de midi, le soleil était à son zénith et peu de personne étaient dans les rues. Tout était calme, trop calme. Soudain derrière moi, une voix mélodieuse retenti.
-Encore toi ?! Mais comment as-tu pu ?

Je me retournais, c’étais Jane ! Je voulu partir à toute allure mais quand j’eu commencé à courir, un bruit perçant envahi ma tête. Affalée sur le sol en pavés, tenant ma tête et hurlant de toute mes forces, je vis Jane, elle ne percevait pas le bruit, pourtant il était tellement fort, tellement aigu qu’il me détruit petit à petit le cerveau. Le bruit s’arrêta, un rugissement retenti à la place. Les corps s’écrasaient sur les murs des maisons, les os se brisèrent, mais je ne pu regarder, une sensation de dégout m’empêchait d’observer.

-Fred, Fred !!

-Bree sauve toi !

Qu’il était bon d’entendre sa voix, mais il était hors de question de partir sans lui. Jane était trop occupée à essayer de se bagarrer, mais elle ne pouvait regarder son adversaire, celui-ci était trop répugnant. Je couru vers elle, bondissant sur son dot, passant mon bras entre sa tête et ses épaules, menaçant de la décapiter. Le bruit aigu retenti à nouveau, mais cette fois beaucoup moins longtemps. Fred venait de déstabiliser Jane en lui fracassant le nez. Je me relevais, puis, attrapais ses bras par l’arrière et positionna mon pied sur le coccyx.

-Maintenant dit-moi si tu as tué Diégo !

- Petite abrutie, ton cher Diégo a voulu me vaincre comme toi mais il a gouté à mes pouvoirs et il en est mort, les prochains seront toi et ton ami.
Elle se retourna et ce fut moi à sa place. La brulure intérieure recommença, Fred était lui aussi à terre, nous ne pouvions plus rien faire…

-Jane, Aro demande à te parler, il est au courant des deux nouveaux venu.

Une voix masculine mais tout aussi mélodieuse que celle de Jane vint se rejoindre à nous.

-Bien, pourrais-tu te charger du mâle mon frère ?

Mon frère ! Alors comme ça Jane avait un frère. Je l’observais, les deux se ressemblaient terriblement, ils étaient sûrement jumeaux. Nous nous dirigions vers le grand clocher, de lourde porte en bois s’ouvrirent à nôtre venue. Félix grogna quand il m’aperçu, je ne pu me retenir de lui adresser la parole.

-A ton prochain combat, tâche de brûler tes victimes, sinon celles-ci reviennent de chez les morts et leur vengeance ne sera que plus forte.

-Je tâcherais de ne plus faire cette erreur, mais ne crie pas trop vite victoire, car la mort t’attend au bout du couloir, et cette fois-ci, tu n’en ressortiras pas.

Nous traversions un couloir sombre, puis, derrière une petite porte en bois, se cachait une immense salle lumineuse. Elle était tout en marbre, des vitraux aux formes différentes laissaient pénétrer la lumière. Au dessus d’une estrade circulaire, se tenait trois sièges de bois, ils semblaient appartenir à de grand rois.

Trois hommes portant une sublime cape noire vinrent s’asseoir sur les trônes, ils avaient tout trois les cheveux longs, mais l’un les avait blond glacé, il était jeune, sa peau était impeccablement lisse, sans une ride, aucune imperfection. Le deuxième, lui était le plus âgé des trois, par rapport au premier, sa peau ressemblais à un amas de plis et ses cheveux étaient brun crépu mais il y avait quelque chose en lui qui faisait qu’il était beau. Le dernier, le plus noble et beau, avait les cheveux noir ébènes et sa peau était d’un blanc neige. Il prit la parole.

-Que nous rapportes-tu très chers ? Deux survivants de la dernière rixe !

-Aro, dit doucement Jane, La fille a été oxie par Félix, mais celui-ci a oublié d’incendier son corps et elle s’est régénérée. Quand à lui, il ne s’est pas présenté à la bataille, il n’a donc pas pu être perçu.

Les mains coincée derrière le dos, face à cet homme nommé « Aro », je ne peu bouger, ma vie allait sans doute se terminer ici dans cet endroit inconnu. Aro s’avança vers moi, il me tendit sa main paume vers le ciel.

-Donne-moi ta main, n’aie pas peur.

Jane délivra mes mains. J’hésitais, pourquoi voulait-il ma main ? Pourquoi lui donnerais-je ?
-Je te conseille de lui donner Bree… me dit Félix en insistant sur mon nom.

Je tendais alors ma main. Paume contre paume, je senti un petit picotement froid, ainsi qu’un léger vent mais je laissais ma main et tout mes souvenir revinrent.

Diégo, lui qui m’avait ouvert les yeux sur le monde extérieure, lui qui m’avait appris tout ce que Riley nous avait caché, lui qui m’a aimée, lui que j’ai aimé et pour qui je ferais tout pour le revoir rien qu’une dernière fois… Soudain, la grande porte en bois s’ouvrit violemment, tout le monde se retournait et les gardes se jetèrent sur l’inconnu. Je ne pouvais apercevoir son visage, le combat était trop violent. Les gardes se rapprochèrent de nous et je pu sentir une odeur familière.

-Diégo ?!

-Bree, Bree !!

J’arrachais ma main de celle d’Aro et couru vers les gardes qui étaient en trin de briser Diégo. Je rentrais au cœur de la bataille pour sauver Diégo, celui-ci se défendait comme il pouvait car le Jane mettait en œuvre son pouvoir de souffrance. Fred arrivait à notre rescousse, d’un seul coup, tous les gardes s’écartèrent y compris Jane et son frère jumeau, nous nous mettions en cercle dos à dos pour les affronter.

-Fred, criais-je, essaye de les repousser le plus possible ne t’en fais pas pour nous.

Les hommes revinrent en force et en évitant plusieurs coups, je lançais à Diégo,

-Je te croyais mort, Jane m’a dit qu’elle t’avait tué, où étais-tu ?j’esquivais un coup de poing.

-J’étais parti aider Victoria, mais elle m’a dit de rester à la cabane, elle m’a dit que tu y serais. Quand je m’y suis rendu, il n’y avait personne alors je suis allé au lieu de rendez-vous et là il n’y avait plus personne alors je suis parti à ta recherche en pensant que tu étais morte.

-Alors comment nous as-tu retrouvés ? Une nouvelle vague de dégout me passais sous le nez c’était Fred. Une fois remis de cette vague, Diégo me répondit.

-Je ne vous ai pas retrouvés, après être parti à ta recherche, J’ai retrouvé Fred et ensemble nous sommes arrivés à Voltera.Je m’arrêtais net en donnant un violent coup de point dans le nez d’un des gardes. Je regardais Fred avec un regard froid.

-Et toi tu ne m’as rien dit ?!

- Je n’en ai pas eu le temps ! J’avais l’intention de te le dire mais il était trop tard ! Mon crâne me brûlait, nous étions tous les trois affalés à terre, une souffrance atroce venait de Jane.

Les gardes se jetèrent sur nous, et chacun nous tenaient la tête.

-D’après ce que j’ai vu dans la main de cette Bree, Diégo en sait trop, il a une capacité a comprendre notre monde plus vite que les autres nouveau-nés, il est temps que ça cesse, exécutez-le !

Les gardes amenèrent Diégo devant les marches de marbres, il s’agenouilla et me jeta un dernier regard inquiet, je ne pouvait supporter que Diégo parte sans moi, alors, je me jetais sur Aro telle une bête féroce se jetant sur sa proie pour protéger son petit. Diégo ne méritait pas de mourir maintenant, pas sans moi, pas sans s’être encore une fois embrassé. Les gardes se jetèrent sur moi, Aro ayant été pris par surprise, s’était retrouvé au sol hélant ses gardes pour m’exécuté moi aussi.

-Pas sans moi Diégo.

-Pas sans moi non plus répliqua Fred, il se jetait sur Aro à son tour.

En se relevant, Aro ne pu s’empêcher de rire et de reprendre son sérieux et traitre juste après.

-Bien, puis ce que vous voulez tous mourir, alors vous serez tous exécuté !

Nous étions à présent tout trois a genoux sur le sol de Voltera se tenant la main, s’échangeant des regards d’adieu ; trois hommes se mirent derrière nous, nous tenant le coup. Félix était à mes côté, il se mit à ma hauteur pour me chuchoter ces derniers mots :

-Alors Bree n’avais-je point raison ? La mort t’attendait bien au bout du couloir, mais cependant ; si tu as une dernière volonté je te l’accorde…

Je le regardais puis passais à Diégo, je lui murmurais nos derniers mots qui furent aussi nôtre pacte.

-J’ai trouvé notre code secret, que penses-tu de la vie après la mort ?

-Pourquoi pas la vie après la mort, renchérit-il, je t’aime mon amour, et je t’aimerais toujours même après la mort…

-Je t’aime aussi et à jamais,je lui volais son dernier baiser…

Félix, j’ai encore une petite faveur à te demander, approche si tu veux bien, il faut que sa reste entre toi et moi.

Il s’approchait et je lui collais un bon coup de poing. Il se retira sans dire mots et replaçais ses mains sur ma gorge. Nous nous tenions la main tout trois et fermions les yeux à jamais…


Auteure: Crépuscule

Fiction 8 :


Il faisait froid ce jour là. Le vent soufflait et un orage se préparait à éclater. Ma mère s’était décidé, je serai internée. Ma capacité à voir le futur lui faisait peur… Et pourtant en croyant m’aider, elle sonnait la fin de ma courte vie. L’arrivée à l’asile fût floue, j’étais juste terrorisée… Des hommes en blouse blanche m’ont arraché aux bras douillets de ma mère. J’entends encore ses sanglots, ils me glacent le sang. Je me souviens avoir crié. Mais la peur qui m’habitait m’empêchait de réagir. Je me souviens de l’orage qui a éclaté à ce moment là. Le tonnerre, le bruit de la pluie ne faisait que renforcer ma peur.

J’ai été conduite dans une pièce sombre, j’entendais l’eau coulé. Deux femmes m’ont déshabillée et plongée dans l’eau froide. L’une d’entre elles me murmurait de me calmer que tout allait bien se passer désormais. Je savais que s’était faux. J’avais peur de croiser ce visage. Celui qui annoncerait ma mort.

Après m’avoir lavé. Les deux femmes ont pris des ciseaux et ceux sont mis à couper mes cheveux. Mes beaux cheveux, ceux que ma sœur aimait tellement brossés. Les larmes perlaient sur mes joues. Je sentais les coups de ciseaux malhabiles, je voyais les mèches qui tombaient, elles n’étaient pas égales. J’allais mourir avec une coupe d’épouvantail…

Après cette toilette, les deux femmes m’ont emmenées dans une grande pièce blanche seulement pourvu d’un lit. Pas de fenêtres, une petite bougie pour éclairer cette pièce. Plongée dans l’inspection de cette nouveau lieu je ne me suis pas rendue compte que les deux femmes étaient parties. C’est lorsque le lourde porte s'est fermée, avec un grincement qui me donne cnore aujourd'hui, froid dans le dos, que je me suis rendue compte que j'étais seule. Loin de ma famille, de ceux que j’aimais… Les larmes ont alors commencé à couler. Dehors la pluie se renforçait, les coups de tonnerre étaient de plus en plus forts. J’avais peur. La bougie éclairait à peine et rendait cet endroit encore plus effrayant… Si c’était possible.

Les heures passérent, longues et solitaires. Ma peur et ma détresse m’oppressaient… J’attendais l’arrivée de celui qui mettrait fin à mes jours. Je savais que ça ne devait plus tarder, même si le temps qui passait etait difficile à quantifier.

Je finis par m’endormir, mes rêves étaient emplis d’yeux rouges, de sang et de douleurs. Encore ses prémonitions… J’avais perdu toutes notions du temps, je ne savais plus depuis combien de temps j'étais ici. J’avais mal à la gorge, j’avais du crier dans mon sommeil. En voulant m’étirer je suis me rendu compte que j'avais été attachée.

Tout à coup la bougie s’éteignis dans un grand souffle. Je me sentais mal, je ne voyais rien, je ne pouvais pas bouger qui a-t-il de plus angoissant ? Je sentais une présence prés de moi, froide, effrayante…

Une voix froide et roque s’élèva dans la nuit.
« Chut, n’ai pas peur. Je vais mettre fin à tes souffrances. Ou les prolongées. Je n’ai pas encore décidé » L’homme riait. D’un rire qui vous glace le sang; qui vous fait comprendre que vos dernières minutes sont arrivées. Je sentis un souffle froid dans mon coup. Cet homme etait proche de moi, mais j’avais l’impression qu’une pierre gelée etait contre ma peau. J’osais à peine respirer.

« Tu sens si bon. Tu m’obsèdes. Je ne peux résister à l’envie de goûter ton sang. A savourer chaque gorgée. Tu es un être rare. Peu de personnes ont cette emprise sur nous. »

Je voulais crier mais aucun son ne sort de ma gorge. J'étais tétanisée. Les larmes coulaient ne plus en plus sur mes joues. J’en appellais à la volonté divine pour me sortir de là. Soudain des cris retentirent dans le couloir. Des hurlements de douleur et de peur. La porte de ma chambre claqua. L’homme à côté de moi se redressa. Un léger flot de lumière proviennant du couloir me permit de distinguer deux silhouettes sveltes et blanches.

« James… Je t’avais pourtant dit de la laisser tranquille…

- Patrick, cette fille sent bien trop bon, pour rester l’objet d’admiration d’un vieux vampire. »

Vampire ! Il venait de dire vampire… Comment etait-ce possible ?!? Ceux sont des créatures qui illustrent les contes pour enfants et non des êtres réels ? Les deux hommes se toisérent pendant plusieurs minutes. Tout à coup un grand bruit retentit. Ils se battaient ! J’entendais des craquements, des cris, des grognements. Je ne distinguais pas les mouvements. Seulement des courants d’air. Je me demandais bien ce qu’il allait advenir de moi. Les bruits avaient cessé. Je tendis l’oreille mais rien… Mon intuition me disait que ce n’etait pas fini. Soudain des bras m’arrachérent à mon lit. J’avais froid, nous avançions à une vitesse vertigineuse, j’avais mal au cœur. Nous arrivâmes dehors, je sentais la pluie sur mon visage. Je grelottais. L’homme me murmurait de ne pas avoir peur, qu’il allait me protéger. Pourtant je sentais bien qu’il ne pourrait rien pour moi, mon heure etait venue.

Nous nous arrêtâmes dans la forêt. L’homme me posa sur un rocher.

« Je m’appelle Patrick. N’ai pas peur de moi. Je suis là pour te protéger. Je t’aime. Tu es si belle… me dit-il en caressant ma joue. Qu’ont-ils fait à tes beaux cheveux ? Je vais devoir te faire mal ma douce, mais c’est le seul moyen de te protéger tu sais ? James ne va pas tarder à arriver. J’ai réussi à l’assommer mais ça ne va pas durer très longtemps. » Continua-t-il en attrapant ma main et en embrassant ma paume.

Il s’approcha de moi, m’embrassa dans le cou. Et tout à coup, une douleur transperça ma nuque, comme deux lames plantées dans mon cou. La douleur m’envahit, une douleur insoutenable. Je hurlais, une brulure insoutenable envahit chaque partie de mon corps. Je ne comprennais plus trop ce qu’il se passait...


Le 31 octobre 2010, Forks
Voilà fini par dire Alice. Voilà pourquoi Halloween ne m’enchante pas. Je me souviens depuis peu de ma transformation. Je sais que Patrick a été tué par James peu après, il était furieux de ne pas avoir pu goûter à mon sang. Jasper s’approcha d’Alice pour la serrer contre elle et la rassurer. Voir ma belle-sœur revivre ce moment pénible me fait encore plus comprendre à quel point je suis chanceuse. Cette histoire est digne de figurer dans les recueils d’histoires qui font peur aux humains les soirs d’halloween.



Auteure: Pttepau

Fiction 9 :


Je m’appelle Louisa Yorkie et j’ai 9 ans. Mes parents et moi habitions un chouette appartement dans le centre de Seattle. Papa était médecin dans un cabinet médical où il y a que des gens riches qui viennent. Maman était maîtresse dans une école privée, elle travaillait avec les tous petits.

Un jour j’avais presque 6 ans (une grande comme dit mon papa), maman est venue dans ma chambre pour me dire que bientôt j’aurai un petit frère et qu’ils avaient décidé avec papa d’acheter une grande maison « au vert ». J’avais pas tout comprit ce qu’elle me disait maman, mais je lui ai souris quand même.

Quand son ventre est devenu gros nous sommes partis dans une grande, grande, grande maison comme à la télé, à Forks, une ville où il fait pas beau comme à Seattle sauf qu’ici c’est tout vert partout. Papa et maman habitaient ici quand ils étaient jeunes et ils se sont dis que c'étaient cool de revenir. J’étais très contente car maintenant on avait un beau jardin avec un bébé lac, c’était très joli.
C’était bien la maison, les jeux dehors avec papa et maman, même l’école, c’était super car j’avais une copine indienne qui ne voulait pas aller à l’école de la réserve. Elle s’appelait Nadi, qu’est que c’était toujours marrant avec elle.

Un soir, maman a eu très mal au ventre et papa l’a emmené à l’hôpital. Il m’a d’abord déposé chez les parents de Nadi. J’étais un peu triste d’être sans eux mais y avait ma copine alors c’était un peu cool. Pour me consoler papa m’avait dit que si j’étais une gentille fille, il m’apporterait une surprise quand il rentrera de l’hôpital avec maman.
Une nuit Nadi et moi, nous étions couchées dans sa chambre, mais on dormait pas, elle me dit :

-Louisa, tu sais ce qui va se passer dans ta maison maintenant ? Et ben, le petit bébé qui arrive va prendre ta place et tes parents feront plein de trucs avec lui et plus rien avec toi.
-N’importe quoi, mes parents c’est mes chéris, ils m’aiment moi !
-Ben tu verras, moi c’est ça qu’ils ont fait, et tous les papas et mamans font ça !

Je ne croyais pas un mot de ce qu’elle me disait mais j’avais un peu peur quand même.
Quelques jours plus tard, alors que je m’amusais bien et que j’avais oublié ce que ma copine m’avait raconté, mes parents sont venus me chercher. Papa avait un joli petit paquet bleu dans les bras. Je bondis toute joyeuse :

-C’est ma surprise papa ? C’est ma surprise ? Youpi, youpi, youpi !!!!

Il se pencha vers moi pour me montrer :

-Je te présente Samuel ton petit frère, Sam voici ta sœur Louisa.

Je vis un petit truc rose tout fripé. J’étais un peu déçue mais papa et maman avaient un grand sourire alors c’était bien.

Depuis l’arrivée de Sam tout avait changé, Nadi avait raison. Papa et maman étaient toujours avec ce truc qui pue et qui pleure, ils n’étaient pratiquement plus jamais avec moi.
Quand je demandais à maman de jouer avec moi, il fallait qu’elle change la couche de Sam ou qu’elle lui donne le biberon. Quand je demandais à papa une histoire, il devait donner le bain à Sam.
Sam, Sam, Sam y en avait marre de lui, il m’avait volé mes parents alors je me promis de tout faire pour l’embêter. Quand maman me le donnait pour que je le garde le temps qu’elle chauffe son biberon quand il pleurait déjà j’en profitais pour lui pincer le bras ou lui tirer l’oreille. Je trouvais ça marrant. Une fois même je lui avais cassé la jambe en le faisant tomber. En fait, une fois papa s’amusait avec Sam alors que je lui avais demandé de faire une promenade à vélo et qu’il n'avait pas voulu: on avait sonné à la porte, il déposa Sam sur le fauteuil et je l’ai poussé après je suis vite partie. Maman a été longtemps fâchée avec papa car elle disait que c’était de sa faute. Peut être que papa préférera jouer avec moi maintenant.

Beaucoup de temps était passé et je n'étais plus la préférée de mes parents chéris, c’était toujours Sam. Il avait trois ans et moi presque neuf et je continuais toujours à l’embêter. L’autre jour nous étions à côté de l’étang et j’avais envie de lui faire une blague pas gentille.

-Sam, viens voir y à la carpe magique de l’histoire de papa dans le bassin, viens voir.
-Pas vrai t’es menteur Isa
-Mais si viens voir…elle est là je te dis.

Il s’était approché avec méfiance parce qu’il savait que je n'étais pas sympa avec lui, mais il était quand même venu.

-Regarde elle est là.
-Vois pas
-Ben penche toi un peu plus idiot.

Il me regardait et se penchait pour chercher la carpe magique. Quand il fut assez penché, je le poussai dans l’eau mais ce petit crétin avait agrippé ma jupe et je suis tombée à l’eau moi aussi sauf que je me suis fait très mal en me cognant la tête contre un caillou qui était dans le fond.
Sam se débattait comme un fou, il criait en avalant à chaque fois de l’eau. Je savais que j’allais avoir une sacré raclé mais ça en valait la peine. Dommage que ça n' avait pas duré plus longtemps car maman avait entendu les cris du petit cochon et est venue vite vite pour le sauver.

- ERIC, ERIC, dépêche toi…Les enfants…
- Qu’est qu’il y a Angela, pourquoi tu cr…oh mon dieu !!!

Et bien sur papa est arrivé lui aussi à la rescousse, qu’est ce que j’allais prendre. Ils attrapèrent d’abord Sam puis moi quelques minutes après. Ils m’ont serré très fort dans leur bras et Sam aussi mais je n’eus pas de fessés, mais comme je le pensais ils étaient très très très fâchés car ils ne voulurent plus me parler. Par contre Sam me parlait toujours… enfin à sa façon.
Quelques jours après avoir fait ça, je voulus jouer dans ma chambre car je n’avais pas envie d’embêter Sam mais quand j'entrai dedans, plus de jouets, plus de poupées et à la place des cartons. Ils avaient tout mis dedans. Ça m’avait rendu triste, c’est vrai que j’avais été méchante mais déjà qu'ils me parlaient plus si en plus j’avais plus de jouets… Une autre fois encore maman avait fait mon repas préféré : gratin de macaronis. Miam, miam. Je me suis donc mise à table mais maman m’a rien donné c’est Sam qui a parlé pour moi :

-Moman, Isa faim…
-Tais-toi Sam, je ne veux plus entendre parler de Louisa.

J’ai pleuré et j’ai quitté la table. Maman était vraiment méchante avec moi mais il n' y avait pas qu’elle.
Une fois Sam et moi voulions voir la télé, depuis cet accident je n’avais plus eu envie de lui faire de mauvais tours, on était dans le salon puis Sam a appelé papa pour qu'il nous mette un film, il nous a rejoint et n’a même pas eu un regard pour moi et demanda seulement à Sam

-Alors mon petit boy, qu’est ce que tu veux voir ?

Comme Sam a vu ma tête de triste, il répondit :

-Isa voir Barbie.

Sam savait que j’aimais toutes les histoires de Barbie, surtout Barbie princesse magique. Papa s’est mit alors en colère et s’est fâché très fort contre Sam.

-Samuel, ça suffit ta mère t’a déjà dit d’arrêter de parler de Louisa. Puisque que tu t’entêtes mon petit bonhomme pas de dessins animés.

On ne comprit rien et pire encore quand papa prit tous mes dvd Barbie et les a jeté. Sam voulut prendre ma défense.

-Pas gentil, papa, pas gentil
-Laisse tomber Sam vient on monte dans ma chambre.

Mais là encore surprise, ma chambre était fermée à clé, s'en était trop. Je descendis les escaliers accompagné de Sam qui était pas content lui aussi et on est allé voir papa et maman.

-Pourquoi vous me punissez comme ça ? Pourquoi vous ne me parlez plus ? Je sais je n'ai pas été gentille avec Samuel mais maintenant ça va on s’entend bien. Allez je veux mes parents chéris et je veux ma chambre et mes jouets et puis je veux plus dormir tous les soirs dans ce petit endroit tout noir, j’ai peur et j’ai froid.

Mais aucune réponse, c’est comme si je parlais aux murs de la maison. Sam a encore vu ma tête de toute triste et s’est mis à crier très fort contre les parents.

-Pas gentil avec Isa popa , moman. Moi veux pu Isa triste, fais biyou à Isa…

Il les regardait les larmes aux yeux, la seule réponse que les parents lui dirent: c’était de m’oublier.
Je suis restée sur place, le cœur brisé, mes parents ne m’aimaient plus. Je pleurais très fort et je suis partie loin le plus vite possible de la maison, je courais, je courais et je me suis finalement retrouvé là où mes parents me faisaient dormir depuis que j’étais punie. Je restais là sans personne pour me faire un câlin. Quand mes parents arrivèrent eux aussi en pleurant. Maman me parla soudainement :

-Oh Louisa, Louisa, pourquoi tu as fait ça ? Regarde où on en est maintenant, on ne se parle plus.
-Mais maman c’est toi…

Je n'eus pas eu le temps de finir que papa prit la parole à son tour

-Ma chérie tu étais si pleine de vie, et maintenant tu es morte, noyée et tu nous laisses tout ce chagrin. Tu manques tellement à Sam, il n’arrête pas de parler de toi.
-Nous n'aurions jamais dus revenir a Forks Eric, jamais!
-Ne dis pas ça Angela, ils nous restent encore Samuel.
-Mais non...je suis pas morte....Regardez-moi!!!!

Mais ils ne me voyaient pas, ils ne m’entendaient pas. Tout tournait autour de moi et c’est là que je compris que tout ça n’était pas une punition qu’ils ne m’ignoraient pas mais que je n’étais plus avec eux. Je compris aussi que cet endroit où je dormais, cet espace si petit, si noir, si froid où je me sentais tellement seule et qui me faisait revenir tous les jours à la maison, cette petite boite au fond de ce jardin, c’était mon cercueil, oui…Mon cercueil.



Auteure: Carlie C.

Voilà c'est complet pour les fictions sur 14 inscrits... 9 ont remis leur fictions! Un gros merci à vous... Vous pouvez laissez vos commentaires en attendant d'avoir les résultats

J' ai lu les fics
Y' en a qui sont pas mal du tout.
Je vous félicite tous pour vos écrits

Merci merci quand aurons-nous les résultats ?

*trop impatiente --'*

D'ici une semaine, me semble-t-il... C'est écrit dans le premier post de Mélu, avant la premiére fiction.

a oui juste merci ;p

Félicitations a vous toutes !

Moi je veux juste ajouter, en attendant que les résultats arrivent que la personne qui gagne va être gâtée.

Elle va avoir une belle crise de foie grâce au forum

En tous cas, j'espère que la gagnante sera française, comme ça je pourrais aller chez elle et manger ses bonbons =)

lol

j'ai hate miam

Alors j'attends les résultats des autres juges, alors soit ce soir ou demain les résultats seront là

Voilà, 5 juges ont décidé du sort des fictions... Edward, Miss Bathory, Kara, Camilla et moi avons voter dans chacune des catégories suivantes:

Originalité :/5
Respect du thème : /5
Orthographe/grammaire : /5
Appréciation personnelle : /5

Puis j'ai fait la moyenne de chaque catégorie et mis le résultat sur 20. Vraiment un gros bravo aux participants et j'espère que vous avez aimer écrire ces fictions pour Halloween.

Voici les résultats.




LA FICTION GAGNANTE:

Fiction 8 :
Par Pttepau

Originalité : 4,6/5
Respect du thème : 4,4/5
Orthographe/grammaire : 4,4/5
Appréciation personnelle : 4,5/5
17.9/20


Commentaires :

Citation :

Wow! Quelle fin! J’adore vraiment comment tu as intégré le thème de l’Halloween et c’est une très bonne idée que d’avoir choisi de relater le passé d’Alice Cullen. J’aime beaucoup ton histoire.

Vraiment original d’intégrer l’histoire d’Alice dans tout ça. J’ai beaucoup aimé.

J’aime bien le type d’écriture et le fait que ce soit Alice qui se souvient de sa transformation.

-Oh une histoire avec Alice!! J'aime le fait que son histoire humaine ait été reprise. Certains pourraient dire que ce n'est pas original, mais je trouve justement intelligent d'avoir pensé à cela. Petit détail toutefois: C'est du point de vu de Bella cette histoire?

J'ai trouvé que c'était une bonne idée d'écrire cette histoire qu'on connait sans connaitre, sa nous aidait à s'imaginer ce qui c'était passé avec Alice, sa faisait horreur en même temps, je sais pourquoi moi les asiles j'associe sa au film d'horreur xD J'ai beaucoup aimé ta fiction ! bravoo

2ième position

Fiction 1 : Vive Halloween!
Par Gloria
Originalité : 3.7/5
Respect du thème : 5/5
Orthographe/grammaire : 4,8/5
Appréciation personnelle : 4,2/5
17.7/20

Commentaires :

Citation :

Cette histoire est bien intrigante, on s’y laisse facilement entraîner. Peu de fautes ce qui est très agréable pour la lecture et je dois dire que j’affectionne particulièrement la fin de ton histoire qui m’a fait rire.

Honnêtement cette fiction reste de là ma préféré. J’ai vraiment tout adorée. Gloria a beaucoup de talent en écriture. J’ai vraiment accroché dans la fiction comme j’accroche en lisant un roman. J’aurai aimé lire la suite, j’étais même déçu que ça se termine maintenant puisqu’elle nous laisse sur un « et puis ? Il se passe quoi après ? ». Les actions sont très bien décrite, on pouvait se faire une image très précise des ’expressions faciales et des sentiments du personne, ici étant Jessica, je suppose « l’amie de Bella ». L’interaction entre les personnages est super ! L’originalité y est vraiment bien que nous restons dans la base des vampires. Bon respect du thème nous restons dans l’univers Twilight ce qui me plais vraiment. L’orthographe, je n’ai rien à dire, bien que je suis vraiment pas bonne dans ce domaine, Gloria emploie un vocabulaire très correcte. C’est vraiment une très bonne fiction qui selon moi, mériterait de gagner.

Très bonne histoire sur Halloween  J’aurais aimé que ce soit moins prévisible. Je n’ai pas trop retrouvé Jessica dans ce que tu décrivais sur elle. Mais sinon, j’ai bien aimé.

- J'aime le fait que Jessica soit le personnage principal. C'est un personnage souvent délaissé malheureusement et j'étais contente de lire une histoire sur elle. J'aime la fin... nébuleuse. Mais en même temps j'aurais voulu en savoir plus! lol ^^

Je trouvais qu'au début ton histoire ressemblait un peu à celle de Bella, mais heureusement la fin est vraiment différente et assez surprenante. J'ai trouvé étrange de voir un personnage de Jessica si différente de celle des livres, mais c'était intéressant ! Très bonne fiction

3ième position


Fiction 7 : La vie après la mort
Par Crépuscule

Originalité : 4,2/5
Respect du thème : 4,4/5
Orthographe/grammaire : 4,2/5
Appréciation personnelle : 4,5/5
17.3/20


Commentaires :

Citation :

Wow quelle histoire fantastique que tu nous offre à propos de Bree, vraiment intéressante et pleine de couleurs. Vraiment, je trouve cette histoire touchante entre Bree et Diégo encore une fois, c’est quand même dommage que le thème d’Halloween n’est pas assez intégré dans l’histoire. Vraiment une belle histoire, tu peux en être fière, je l’ai adoré.

Très bonne histoire je n’ai pas grand-chose à dire la dessus.

Tu as un beau style d’écriture digne d’un roman. Je l’ai trouvé originale ton histoire en prenant Bree. Toutefois je trouvais cette fiction un peu longue.
- Youpi! Une histoire qui parle de Bree! Par contre, je me dis que si je n'avais pas lu ''L'appel du sang'', je n'aurais peut-être pas tout compris. Par exemple, Fred et Diego on ne les connait pas si on a pas lu le livre je crois... Sinon, j'adore l'histoire, mais il y a beaucoup de changements de lieux, pas nécessairement utiles je trouve.

C'était cool de voir des nouveaux personnages ainsi et tant de rebondissement dans ton histoire ! J'ai vraiment été accroché, même si elle est assez longue, elle se lit super bien, on est incapable d'arrêter ! Je trouve aussi que les Volturi sont bien représenté et intégré dans ta fiction ! Très beau travail ! Bravo !

4ième position:


Fiction 6 : Halloween!
Par Sonia

Originalité : 3,8/5
Respect du thème : 4,75/5
Orthographe/grammaire : 4,6/5
Appréciation personnelle : 3,9/5
17.05/20


Commentaires :

Citation :

Tu as créé une histoire très bonne, mais j’ai trouvé la fin un peu trop abrupte à mon goût. On ne peut pas écrire la suite au prochain concours, ça ne se fait pas…. Disons que tu aurais pu très bien la terminer ta fiction sachant que les monstres sont partis et allaient surement revenir… et on ne sait pas grand-chose en fait… J’ai aimé ta soirée à un bal costumé avec Nahuel qui prend la place de Jacob, c’est tout chou cette jalousie. Dommage encore une fois pour cette fin abrupte.

L’histoire était très bien. Cependant, j’ai été un peu déçu par la fin.

J’aurais aimé une description de Nahuel.

-Un triangle amoureux!! Qui implique Jacob, le pauvre petit. Il n'a pas eu la vie facile en amour celui-là! Mais j'adore! Il est mignon quand il souffre quand même! XD Lol. Enfin bref, j'ai été surprise de voir qu'il y avait pas de fin! OMG!

J'étais tout triste de voir Nessie avec un autre que Jacob, il a assez souffert non, sincèrement ta fiction était superbe ! Tu as mit un aspect histoire d'amour et horreur et les deux allaient super bien ensemble, on voyait la jalousie de Jake quand il sauvait le petit couple, c'était super ! Belle fiction !

5ième position

Fiction 3 : Le vampire qui avait peur du noir
Par Paulinska

Originalité : 4,8/5
Respect du thème : 5/5
Orthographe/grammaire : 3.7/5
Appréciation personnelle : 3.1/5
16.6/20


Commentaires :

Citation :

Ta fiction m’a fait beaucoup rire et vraiment original de mettre d’autres vampires connus dans ton histoire. De plus le forum est intégré, voilà qui est merveilleux. Vraiment une belle fiction rigolote sur le thème d’Halloween qui fait plaisir aux lecteurs.

- L’originalité est à son comble, cependant je trouvais l’histoire un peu… plate ! C’était plutôt une petite histoire légère à raconter à des enfants. Mais j’ai bien aimé le fait de faire entrer plusieurs vampires de différent livre dans sa fiction. Un très beau travail d’imagination en tout cas !
J’adorais le début, c’était original, puis tous les personnages ont débarqués. Je trouve que c’est vite partit en vrille. La fiction m’a bien fait rire par moment par contre. Les temps de verbes changent trop d’une phrase à l’autre.

Ce que j'aime le fait que ''tous'' les vampires soient présents dans cette histoire! En plus Damon! Et c'est drôle aussi que les vamps en question racontent leurs histoires ''réelles'' (si je puis dire). Je trouvais l'intrigue un peu difficile à comprendre dans certains passages, mais sinon ça allait!

J'ai trouvé vraiment très original la façon dont tu as présenté ta fiction et qui tu étais, c'était aussi très courageux de ta part de mettre autant de personnage dans ta fiction, sa peut devenir mélangeant des fois xD Par contre, j'ai trouvé moins original le contexte avec le cercle de personne qui se raconte des histoires d'horreurs, sa redevenait plus surprenant à la fin ! Encore une autre super fiction !

6ième position

Fiction 2 : Une soirée mémorable
Par Sasha

Originalité : 3.8/5
Respect du thème : 4,4/5
Orthographe/grammaire : 4,8/5
Appréciation personnelle : 3,2/5
16.2/20

Commentaires :

Citation :

- Bonne idée de vouloir faire peur à Nessie et Carlisle est un conteur en or. Peu de fautes ce qui est très agréable pendant la lecture et j’ai aimé ta touche d’humour dans l’histoire. Bravo!

- Cette fiction, je la qualifie de « correcte » C’est loin d’être ma préféré mais elle répond bien au item. Je n’aime pas le petit côté GAGA de l’histoire le truc avec Renesmée je n’ai pas accroché. J’ai poussé un petit soupire à chaque fin de ligne, je n’ai pas vraiment accroché et je trouve que la fin frôle un peu le ridicule avec les trôles de la forêêêt et tout le tralalala…Mais bon, à la base l’histoire est pas mal et Sasha a une bonne écriture et le sens des détails est bien.

J’ai adoré la fin de l’histoire, ça m’a bien fait rire. Le thème Halloween n’est pas trop respecté, sinon oui y’a l’histoire d’épouvante et les costumes, mais à nulle part on parle de cette fête. J’aime bien que ce soit Carlisle qui est le narrateur.

- C'est très mignon comme histoire! J'aime le fait que malgré que c'est sous le thème de l'halloween, on ne tombe pas dans les histoires d'horreur habituelles. Carlisle est drôle avec Nessie.

J'ai trouvé vraiment super cool d'ajouter des personnages mystiques à l'univers déjà très étrange de Twilight, je trouvais que sa mettait un petit plus dans ta fiction ! Par contre, le principe de raconter une histoire j'aime moi ça, mais de toute façon c'est juste durant une partie de la fiction... J'ai beaucoup apprécier ta fiction !

7ième position

Fiction 4 : Un Halloween très spécial
Par AngèlûXJasper
Originalité : 4.1/5
Respect du thème : 5/5
Orthographe/grammaire : 3.5/5
Appréciation personnelle : 3.2/5
15.8/20


Commentaires :

Citation :

Je dois dire que j’aimais beaucoup le début de l’histoire, mais je trouve qu’elle est devenue un peu lourde avec trop d’action, trop de détails et je n’ai pas vraiment aimé les surnoms amoureux qui ne faisaient pas du tout sérieux, les fautes, les répétitions, etc. Tout de même, c’est une bonne histoire d’Halloween avec nos personnages préférés.

L’idée global est très bien, mais j’accroche moins sur son style d’écriture. J’aime pas trop le truc avec les gorgones et tout mais ça c’est vraiment un choix personnel. Sinon je trouve l’histoire pas mal.
Lors des dialogues, on ne sait pas toujours qui parle. Les vampires qui ont peur, c’est un peu surréaliste non ? Je n’ai pas lu la fiction au complet. J’ai décroché avant. Sinon, dans l’ensemble, l’idée principale était excellente.

-Le problème dans cette histoire c'est qu'il y a beaucoup de dialogue anonyme. Il fallait que je devine qui disait quoi parfois. Mais sinon, j'aime beaucoup le fait qu'Alice organise quelque chose de grand!^^ Je sais pas pourquoi mais tout ça m'a fait pensé à l'épreuve du labyrinthe dans HP (le livre not the movie). XD

J'ai trouvé vraiment très bien la façon dont tu as parlé d'Alice, son enthousiasme fou était comme celui des livres. Tous les monstres que tu as rajouté et cette famille que tu as créé, c'était aussi très bien, ça rajoutait beaucoup de suspense ! On ne pouvait pas s'arrêter de lire. Très bonne histoire !

8ième position

Fiction 9 : La boîte au fond du jardin
Par Carlie C.

Originalité : 4,4/5
Respect du thème : 2,6/5
Orthographe/grammaire : 4.65/5
Appréciation personnelle : 3.7/5
15.35/20



Commentaires :

Citation :

Et bien la dernière phrase est totalement fabuleuse qu’elle m’a fait frissonnée. J’aurais aimé que ton histoire encadre davantage Halloween et il aurait été préférable de choisir un narrateur connu. Sinon ton histoire est superbe, tout coule bien et j’ai l’ai bien aimé.

Idée originale , mais j’ai pas vraiment aimé le texte…

La fiction que j’ai le plus aimé. Très originale. Dommage que le thème de l’halloween et que le choix du narrateur ne soient pas respectés. Sinon c’était vraiment captivant même si j’avais deviné la fin. Good job.

- Oohh! C'est tellement bouleversant! OMG! Vers la fin, je me doutais qu'elle était morte, mais c'est triste quand même! C'est très bien écrit. Ça m'a prit un certain temps avant de comprendre que les parents c'étaient Eric et Angela de Twi, mais j'aime bien!! C'est super.
J'ai bien aimé ton nouveau personnage, il représentait bien la jalousie d''un nouveau, poussé à l'extrême bien sur... Par contre, j'aurais bien aimé voir les Cullen. Ton histoire était un peu triste, mais très bonne quand même, c'est l'Halloween après tout ! Très bonne fiction !

9ième position

Fiction 5 : Adieu
Par Sybille/rosalie68

Originalité : 3,5/5
Respect du thème : 4/5
Orthographe/grammaire : 3.9/5
Appréciation personnelle : 3.1/5
14.5/20


Commentaires :

Citation :

Où est l’histoire d’Halloween dans tout ça? C’est dommage. C’est quand même une belle histoire, mais elle n’est pas vraiment faite pour ce concours.

J’ai pas du tout aimé. L’histoire est ennuyante, il me fallait du courage pour terminer l’histoire…

Il y a trop de changement, on s’y perd facilement. Elle aussi, j’ai dû arrêter de la lire, j’étais trop perdue.

J'adore le concept! Surtout que ça implique les Volturi, vieux ennemis des Cullen. On se doute qu'ils vont revenir à la charge, et voilà qu'ils le font dans cette histoire, avec Renesmée.

Nessie en volturi, c'était limite choquant lool. J'ai beaucoup aimé ta fiction, tu as choisi des personnages que j'apprécie beaucoup, ce qui aide bien entendu. Mais c'est aussi l'histoire qui était super bien, même si j'ai trouvé qu'il y avait certaine ressemblance avec Bella qui allait en Italie secourir Edward, la façon dont tu as raconté l'histoire et je sais pas un peu tout a fait en sorte que j'ai fait le rapprochement seulement après avoir lu !Super fiction!

Encore bravo à tout le monde et à notre grande gagnante Pttepau qui se mérite des friandises... la chanceuse!!!! Nous avons vraiment aimé vous lire!!!

Bravo à toutes C'était formidable
Félicitation Pttepau

Hey!!! Beavo à notre grande gagnante Pttepau!! Et bravo à tous les autres aussi, vos fictions étaient supers!

Oh c'est pas vrai c'est moi???
Merci!!! Vous êtes adorables! J'ai adoré le théme de ce concours; c'était hyper original <3

Félicitation à toi Pttepau et merci à vous Juges d'avoir eu le courage de lire ma longue histoire Je suis très très heureuse de ma 3 eme place, c'étais la premiere fois que j'écrivais pour quelqu'un et a vrai dire sa m'amuse beaucoup alors je reccomencerais
Merci à tous